Récit de course, le défi de Monte Cristo 2018

Pour cette édition 2018, on a fêté le vingtième anniversaire du Défi de Monte Cristo. Pour ma part j’ai participé pour la première fois à cette course en 2009 sur le parcours du 2km, avec un temps de 35’26. Cela m’a tellement plus qu’un an plus tard j’étais inscrit pour l’épreuve de 5KM : mon premier défi de Monte Cristo ! J’avais bouclé l’épreuve de 2010 en 1’31, et l’année suivante 1’32.

Je m’y suis réinscrit deux ans plus tard au combiné mais ces deux courses de 2013 ont malheureusement été annulées pour cause de mistral.

Ce n’est que cette année que je me suis décidé à nouveau de participer ! Entre-temps le défi a pris de l’ampleur pour devenir le plus grand rassemblement de nage en eau libre au monde avec 4200 nageurs prévus sur trois jours de compétition.

Les nageurs inscrits le vendredi ont eu la malchance de voir leur course annulée à cause du mistral. Il est dommage qu’il n’y ait pas eu de plan B, par exemple de proposer aux nageurs malheureux de venir nager samedi ou dimanche, ou même de proposer un parcours bis. A la place l’organisation propose un remboursement ou une inscription automatique pour l’année prochaine.

Concernant l’organisation, celle-ci a été améliorée au niveau de la récupération des dossards car je n’ai eu aucune attente, sans-doute puisqu’il était possible de récupérer son dossard quelques jours avant. En revanche la mauvaise surprise a été au niveau de la rotation des bateaux qui a pris 45 minutes de prévu, repoussant le départ de la course à 10h15 au lieu de 9h30.

Comme beaucoup de participants j’en ai profité pour nager un peu en attendant. J’ai l’impression par ailleurs qu’il y a de plus en plus de nageurs en combinaison de triathlon, et que les nageurs en maillot de bain comme moi sont une espèce en voie de disparition !

Enfin lorsque le dernier bateau est en approche, les nageurs se mettent à l’eau. J’opte pour me placer en arrière de la bouée de gauche. Ayant discuté avec Jacques Tuset et @Doni avant la course, il semble qu’un léger mistral pendant la course déporte les nageurs c’est pourquoi le peloton de nageurs forme une sorte de couloir où certains nagent à gauche et d’autres à droite. Avec le sens du vent il est ainsi préférable de nager à gauche, et je resterai à gauche tout au long du parcours.

L’eau est annoncée à 17,5°C, mais la température passe du froid au tiède très fréquemment au fur et à mesure de la course. Mes camarades du club qui étaient tous en combi pensaient que j’allais avoir froid, c’est gentil de s’inquiéter mais la température n’a pas été un problème ! Il faut dire aussi que nous avons eu du soleil pendant presque toute la durée de la course. Les vagues ce jour-là n’étaient pas très puissantes et il y avait une bonne visibilité sous l’eau. Une fois dans la bande des 200m du bord il était possible de voir le fond et les poissons.

La course donc, 817 nageurs au départ du 5KM sans palmes. Le départ de la course étant donné une fois les nageurs dans l’eau, groupés derrières les bouées qui matérialisent le départ.

Le premier nageur à l’arrivée Paul Barascud termine l’épreuve en à peine 52’12’27, la première femme Celia Heurtaux arrive en 1’01’06.

Mes sensations pendant la course sont bonnes, je ressens néanmoins une légère faim, je n’ai en effet rien mangé depuis 6h, il faudra que je pense à prendre une collation sucrée la prochaine fois. En ayant opté pour nager à gauche du peloton j’étais relativement tranquille pendant la course. Il n’a pas été facile de s’orienter, encore une fois je me suis fié au peloton sauf bien entendu lorsque je voyais les bouées. J’avais oublié entre combien de bouées il fallait passer le long de la grande ligne droite, de fait c’est seulement en apercevant la dernière bouée de contournement que j’ai compris que l’arrivée n’était plus très loin ! Je vise la bouée et arrive pile dessus, puis je tourne et m’oriente dans l’axe de l’entonnoir d’arrivée – à ce moment-là le peloton  prend le mauvais axe et s’oriente trop à droite – un léger doute m’habite un instant mais je continue sur ma lancée, voyant que je suis bel et bien orienté. Cela me permet sans doute de gagner quelques places au classement, d’autant que je profite de la fin de course pour accélérer. L’arrivée par contre il n’y a pas de plaque, il faut toucher le plafond de l’arche avec le bras, cela n’est pas la manière habituelle de finir une course, heureusement il y a un bénévole à l’arrivée qui soulève le bras des nageurs pour les faire toucher le capteur de fin de course… néanmoins ce détail a sans doute une influence sur le classement.

Bref, je termine la course 108e en 1h 15min 52.52. Je suis super content car c’est mon meilleur temps sur 5km, toujours en maillot de bain J Une belle course donc, avec pour l’objectif pour la prochaine, d’essayer de faire encore un meilleur chrono !

La date de l’édition 2019 est déjà connue, elle aura lieu le we du 21, 22 et 23 juin.

(crédit photo : Lucas Gellato / Lisa Charpentier)

Interview de Rémi Camus qui va nager 2 650 kilomètres pour sensibiliser sur la pollution des eaux

C’est un défi hors normes, on que l’on peut même qualifier de surhumain. Mais la cause de la pollution des eaux, ainsi que l’accès à l’eau potable tient tellement à cœur de l’aventurier Rémi Camus qu’il a décidé de se lancer dans ce projet fou.

L’homme n’en est pas à son coup d’essai, et est habitué des grandes expéditions en solitaire. En 2011 il a traversé l’Australie, 5400 km en 100 jours en autonomie complète… dans le désert ! Pour l’anecdote il buvait sa propre urine lors de sa course, l’eau étant trop rare dans la région. Son record de distance sur une journée était de 113km avec un équipement de 40kg à tracter, par des températures de 50°C.

Mais ce n’est pas la seule expédition que le berrichon de 32 ans a réalisé. En 2013 il troque ses basquets pour descendre le Mékong à la nage, soit 4400km. Il lui est arrivé de nager plus de 28 heures d’affilé, sans s’arrêter et sans boire ni manger. Il est effaré lors de son périple de constater la quantité de pollution dans l’eau.

Le grand public l’a découvert dans l’émission de survie Wild sur M6, qu’il a d’ailleurs remporté.

Cette fois c’est dans les eaux de nos côtes que cet aventurier va nager. Il partira de Dunkerque dans exactement une semaine : le 1er juin, et longera la Normandie, la Bretagne puis toute la côte Atlantique jusqu’à Hendaye, soit 1911km à raison de 25 à 30km par jour. Il sera ensuite transféré à Banyuls-sur-Mer où il continuera à nager pendant encore 724km jusqu’à Monaco où il doit arriver le 16 septembre.

Cet aventurier explorateur nagera environ 8 heures par jour, avec combinaison de 2mm, une paire de palmes, et tractera une planche spécialement aménagée permettant de transporter tout le nécessaire pour être en autonomie, y compris du matériel de télécommunication, soit environ 50kg d’équipement. Il transportera une tente lui permettant de bivouaquer chaque soir.

Lors de son expédition 91 étapes seront prévues dans autant de villes et communes qu’il traversera à la nage, l’occasion d’aller à la rencontre des habitants et de les sensibiliser également sur la pollution de l’eau.

J’ai eu la chance de pouvoir interviewer Rémi Camus, il y a quelques jours, pour en savoir plus sur son défi.

Christophe : Est-ce que la natation est un sport que vous pratiquez depuis longtemps ?

Rémi : Je m’y suis vraiment mis à partir de 2013 pour ma descente du Mékong. J’ai ensuite progressé, le directeur de la piscine dans laquelle je m’entraînais m’ayant même proposé de devenir MNS. Je me suis plutôt orienté vers le sauvetage, en préparant le diplôme de sauvetage en mer avec la SNSM.
Je ne suis pas un surhomme, et je ne suis pas forcément le meilleur nageur, mais c’est vrai j’ai une très bonne condition physique. Mais en revanche j’ai mental très fort, et j’aime repousser mes limites.
J’adore les sports d’endurance, que ce soit la course à pied ou la natation car ils permettent d’entrer rapidement dans des phases de méditation. En natation cela se produit après 500m à 1km, il m’est par exemple arrivé de ne pas m’être rendu compte que la piscine avait évacué le bassin et de continuer plus d’un quart d’heure à nager, je devais être tellement en accord avec l’eau que le MNS m’a laissé nager. Cet état méditatif est intéressant en milieu naturel, que ce soit en lac, en rivière ou en mer, car le paysage et les conditions changent.

Christophe : D’un point de vue sportif, comment vous préparez-vous pour ce défi hors-norme ?

Rémi : Pour ce défi j’ai commencé l’entraînement fin novembre. Je m’entraîne 6 jours par semaine, à raison de 2 heures de natation le matin, et je vais également 2 heures dans la salle de sport un jour sur deux. A chaque séance je nage entre 7 et 8km en palmes.
Si je nage 6 jours par semaine, c’est parce que mon entraîneur a réussi à me convaincre qu’il fallait aussi prévoir du repos dans la préparation, c’est en effet pendant les phrases de récupération que se reconstituent les muscles.
Il est prévu que je m’entraîne jusqu’à une semaine avant le départ. Tout comme le contenu des entraînements cela va être ajusté au fur et à mesure avec mon coach.

Christophe : Qu’est ce qui est le plus difficile sur cette épreuve ?

Rémi : Pour cette épreuve, je vais nager au-delà de la bande de 300m du littoral, je croiserai donc la route de plaisanciers, de jet skis, qui ne respectent pas toujours le code maritime. Nous avons donc mis en place un système de sécurité avec l’aide de la SNCM qui va nous prêter un bateau semi-rigide, et il y aura également un véhicule à terre pour transporter du matériel de rechange, de l’eau et de la nourriture pour l’expédition.
Lors des bivouacs en plein été il est également possible de croiser des personnes venant faire la fête au bord de l’eau. Le plus difficile va donc être de gérer ces situations de rapport humain.

Christophe : Vous allez faire une étape par ville ?

Rémi : Après chaque journée de nage, il est prévu d’échanger avec habitants des communes traversées. L’exploit sportif va surtout servir à véhiculer un message de sensibilisation sur la qualité et l’accès à l’eau. Les courants font que les déchets plastiques jetés à l’autre bout de monde se retrouvent sur nos côtes, et inversement.
Le soir le bivouac sera sur terre, nous avons obtenu toutes les autorisations des 91 communes traversées car le camping sauvage n’est pas autorisé.
Au cours du défi il y aura 7 journées de repos, permettant de faire un bilan de santé, de récupérer. Il y aura également une pause de 3 jours lors du transfert par les Pyrénées.

Christophe : Mentalement, comment faites-vous pour vous conditionner pour affronter un défi de cette ampleur ?

Rémi : C’est très compliqué à mettre en œuvre. Ma méthode est de découper en plusieurs morceaux. Surtout je ne pense pas à l’arrivée à Monaco, mais au contraire à chaque journée, et à chaque instant qui va ponctuer la journée. Je pense aux moments pour boire, pour manger, pour la caméra, etc. C’est un travail très dur, car on peut très facilement sombrer et abandonner. Alors je pense à des choses positives, comme ma famille et mes proches pour garder la motivation, et qui comptent sur moi pour survivre et rentrer à la maison. Il m’est déjà arrivé d’affronter des journées très difficiles par exemple lors de ma descente du Mékong, avec du vent et du clapot toute la journée. Dans ces moments j’essaye de penser à tous les bons souvenirs de la vie, aux soirées avec les amis, qui m’ont permis de tenir.

Christophe : Vous vous définissez comme un aventurier explorateur, êtes-vous également un compétiteur ?

Rémi : Comme tout le monde, j’aime bien sûr gagner, mais pour moi l’important ce n’est pas d’arriver premier, car le simple fait de participer permet d’apprendre et de progresser. L’important à mon sens c’est de pouvoir se dire que l’on a donné le maximum de soi-même, le classement n’étant pas important.

Christophe : Merci beaucoup Rémi d’avoir pris le temps de répondre à ces questions, je vous souhaite une bonne préparation, et bon courage pour votre défi que nous ne manquerons pas de suivre !

J-7 avant l’ouverture des inscriptions au défi de Monte Cristo 2018 !

C’est le moment d’enregistrer son message de rappel pour s’inscrire au défi de Monte Cristo cette année. L’ouverture des inscriptions se fera le 1er février à midi.

Est-il encore nécessaire de présenter le Monte Cristo ? Il s’agit de la course d’eau libre la plus importante en France. Elle se déroule tous les ans à Marseille, l’épreuve phare étant la traversée depuis l’île d’If jusqu’à la plage du Prado, soit 5 kilomètres.

C’est par bateau que les participants rejoindront l’île qui servait autrefois de prison, et qu’Alexandre Dumas a rendu célèbre dans son roman Le Comte de Monte-Cristo. Comme le héros du livre, Edmond Dantès, ceux-ci rejoindrons le continent à la nage, les plus rapides mettront moins d’une heure.

Véritable défi, la natation en eau-libre est une discipline d’endurance, dans laquelle il faut savoir gérer son effort et son orientation. Chacun aura son objectif, le plus modeste étant de réussir à terminer la course, ou plus ambitieux de viser un certain chrono ou même un classement !

Cette année il y aura deux courses de 5km sans palmes le vendredi et le dimanche, et une course avec palmes le samedi.

Seules les courses de 5km font la traversée depuis le Château d’If, mais il y a aussi des épreuves plus courtes de 1km et 2,5km qui consisteront à partir de la plage et d’effectuer un parcours en contournant des bouées et revenir. En tout c’est près de 4,000 nageurs qui sont attendus sur les trois jours !

Cette année la course célèbrera son vingtième anniversaire. A cette occasion une scène de concert sera mise en place dans le village du défi pour des soirées festives pendant le week-end.

Les habitués du Monte Cristo le savent bien, l’ouverture des inscriptions provoque une véritable frénésie, pouvant aller jusqu’à saturer le site d’inscription. La course aux inscriptions commence cette année le 1er février à 12h00. L’an dernier, toutes les places du 5km étaient vendues en moins d’une heure.

Les photos aquatiques du we

Première séance photo samedi dernier à la piscine Bernard Lafay ! Pour cette première séance photo nous étions une équipe mixte de 6.

Après de nombreuses prises de vue dans le grand bain, dans d’excellentes conditions, une dernière photo dans le petit bain avant de rejoindre les douches.

Merci à Marion pour cette soirée !

Il y a d’autres soirées photo de prévues, notamment ce we : samedi midi entre 13h et 14h30, samedi soir entre 19h30 et 21h, et dimanche de 10h à 12h. Le tarif pour participer est de 10 euros. Vous pouvez apporter des accessoires de déguisement, chapeaux, lunettes de soleil, et même costume !

Vous pouvez vous inscrire ici : http://www.doodle.com/88k9ursi3ard5eyx Il faut 5 participants pour confirmer la séance. N’hésitez pas à indiquer plusieurs disponibilités. Vous serez recontacté par la suite pour confirmation, avec les informations pratiques.

Inscrivez vous pour les prochaines séances photos en piscine

Envie de prendre la pause sous l’eau ? C’est possible, à la piscine Bernard Lafay dans le 17e, et également la piscine de Clichy. Nageurs.com vous propose des séances groupées, de 5 personnes à chaque fois, sur plusieurs dates d’avril.

Crédit photo : Marion de l’ASC Bernard Lafay.

Cela vous permettra de repartir avec des photos souvenir subaquatiques ! Les photos seront prise par Marion du club ASC Bernard Lafay. Vous pouvez également contacter cette association pour des séances photos privées, y compris dans des piscines privées par email : ascbl17@gmail.com.

Vous souhaitez participer, inscrivez votre email ou pseudo nageurs.com sur ce sondage www.doodle.com/88k9ursi3ard5eyx les groupes seront formés de 5 personnes. Une fois les groupes constitués vous serez contacté pour confirmer le rendez-vous.

Il est également possible le samedi 27 avril de privatiser la piscine de 18h30 à 20h30 pour nageurs.com. Cette option pourra être retenue s’il y a un minimum de 15 personnes intéressées pour cette soirée. Merci donc d’indiquer au plus vite sur le sondage Doodle vos préférences et disponibilités !

Les 12h de natation, c’est aujourd’hui !

Le Club des Epinettes de Paris organise aujourd’hui – samedi 13 octobre 2012 – la manifestation annuelle les 12h de natation. De 8h à 20h, toute personne sachant nager pourra se présenter et participer à ce relais géant !

Cela se passe à la piscine Bernard Lafay située près de la porte Clichy au 79 rue de la Jonquière 75017 Paris.

Des prix sont à gagner lors de cette journée. Ambiance festive et conviviale.

A suivre aussi sur le forum Pédiluve : http://www.nageurs.com/forum/pediluve/56472_Les-12-heures-de-natation-piscine-Bernard-Lafay-de-8h-a-20h.html

La nuit de l’eau 2012 à la piscine Blomet !

Un événement à noter tout de suite dans votre agenda, la nuit de l’eau samedi prochain (31/03/2012) !

A Paris, la piscine Blomet représentera Paris pour cette opération de grande envergure, parrainée une fois de plus par Alain Bernard. Voici le programme ci-dessous.

Dans le cadre de cette soirée, plusieurs clubs ont été contactés et apporteront leurs concours :
– Le CSF pour faire passer de nombreux baptêmes de plongée.
– La PPO sera également présente pour initier petits et grands à la nage avec palmes, et monopalme.
– Le Stade Français et ses nageuses de natation synchronisée feront un petit show.
– Le Neptune Club de France qui se charge de l’organisation !

Vous pourrez également pratiquer le water-polo, l’aquagym et bien sûr la natation. Sera également organisée une visite des coulisses de la piscine.
Comme l’année dernière, le hall d’accueil de la piscine sera réservé pour le bar de la nuit de l’eau, un concours de WII ou de rameurs ainsi qu’un atelier dessin et création de poupées organisé par les jeunes ambassadeurs de l’Unicef.

En plus de la nuit de l’eau, la piscine Blomet participe au défi de l’eau. A ce titre, 3 jeunes ambassadeurs de l’Unicef qui ont crées une équipe et qui viendront nager à Blomet le samedi 31 mars. N’hésitez pas à les soutenir en faisant un don sur leur page de collecte, http://defifrance2012.alvarum.net/jeunesambassadeursparis, votre don pour l’unicef est déductible à 75% de vos impôts.
Les dons collectés lors de ce défi permettront de financer, une nouvelle fois, le programme Eau et Assainissement mené par l’UNICEF dans les écoles du Togo.

L’entrée de la piscine pour cette soirée a été fixée à 3€, un supplément sera demandé aux personnes voulant effectuer un baptême de plongée (5€). Rendez vous dès 18h00 au 17 rue Blomet, 75015 Paris (M° Volontaires).

L’an dernier, c’est 202 piscines qui ont participé, pour voir les piscines participantes, rendez-vous sur le site de l’opération : http://www.lanuitdeleau.com/solidarite/ou-participer.aspx

Pour fêter l’heure d’été, ils se baignent dans la Seine

La marque de glaces Miko a organisé dimanche dernier une opération marketing à l’occasion du passage à l’heure d’été. Intitulée « Premier bain de l’été », celle-ci a permis à une quarantaine d’amateurs de desserts glacés de pouvoir se rafraîchir dans l’eau de la Seine ! Il faut dire qu’à 6°C il ne fallait pas être frileux pour se mouiller. Soyons rassurés, un docteur était présent pour surveiller les éventuelles hypothermies, et heureusement il n’y a pas eu d’incident.

Les participants semblent ravis. Sur leur bateau gonflable, beaucoup rêvent de pouvoir y replonger cet été ! En attendant, la Seine reste interdite à la baignade sauf autorisation préfectorale, le beau temps s’installe à Paris pour quelques jours, il va faire chaud, alors pour vous rafraîchir, il vous reste les glaces.

Le défi de l’eau, les 30-31 mars prochain

Vous connaissez peut-être l’événement La Nuit de l’Eau qui aura lieu cette année le samedi 31 mars dans toute la France. En marge de cet événement, a lieu « Le défi de l’Eau », qui consiste à récolter des fonds, et nager pour les enfants qui n’ont pas accès à l’eau potable en Afrique.

Organisé par l’UNICEF, chacun peut participer individuellement ou en équipe. Il faut que chacun réussisse à collecter 150 euros minimum afin de participer au relais symbolique dans la magnifique piscine de Puteaux. Ces dons sont déductibles à 75% de l’IR.