Après la piscine, l’odeur du chlore a tendance à rester sur la peau et les cheveux. Peut être faites vous partie de celles et ceux qui aiment l’odeur du chlore : certains affirmant même que le chlore est leur parfum ! Mais si vous lisez cet article c’est probablement le contraire, et votre première préoccupation après une séance de natation est d’éliminer l’odeur de chlore. Voyons ensemble comment se débarrasser de l’odeur du chlore après la piscine.
L’importance de prendre une douche après la baignade
Prendre une douche immédiatement après la piscine est le geste le plus évident pour limiter les effets néfastes du chlore sur la peau et les cheveux. En effet, le chlore, en restant sur l’épiderme et le cuir chevelu, continue à agir même après la baignade, contribuant à la déshydratation, aux irritations, et à cette odeur tenace. Une douche même rapide permet non seulement de rincer les résidus de chlore, mais aussi de restaurer le film hydrolipidique protecteur de la peau.
Les produits de douche « anti-chlore »
Pour éliminer efficacement les résidus de chlore après une séance de natation, il faut choisir des produits de douche adaptés. et formulés spécialement pour neutraliser les effets desséchants et l’odeur persistante du chlore. Des marques proposent des produits spécialement pour les nageurs.
Les savons aux ingrédients naturels
Parmi les produits de douche anti-chlore, un savon naturel au beurre de karité peut également être un excellent choix, grâce à ses propriétés hydratantes et apaisantes qui aident à réparer la peau tout en neutralisant l’odeur de chlore après la piscine.
Le beurre de karité aide à restaurer la barrière cutanée mise à mal par le chlore. Le savon au beurre de karité permet aussi d’apaiser les irritations et d’éviter la déshydratation. On peut trouver en ligne des savons bio au beurre de karité sur le site Comme Avant qui fabriquent eux-mêmes leurs propres savons à partir d’huile d’olive biologique.
Shampoings et traitements spécifiques pour les cheveux
Le chlore peut rendre les cheveux cassants et secs. Si c’est votre cas vous pouvez y remédier en utilisant des shampoings spécialement formulés pour éliminer le chlore. Ces shampoings sont conçus pour neutraliser et éliminer les résidus de chlore. Enfin, l’utilisation d’un bonnet de bain permet de réduire la quantité de chlore qui entre en contact avec les cheveux, lorsque celui-ci est bien ajusté.
N’hésitez pas à mettre en commentaire quels sont les produits que vous utilisez pour la douche après la piscine 😉 et pensez également à bien rincer et sécher vos affaires après la piscine, afin d’éliminer les résidus de chlore et prévenir les dommages liés à l’humidité.
Que vous soyez un nageur occasionnel, un athlète de haut niveau ou un adepte de la natation en eau libre, le choix des lunettes de natation est crucial pour garantir confort, performance et protection. Des lunettes bien adaptées peuvent faire toute la différence entre une séance de natation agréable et une expérience frustrante marquée par des fuites d’eau, de la buée ou des marques douloureuses autour des yeux. Dans cet article, nous allons vous guider à travers les différents critères à considérer pour choisir les lunettes de natation qui répondront parfaitement à vos besoins spécifiques.
Pourquoi il est important de choisir des lunettes adaptées à sa pratique ?
Choisir des lunettes de natation adaptées en tenant compte de votre niveau et de votre pratique spécifique est essentiel pour assurer confort, performance et sécurité dans l’eau. Pour les nageurs de loisir, il est possible d’opter pour un masque ou des lunettes de nation disposant de rebords en silicone souple pour le confort, et des sangles facilement ajustables. Pour les entraînements de natation, des lunettes plus profilées sont à privilégier, tout en gardant un certain confort. Pour celles et ceux ayant des besoins visuels spécifiques, les lunettes de natation correctrices sont recommandées pour un confort visuel dans l’eau, offrant une alternative pratique et sécurisée aux lentilles de contact pendant l’activité aquatique. On peut se procurer ces lunettes de natation, y compris les modèles correcteurs, auprès des magasins spécialisés en articles de sport, sur des sites en ligne dédiés, ou auprès d’un opticien.
A noter que pour un usage en extérieur, des verres teintés voire même avec un reflet miroir permettent d’éviter l’éblouissement. En intérieur, lorsque l’éclairage est important il peut également être plus agréable d’opter également pour ces lunettes à verres teintés.
En compétition, les lunettes doivent avant tout être hydrodynamiques, car c’est la recherche de la performance qui prime ! Les lunettes doivent pouvoir être bien serrées et l’écartement des deux verres doit être optimal pour que le tout reste parfaitement en place lors du plongeon et de la nage. Pour cela il faut se tourner vers un modèle qui correspond à la forme et la taille de son visage, ou bien vers des modèles ayant des ponts de nez interchangeables, ou pourquoi pas des lunettes suédoises – ces lunettes de natation minimalistes à monter soi-même et qui permettent un bon ajustement. Pour la natation en eau libre, il faut choisir des lunettes offrant une protection UV maximale et des verres polarisés pour réduire l’éblouissement, tout en assurant une large vision pour mieux se repérer dans l’eau et dans l’environnement avoisinant.
Comment choisir un modèle de lunettes de piscine ?
Choisissez des lunettes qui allient confort, performance et fonctionnalités adaptées à votre type de pratique. Priorisez un ajustement confortable et étanche, favorisant les modèles avec des rebords en silicone souple qui s’adapte à la forme de votre visage, et si possible essayez vos lunettes avant de les acheter !
Selon votre pratique, optez pour un modèle simple, un masque de nage, des lunettes d’entraînement ou de compétition. Vérifiez que celles-ci sont dotées d’un traitement anti-buée ou bien procurez-vous un flacon d’anti-buée (la salive peut aussi faire l’affaire !). Pour une pratique en extérieur privilégiez celles avec une protection UV et des verres teintés.
Comment prendre soin de ses lunettes pour qu’elles durent plus longtemps
Pour prolonger la durée de vie de vos lunettes de natation, il est essentiel de les entretenir régulièrement et correctement. Après chaque utilisation, rincez vos lunettes à l’eau claire pour éliminer le chlore, le sel ou toute autre substance pouvant endommager les matériaux. Évitez de toucher l’intérieur des verres avec vos doigts pour ne pas altérer le traitement anti-buée. Entreposez vos lunettes dans un étui de protection pour éviter les rayures.
En prenant le temps de choisir des lunettes adaptées et en en prenant soin régulièrement, vous maximisez votre confort, votre performance et la durabilité de vos équipements de natation.
Il y a quelques années ont émergés les lecteurs mp3
aquatiques, dont la promesse était d’emporter sa musique à la piscine pour
rompre la monotonie de l’entraînement. L’effet de mode s’emble s’être estompé,
on croise en effet beaucoup moins de nageurs fanas de musique qu’il y a
quelques années.
Cela n’a pas empêché les marques d’améliorer les produits,
jusqu’à faire appel à des innovations technologiques. En effet jusqu’alors, les
écouteurs mp3 dits étanches ne l’étaient pas complètement. Il s’agissait pour
la plupart d’écouteurs classiques qui étaient chacun isolés dans un petit
boitier hermétique percé pour que le son puisse sortir, auquel on adjoignait un
bouchon en silicone pour le contact avec l’oreille. Le bouchon servant de joint
d’étanchéité. Or, il n’était pas rare que de l’eau s’y infiltrait noyant ainsi
le système qu’il fallait alors bien sécher pour retrouver ensuite un son
audible.
Ces tracas sont heureusement terminés avec l’émergence d’une nouvelle technologie qui est la conduction osseuse ! Contrairement aux écouteurs classiques, ce n’est plus une membrane qui vibre pour délivrer des sons ensuite captés par le tympan, mais des vibrations qui sont directement émise puis se propagent par les os du crâne jusqu’à l’oreille interne. Ainsi il n’est pas nécessaire que l’appareil soit intra-auriculaire, le dispositif de vibration se place sur la tempe.
Alors concrètement, à quoi s’attendre ? J’ai eu l’occasion d’essayer
sur plusieurs séances le casque sportif Xtrainerz. En plus d’avoir un design épuré et agréable à
porter, les écouteurs sont légers, facile à mettre en place.
Les premières impressions sont agréables, le son passe aussi bien dans l’eau que hors de l’eau. Même en allant plus d’un mètre sous l’eau la musique reste tout à fait audible.
Lors de la nage s’ajoute en revanche le bruit de l’eau qui
est d’autant plus fort que la nage intense. S’ajoutent également les bruits
ambiants de la piscine, ce qui pénalise l’écoute même en poussant le volume
assez fort. Malgré cela je trouve tout de même le dispositif satisfaisant, et
permet d’égayer des séances en solo sans programme. Le rythme et les mélodies
est un réel stimulant à la motivation, et casse la monotonie de la séance.
Trois petits boutons permettent de contrôler le volume,
mettre en pause, et passer au morceau suivant, c’est assez intuitif.
Pour conclure, le XTrainerz d’Aftershokz est donc un produit plutôt bien réussi, tant sur le design que sur la qualité générale. Il ne faut pas s’attendre à un son parfait, mais celui-ci est néanmoins satisfaisant pour une pratique sportive.
Cela ne vous aura sans doute pas échappé, l’usage des montres sportives s’est démocratisé et de nombreux modèles ont été mis sur le marché. Même dans les piscines où l’équipement du nageur se limitait jusqu’à il y a encore peu au maillot de bain – lunettes – bonnet, on voit de plus en plus de nageurs arborant une montre haut de gamme au poignet. Mais toutes les montres ne se valent pas, certaines sont spécialisées dans un sport en particulier, la tendance est la montre multisport. Il est important d’utiliser des comparatifs en ligne pour choisir sa montre connectée car le choix est vaste.
Certaines montres sportives permettent de mesurer de manière
assez précise l’activité réalisée dans la piscine. Il suffit d’indiquer la
longueur du bassin, et la montre compte pour vous votre distance, en détectant
chacun des virages en bout de ligne. Plus fort, certaines montres sont capables
de détecter votre type de nage, de vous chronométrer sur chacune de vos longueurs
et série, et de compter le nombre de cycles de bras.
Le nageur loisir aura ainsi des statistiques qu’il pourra
ensuite utiliser pour suivre sa progression, le nageur en club pourra lui
retrouver le détail d’une séance et le kilométrage réalisé.
Alors quels sont les critères à regarder pour choisir sa montre sportive ?
Chaque montre ayant ses spécificités propres, il est important de bien comparer ses caractéristiques comme son autonomie, son prix, etc, mais aussi les capacités et sa précision à mesurer les séances d’entraînement.
Les critères sportifs
Le critère principal devrait être la capacité de la montre à
faire un suivi de l’ensemble des sports que vous pratiquez, y compris
occasionnellement.
Ainsi un nageur pratiquant occasionnellement la course à
pied aura tout intérêt à choisir une montre lui permettant de suivre ces deux
sports.
La présence d’un capteur GPS dans la montre est de plus en plus répandu. Celui-ci apporte un réel plus pour toutes les activités sportives en extérieur, tel le vélo, le kayak, ou la nage en mer.
L’application permettant de consulter ses séances est
également importante afin d’avoir accès de manière simple et lisible au détail
de ses entraînements.
Plus plus en plus de modèles sont capables de mesurer le cardio directement au poignet, sans avoir besoin de compléter par une sangle. Cette mesure peut être particulièrement utile dans certains sports, mais aussi pour mesurer une fréquence cardiaque au repos.
D’autres capteurs comme la température permettent de mesurer très précisément par exemple en piscine ou en milieu naturel la température de l’eau.
Certaines montres disposent aussi d’un capteur barométrique permettent de mesurer l’altitude. Idéal pour le ski, la marche en montagne, ou le parapente !
Les autres fonctions possibles
On peut utiliser sa montre pour mesurer son activité physique au quotidien, comme le nombre de pas, les calories consommées, sa fréquence cardiaque, et même la durée et la qualité de son sommeil.
Certaines marques comme Garmin proposent des montres avec un module NFC permettant de payer ses achats sans contact, ou de stocker de la musique pour l’écouter avec un casque bluetooth. Il y a aussi des modèles comme l’Apple Watch ou les montres Android qui permettent de faire tourner tout un écosystème d’applications sur la montre. Il commence à y avoir également des montres disposant de leur propre carte sim !
Enfin les fonctions de base comme donner l’heure, ou proposer des répétitions d’une ou plusieurs durées (très utile pour du fractionné ou de la gym).
Des montres que l’on utilise aussi au quotidien
Le design et le choix des matériaux rend les montres sportives adaptées à être portées au quotidien, à la place des montres traditionnelles. Des marques horlogère proposent aussi des modèles de montre connectée femme de luxe.
Une question que je me suis longtemps posé pour la nage en eau libre, c’est combien de temps la combi en néoprène fait-elle gagner par kilomètre ?
Selon les courses il y a plus ou moins de participants qui
utilisent une combinaison. Une quasi-unanimité en porte par exemple pour le
10km Open Swim Stars de Paris où les nageurs en maillot sont plus rares d’année
en année. D’autres courses au contraire ont davantage de nageurs en maillot
comme le tour du roc. Alors faut-il nager en combinaison ou se contenter du
maillot de bain ?
Les bénéfices que
peut présenter le port de la combinaison
Tout d’abord la première raison de porter une combinaison c’est
si la température de l’eau est trop froide pour vous. En effet beaucoup de
nageurs ne supportent pas le froid, y compris de bons nageurs. Sur les
longueurs distances la combinaison permet d’éviter ou de repousser l’hypothermie.
Viennent ensuite des considérations orientées performance.
Le néoprène est plus léger que l’eau et aide ainsi à la flottabilité, le nageur
aura ainsi moins d’effort à fournir pour maintenir l’alignement des jambes qui seront
maintenues sans effort à la surface. Par ailleurs la combinaison étant très ajustée
sur le corps, le ventre et autre bourrelets sont contenus et le corps du nageur
est plus droit et lisse dans l’eau. La matière lisse offre également moins de
friction lors du déplacement dans l’eau.
Les inconvénients de
nager en combinaison
Lorsque l’on n’est pas frileux, on peut avoir chaud en
portant une combinaison, même dans une eau à moins de 20°C. En effet il y a
très peu de circulation d’eau entre la combinaison et la peau. Le corps peut donc
avoir du mal à réguler correctement la température corporelle lors d’un effort
intense. Préférer dans ce cas des combinaisons sans manches, car ce sont les
épaules qui chauffent le plus.
Les sensations de l’eau sont inhibées, le corps n’étant quasiment plus en contact avec l’eau. On ne sent donc pas les petits courants, il y a donc un risque plus grand de dévier de sa trajectoire : il faut donc s’assurer régulièrement du cap suivi.
De la même manière les sensations de la nage ne sont pas les
mêmes, le corps est légèrement plus haut, les jambes sont maintenues en
surface, la surface de contact des bras avec l’eau est augmenté de l’épaisseur
du néoprène, il y a une résistance supplémentaire lorsque l’on nage. Il est
donc préférable d’essayer au préalable sa combinaison dans l’eau pour
apprivoiser ces nouvelles sensations.
Précautions à prendre
lorsque l’on nage avec une combinaison
Les combinaisons peuvent occasionner des frottements pouvant aller jusqu’à provoquer des lésions cutanées. Il faut donc graisser le cou et les zones où il peut y avoir de la friction comme les aisselles et les têtons.
Le néoprène est une matière fragile, et les combinaisons peuvent être difficiles à enfiler. Il est donc fortement recommandé d’utiliser des gants pour éviter de la déchirer avec les ongles.
Les sensations de nage sont différentes de la nage sans
combinaison, il faut se préparer à découvrir des sensations différentes d’une
compétition en maillot de bain.
Conclusion : Quel
gain pour une course d’eau libre ?
J’ai donc utilisé pour la première fois une combinaison sur une distance de 10 kilomètres le WE dernier lors de l’Open Swim Stars. C’est une course dans un canal pour laquelle il n’y a pas de problème d’orientation, ni de courant : une belle ligne droite. J’avais réalisé la course l’an dernier en maillot de bain, et mis 3h01’33. Cette année sur la même distance j’ai nagé en 2h32’23, soit 29’10s de moins ce qui correspond à une amélioration de2 minutes 55 par kilomètre.
Je pense qu’il faut néanmoins nuancer ce chiffre qui va dépendre du niveau d’entraînement, de la qualité de la combinaison, des conditions uniques de la course, de la forme du moment, et de la technique du nageur : le bénéfice chez un nageur moyen sera plus grand que pour un bon nageur.
Avant la course je m’attendais à un écart de 1 minute par kilomètre. J’avais pour objectif de boucler la course en 2h40 voire 2h45. Le chrono a donc été une excellente surprise au dela de mes attentes !
Test de la montre Polar Vantage, pendant un mois pour des séances de natation. Précision du cardio, de la détection du style de nage, et des autres indicateurs de cette montre sportive haut de gamme.
Ce modèle dernier cri de la marque finlandaise Polar intègre
une nouvelle génération de capteur de rythme cardiaque, et promet des
améliorations dans les mesures sportives des différentes disciplines, notamment
pour la natation.
Utilisant la montre depuis un peu plus d’un mois, je vais vous partager à travers cet article mes impressions sur la montre et ses possibilités au quotidien.
Une nouvelle
technologie de capteur au poignet fonctionnant également dans l’eau
Avec cette montre, Polar introduit un nouveau type de capteur appelé Polar Precision Prime, qui combine des mesures optiques par clignotement de LED, ainsi que des mesures du contact avec la peau. Cette double mesure permet de suivre précisément le rythme cardiaque dans toutes les conditions, y compris dans l’eau en natation, et de permettre aussi de calculer le nombre de calories dépensées.
Autonomie
Un des points forts est l’autonomie de la batterie, celle-ci peut tenir une semaine, les caractéristiques techniques de la montre mentionnent 40 heures de mesure d’activité. La montre se charge avec un connecteur USB spécifique.
Intégration avec l’application
Polar Flow
La synchronisation permet d’envoyer les mesures de la montre vers Polar Flow. Il suffit de presser le bon bouton sur la montre pour que les données soient envoyées en bluetooth sur le téléphone qui se charge de les enregistrer en ligne.
L’application Polar Flow permet sur le téléphone d’avoir des
mesures globales sur l’activité. Le service en ligne donne davantage
d’information par exemple en natation le détail des longueurs par nages.
Lors de la synchronisation, la montre récupère également la
prévision des positions des satellites de géolocalisation afin d’être capable
de récupérer les signaux GPS rapidement pour les activités en extérieur.
La montre est capable de mesurer les séances d’un grand nombre de sports, ceux-ci pouvant être paramétrés depuis l’application et chargés sur la montre lors d’une synchronisation.
Vous l’avez deviné, c’est principalement les aptitudes de mesure de séance de natation qui m’intéressent dans cette montre !
Utilisation de la
Polar Vantage à la piscine
A la fin de chaque séance, j’inscris le détail de l’activité
sur nageurs.com. Mais souvent j’ai du mal à me rappeler en détail des
instructions que le coach nous a fait suivre lors de l’entraînement… Combien de
fois avions-nous fait telle ou telle série ? Avions nous d’abord fait
cette série ou plutôt celle-là ? Quel temps avais-je mis pour nager telle
distance ?
La montre permet de garder cet historique, et fournit en
plus des indicateurs sur les zones cardio, et aussi les temps pour chacune des
longueurs, ainsi que les pauses.
Les mesures sont relativement précises, la montre détecte
bien chacune des 4 nages, et la distance mesurée en fin de séance est très
proche de celle du programme à quelques longueur près.
Mais j’ai tenu tout de même à faire des tests plus approfondis pour vérifier l’exactitude des mesures de la montre, et vous livre ici en détail mes remarques.
La détection du style
de nage
La montre utilise un accéléromètre pour mesurer la
trajectoire du poignet et a été programmée pour reconnaître chacune des 4 nages
à partir de ce mouvement.
Il arrive néanmoins que la montre ne détecte pas la bonne
nage, comme des longueurs en papillon qui sont parfois interprétées comme du
crawl, ou même parfois comme du temps de pause.
Parfois des longueurs ne soient pas détectées, comme par exemple
lors d’un 10 x 25m départ 35’ : la montre n’en a mesuré que 9… le 7e
a été intégré dans du temps de pause. Je les ai tous nagés entre 15 et 16s mais
la montre indique une variation entre 13s et 20s. A contratio, parfois les mouvements réalisés à l’arrêt lors d’une
pause sont interprétés comme une nage, par exemple sur un 8×50 crawl, une
longueur de 25m brasse a été rajoutée à la place d’un des temps de repos.
Lorsque l’on enchaîne le papillon, dos, brasse et crawl à la suite, la montre devine que la succession des différentes nages correspond à du 4 nages et l’indique comme tel dans l’interface web Polar Flow. Il y a néanmoins un bug à l’affichage de l’interface qui regroupe les 3 premières nages et indique le crawl séparément. Un autre bug plus gênant c’est que le tableau a tendance à ne pas afficher les dernières longueurs à la fin de la séance. Par exemple sur une séance de 3200m qui se termine par un 400m 4 nages, le tableau n’affiche pas ce 400m 4 nages (juste le premier 25m papillon) alors que le compteur global intègre bien cette dernière série. En regardant de plus près comment était fait le site, j’ai pu voir que les données étaient bien là et que c’est donc à l’affichage qu’une partie n’est pas affichée.
Détection des virages
Pour pouvoir calculer les temps entre chaque longueur et le nombre de coups de bras, la montre est capable de détecter les virages. Le temps par longueur est bien entendu moins précis que celui que l’on pourrait prendre au chronomètre car l’instant précis du virage ou la culbute est parfois déterminée trop tôt ou trop tard. De même que le temps de démarrage d’une longueur, ou de l’arrêt au mur. Des variations de quelques secondes sont donc possibles. Cela est suffisant pour connaître l’allure de la nage, mais pas pour mesurer ses progrès dans une nage (ou alors il faudrait faire une moyenne entre plusieurs séries). La mesure des temps intermédiaire permet tout de même de se rendre compte de l’évolution de sa vitesse au fur et à mesure des longueurs ou des séries.
Le calcul du nombre
de mouvements par longueur
Le nombre de coups de bras par longueur mesuré est plutôt
satisfaisant, et plutôt proche de la réalité, bien que j’ai pu constater
quelques écarts, par exemple en dos 20 mouvements mesurés au lieu de 16
réalisés, 7 ou 9 mesurés en brasse alors que j’en ai fait deux fois 8, ou alors
en crawl 18 puis 22 mesurés alors que j’en ait fait deux fois 19.
Chronomètre et compte
à rebours
La montre permet pour la natation et d’autres activités de déclencher
un compte à rebours après avoir activé cette option dans Polar Flow. Il n’est
cependant pas évident de retrouver cette option et de la configurer pendant la
séance.
Natation en eau libre
Un mode eau-libre a également été ajouté récemment par
Polar, pour permettre d’avoir le tracé GPS de ses sorties, et suivre
l’évolution des indicateurs comme le rythme cardiaque ou la vitesse. Le signal
GPS étant capté lorsque la montre est émergée, ou très proche de la surface de
l’eau.
Ayant réalisé le test en hiver, je n’ai pas eu encore
l’occasion de tester ce mode.
Conclusion
La Polar Vantage est une montre multisport plutôt haut de
gamme, qui mesure à la fois du temps de sommeil et des activités. L’application
donne une indication du degré de fatigue induit par les entraînements et le
repos nécessaire pour récupérer, en intégrant les données du sommeil.
Les nombreuses options de la montre la rendent très complète
mais la maitrise de toutes les possibilités nécessite un peu de pratique.
La montre présente de nombreux intérêts pour le nageur, mais aussi pour les autres sports, tant à l’entraînement pour le suivi de l’activité, qu’en compétition avec des mesures dans l’ensemble précises.
La montre est vendue 499€, actuellement en promotion à 445€ sur Amazon.
La marque Polar spécialiste des traqueurs d’activités, a développé une montre intégrant un profil natation en piscine en plus des autres sports.
J’ai eu l’occasion d’essayer la montre sportive Polar V800, avec le capteur cardiaque OH1 qui se porte au bras, et j’ai résumé dans cet article mes impressions.
La montre Tomtom Spark 3 ou Runner 3, fait partie de cette nouvelle génération de montres multi-sport, bardées de capteurs, permettant de réaliser un suivi de toutes ses activités et de construire des rapports graphiques à l’aide de toutes ces données.
Première prise en main
La boîte contient la montre ainsi qu’un cable pour la charger, avec une connectique USB. La montre n’était pas chargée au déballage, il faut donc la charger avant la première utilisation.
Pour profiter pleinement de la montre, l’idéal est d’ouvrir un compte sur le site TomTom Sports et d’installer l’application du même nom sur son téléphone : la montre va ensuite envoyer par bluetooth au téléphone les nouvelles activités, qui va les sauvegarder dans le cloud et seront visibles à la fois dans l’application et sur le site web de Tomtom.
D’un point de vue esthétique
La montre est légère et plutôt confortable à porter. L’ensemble des contrôles se fait au travers le bouton sous le cadran, qui permet comme un joystick de naviger dans l’ensemble des écrans de manière plutôt intuitive.
Le look de la montre est assez sportwear, elle peut se porter également avec une tenue de ville. La montre est un peu épaisse, et tient bien en place une fois au poignet, si bien qu’avec des vêtements ajustés il faut parfois la manipuler pour voir l’écran.
Il y a un mode rétro-éclairage qui s’active lorsque l’on passe la main sur le cadran.
Usages de la montre
Traqueur d’activité
La montre va traquer automatiquement le nombre de pas, le rythme cardiaque au repos, les calories brûlées, ainsi que la quantité de sommeil quotidien. Ces informations seront ensuite consultables de manière aggrégées par jour. L’interface web donne par exemple jour après jour l’évolution sur une courbe du rythme cardiaque au repos, les horaires de sommeil, etc.
Utilisation en piscine
Le mode piscine permet de mesurer la distance parcourue. La montre détecte les virages, compte les coups de bras, mais ne détecte pas la nage.
Le mode natation est plutôt basique. Celui-ci ne permet pas de mesurer le rythme cardiaque, il n’est pas possible de déclencher un chrono non plus, ni de programmer une séance avec des répétitions ou des objectifs. Le détail du nombre de mouvements par longueur n’est plus disponible une fois l’activité terminée.
La détection des virages est loin d’être parfaite, par exemple lors d’une série de 100 mètres 4 nages en bassin de 50 mètres il y a un changement de nage en milieu de bassin. La montre compte une première longueur vers 35 mètres, ignore le virage, puis recompte une longueur vers le milieu de la longueur de retour. Plus embêtant, sur un 200m crawl réalisé à allure soutenue (moins de 3 minutes), les virages sont parfois détectés en avance ! Par conséquent le nombre de coup de bras par longueur, et le calcul du swolf sont très approximatifs.
Sur ma dernière séance de 3km, la montre a détecté 250 mètres de moins que la réalité.
J’ai testé les autres modes de la montre pour voir si celle-ci pouvait néanmoins avoir un intérêt pour la natation. Le mode course à pied ne permet pas de capter durablement le signal gps (la piscine dans laquelle j’ai fait le test est couverte). En revanche, le mode gym permet d’activer le cardio, et lors de la synchronisation de récupérer le détail seconde par seconde.
En course à pieds
C’est principalement ce mode qui m’a incité à acheter cette montre, notamment la mesure du rythme cardiaque. Jusqu’à présent j’utilisait l’application Runkeeper sur téléphone lors de mes sorties, et je n’avais pas de suivi cardio. Pour comparer, j’ai activé la montre, et Runkeeper lors de mon footing.
La précision du GPS semble meilleure sur la montre, les tracés étant plus réguliers sur les chemins. Une fois la séance chargée sur TomTom Sport, on a accès à un écran de statistiques très précis, où chacune des mesures est raccrochée à un point du parcours. Ainsi il est aisé de voir à quel moment le rythme cardiaque augmente, à partir de quand il redescend, etc.
Comme avec Runkeeper, on a accès aux statistiques par fraction de 1km. Il manque à ce niveau une mesure importante : le nombre de pas par minute. En effet étant en même temps en train d’essayer d’appliquer la méthode Light Feet Running écrite par @Klapo, dont l’un des fondamentaux est de tendre à courir à 180 foulées par minute. Or la montre ne donne qu’une statistique moyennée sur l’ensemble de la sortie, impossible de voir l’évolution sur le tracé.
Enfin la mesure du rythme cardiaque m’a surpris, car selon les mesures j’ai couru à une allure extrème (jusqu’à 187 bpm) pendant presque une heure ! Alors que j’arrivais à discuter avec mon partenaire de course, certes en étant essoufflé mais quand même… Lui était plutôt autour de 150.
En vélo
La montre indique en temps réel la distance, la vitesse instantanée, ou encore le rythme cardiaque. La montre détecte les pauses et les ignore pour calculer la vitesse moyenne. Ce mode est assez complet pour mesurer l’activité, et permet ensuite de visualiser sur une carte son parcours, et de le mettre en corrélation avec différentes mesures.
L’enregistrement de parcours
Il est possible d’importer sur le site de Tomtom sport un parcours afin qu’il soit transféré sur la montre : techniquement cela se fait lors d’une synchronisation avec le téléphone. Le parcours doit être au format gpx. Pour tester la fonctionalité, j’ai créé un parcours sur Google MyMap qui permet un export au format kml, puis converti le fichier en gpx sur kml2gpx.com et enfin vérifié le tracé sur visugpx.com.
Sur la montre on peut visualiser le tracé du parcours, la montre trace par dessus le trajet réel. Lorsqu’il y a un écart celle-ci vibre pour indiquer un mauvais chemin. Je trouve cette fonctionnalité plutôt réussie.
Performances matérielles
La montre est réactive, dispose d’une autonomie correcte, et les mesures semblent pour la plupart cohérentes.
Les points à améliorer et les défauts concernent plutôt la partie logicielle embarquée dans la montre.
Pour résumer
Un bon choix de montre pour les besoins d’un sportif régulier amateur.
Points forts
Le mécanisme de synchronisation entre la montre, le téléphone, et le cloud
L’application web TomTom Sports qui est plutôt réussie
Points à améliorer
Le mode nage imprécis sur les distances
La détection de la nage, et l’enregistrement du cardio
Pas de mode natation en eau libre
Pas de suivi du nombre de foulées par minute en course à pied
Le marqueting introduit de la confusion en vendant la même montre sous plusieurs noms, et déclinés par taille de bracelet, avec ou sans cardio, avec ou sans musique, et le tout à des prix différents.
On trouve cette montre dans les magasins de sport, j’ai acheté la mienne sur Amazon. Si vous voulez faire de même, merci de suivre ce lien partenaire Amazon.
La natation n’échappe pas à la transformation numérique ! Même si l’entraînement traditionnel a sans doute encore de beaux jours devant lui, les nouvelles technologies permettent à la fois au nageur individuel et nageur en club de bénéficier de ces innovations.
Le club Neptune Club de France expérimente déjà cinq technologies différentes principalement pour ses groupes de compétition. Nous allons en avoir un aperçu dans cet article.
Le système vidéo avec visualisation différée ou en direct
Il s’agit d’une caméra aquatique grand angle placée sous l’eau, et fixée à une perche permettant une fixation temporaire sur le bord du bassin. La vidéo est transmise par wifi et s’affiche ensuite sur des écrans que les nageurs peuvent voir ainsi que sur la tablette de l’entraîneur. La vidéo peut être différée de quelques secondes afin que les nageurs puissent voir leur manière de nager. C’est une technologie australienne développée par la startup SwimPro.
Le principal intérêt de ce système est de permettre à l’entraîneur de voir le geste sous-l’eau et ainsi déceler des défauts techniques. Le nageur lui pourra prendre conscience de ces défauts en visionnant la vidéo.
Le casque de communication aquatique
S’il y a bien une technologie qui fait l’unanimité parmis ceux qui l’ont testé c’est bien celle-ci ! Celle-ci permet à l’entraîneur de parler aux nageurs. Le casque que porte les nageurs embarque une technologie de diffusion de son par résonance osseuse ce qui permet une qualité sonore bien supérieure aux hauts-parleurs dont le son est quelque peu noyé dans l’eau.
En plus de pouvoir adapter en temps réel sa nage par rapport aux points techniques demandés par l’entraîneur, le casque permet de rompre complètement la monotonie d’une série, mais aussi de recevoir les consignes au fur et à mesure. Il a été créé par une société suédoise Olander Aquatic Products AB. J’ai eu l’occasion de le tester (car je fais partie du club mais pas dans un groupe compétition) et je peux témoigner de l’efficacité redoutable de ce système, qui a permis à notre coach de corriger chacun d’entre nous quasiment à chaque longueur !
L’assistant entraîneur numérique
Il s’agit d’un objet connecté que porte le nageur sous le bonnet, et qui transmet en temps réel par bluetooth des informations de ces capteurs à l’entraîneur comme le nombre de coups de bras par longueur, les temps des virages, la fréquence, etc.
Le triton est un système qui vient du Canada de la société TritonWear. La particularité de cette technologie est qu’elle fonctionne sur un principe d’achat + abonnement mensuel par appareil.
L’adversaire numérique
Les jeunes nageurs du club en sont fan. C’est sans doûte le dispositif le plus ludique de tous. Il s’agit d’un dispositif lumineux développé par la société italienne Myrtha Pools qui construit des piscines pour les collectivités. Dans la version testée au club, c’est une ligne de LED de 50 mètres posée au fond du bassin.
Cette ligne permet de programmer un adversaire numérique, que le nageur va essayer de battre. Contrairement à un partenaire de nage, l’adversaire numérique n’est jamais fatigué, le repère lumineux permet de savoir à tout moment l’avance ou le retard qu’a le nageur.
On peut y programmer la performance d’un athlète ou simplement le calibrer sur un chrono.
Surtout cette ligne permet d’assister l’entraîneur car elle donne les départs entre les nageurs qui ont chacun dans leur ligne leur adversaire numérique les uns derrières les autres. L’entraîneur peut donc observer la technique et les performances des nageurs plutôt que de perdre du temps à donner les départs.
Le bracelet connecté
Le Swimtag est plutôt destiné aux nageurs loisir, et aux collectivités qui peuvent mettre à disposition ce bracelet étanche qui calcule les distances de nage, et envoie les données dans le cloud lorsque le bracelet est rendu.
Celui-ci permet aux nageurs de retrouver ensuite sur leur espace personnel en ligne les données collectées comme la distance, les calories dépensées, et voir l’évolution.
Il permet également de fixer des challenges virtuels collectifs par exemple atteindre une certaine distance de nage.
Celui-ci fonctionne par abonnement, et a été développé par la société 222 Sports Limited au Royaume Uni.
Un mot pour finir sur le Neptune
Le Neptune est un club de natation parisien qui a été créé en 1906 et qui compte aujourd’hui plus de 700 adhérents. Au classement national des clubs il est le 3e sur Paris et 60e sur le pays.
Dans la jungle des objets connectés il y en a certains plus innovants que d’autres, et c’est clairement le cas du swimbot. Il s’agit d’un dispositif électronique sous la forme d’un petit boitier à glisser sous le bonnet de bain.
Bourré de capteurs, celui-ci analyse la nage dans ses moindres détails, et détecte toutes les anomalies de nage. Grace à des écouteurs dits à résonnance crânière fonctionnant sous l’eau, le nageur reçoit en temps réel des alertes sur ses défauts de nage, sous forme de bips.
Il y a un certain nombre de programmes permettant d’évoluer progressivement dans sa nage.
On peut trouver un grand nombre de vidéos, et d’articles sur le sujet. Il y a parmi les parrains de cette initiative le champion Alain Bernard.
Une personne l’a testé et donné ses impressions sur nageurs.com, après avoir été sélectionnée pour en faire un test, en compagnie notamment des équipes de Swimbot.
(crédit photo: Swimbot & Chronomaîtres)
Quelques extraits de commentaire :
Au premier abord, cela a l’air super simple, mais je reste tout de même assez sceptique sur le fait que ce petit boitier puisse me permettre de me perfectionner en crawl… après tout, mon coach me dirige plutôt pas mal nan 😛
…
Les équipes sont aux petits soins avec nous et nous mettent vite à l’aise d’autant plus que ce petit boitier, que je commence à bien apprécier, est assez simple à manipuler.
Le SWIMBOT se présente comme un petit téléphone et est doté de 2 deux écouteurs à résonnance crânienne que l’on glisse sous le bonnet. (Utile pour le coup !)
Je passerai sur l’aspect technique et garderai le côté ludique de cet ovni qu’est le @swimbot. Pour les informations techniques, je vous invite à vous rendre sur la page de @swimbot où toutes les informations sont disponibles.
Ce qu’il faut retenir, c’est que moins le bestiau « bip », plus votre nage se rapproche du mouvement parfait. J’ai été scotchée sur le fait qu’il a détecté de suite mes défauts notamment, un mouvement de bras gauche à l’ouest 😎 Je ne sais pas pourquoi, il ne m’écoute pas celui-là !
Il sait également détecter le moindre petit défaut et vous le fait savoir avec un petit BIP qui résonne dans vos oreilles. (Une tête trop hors de l’eau, un alignement moyen, une mauvaise position des bras, une propulsion à la ramasse ….) pire que l’œil avisé de mon coach qui pourtant ne passe sur rien !
Le jeu consiste donc à se concentrer un max afin d’éviter au petit bonhomme qui se trouve dans l’appareil de « BIPER » et pas moyen de l’amadouer celui-là !!! Inutile de lui faire le coup « J’ai une crampe !!! «
L’essayer c’est l’adopter !!!
Je révise donc mon scepticisme du début de séance car, couplé avec les conseils avisés de mon coach, de bons progrès en perspective se profilent à l’horizon !
Je suis bluffée par cet engin technologique qui va me permettre de travailler ma technique seule lors de mes séances libres.
L’expérience est donc concluante…
Le récit de cette journée est également sur le blog de Swimbot.