Inspirée de la célèbre évasion fictive d’Edmond Dantès depuis le Château d’IF, le Défi est le plus grand rassemblement de nage en eau libre d’Europe réunissant nageurs amateurs et professionnels.
En 2025, le Défi de Monte-Cristo lance sa 27ème édition sur deux week-ends :
Une diversification avec une course à la Ciotat en septembre
Du 12 au 14 septembre 2025 se déroulera la seconde édition du Monte Cristo à la Ciotat depuis l’île Verte. Nous avions publié quelques photos de la première édition l’an dernier ici.
Je ne connaissais pas Gilles Bornais. Il y a quelques mois lors d’une réunion organisée par mon club de natation, il est intervenu et a tout de suite captivé l’audience par ses anecdotes croustillantes sur la natation, avec une richesse de détails, et sans langue de bois. Il faut dire que Gilles Bornais a été journaliste, rédacteur pour le service des sports du Parisien, reporter sportif, rédacteur en chef au Parisien, mais aussi entraîneur de natation, et auteur d’une quinzaine de romans et d’essais dont plusieurs sur la natation.
Les aventuriers de la nage est le dernier en date, depuis quelques jours. L’auteur a compilé dans un ouvrage les histoires les plus remarquables de traversées à la nage. On plonge aux côtés de Trudy Ederle, la première femme à réussir la traversée de la Manche en 1926 après une tentative échouée un an plus tôt. Elle bat non seulement le record masculin, mais conservera son record féminin pendant 25 ans. On découvre donc cette jeune femme, son histoire, son quotidien, ses émotions, au fil des lignes nous avons presque l’impression de nager avec Trudy Ederle dans le channel, et de partager avec elle ses doutes, ses souffrances, son lien spécial avec l’eau, et sa joie.
Pour la préparation de son livre, l’auteur a rencontré et interviewé de nombreux nageurs hors-norme et contemporains. Surtout il a choisi de mettre en premier plan des histoires peu connues tant de personnages historiques comme Trudy Ederle, les évadés d’Alcatraz, ou encore de nageurs bien contemporains comme Alexandre Fuzeau alias Ice Doctor, qui a beaucoup oeuvré pour le développement de la nage en eau glacée en France et qui n’hésite pas à nager dans des eaux tellement froides qu’une personne normale n’y survivrait pas, ou encore Stéphane Krause qui aime défier la force des courants et des tempêtes dans les eaux rocailleuses qu’il connaît par coeur en Bretagne.
Il aurait été impossible d’écrire un livre sur ce thème sans parler des nageurs les plus médiatiques et omniprésents sur les réseaux sociaux. Ils sont donc mentionnés, mais l’auteur a choisi de développer davantage des histoires moins connues, d’exploits tout aussi fous, comme par exemple la Sante Fe cette course de 57km que Stéphane Lecat, directeur technique des équipes de France d’eau libre a remporté à quatre reprises dans des eaux si sombres, raconte Aurélie Muller qui a elle aussi plus tard participé à cette course « que j’avais l’impression de nager dans la nuit ».
Un livre bien écrit, bien documenté, précis, divertissant et instructif, et qui peut s’apprécier que l’on soit nageur ou bien simplement avide de beaux récits d’aventures.
Un appel de la nature qui mène Iven de Montandon à 59 ans à se lancer dans la descente du Doubs.
C’est en franchissant le viaduc autoroutier qui enjambe le Doubs, dans le Jura, qu’un rêve un peu fou s’immisce dans l’esprit d’Iven : descendre cette rivière à la nage, depuis sa source à Mouthe jusqu’à Verdun-sur-le-Doubs, via Besançon. 450 kilomètres de nage en solitaire sans assistance en tractant un petit radeau. Dans cette aventure où rien ne se passe comme prévu, il bouscule ses limites et retrouve mille souvenirs d’enfance.
L’auteur est avant tout un esprit curieux et passionné, ingénieur de formation il a réfléchi son aventure en amont en faisant des simulations de son périple sur son ordinateur. Choix du radeau, vitesse selon le poids transporté, quantités nourriture, calories nécessaires, etc. Sauf que rien ne se passe finalement comme prévu !
C’est seulement vers l’âge de 50 ans qu’il a véritablement commencé le sport, avec le triathlon. Il enchaîne les Ironman depuis qu’il a arrêté son activité professionnelle, et s’est lancé ce défi de descente du Doubs simplement car il en avait envie.
Il raconte comment il a bouclé son périple en totale autonomie et en solitaire, tractant un petit raft avec ses vivres, sa tente pour dormir, un purificateur d’eau pour boire l’eau de la rivière, et un petit carnet dans lequel il consigne chaque soir son aventure.
Sortie du livre, 23 janvier 2025. Editions Eyrolles, 208 pages pages. Prix public : 17 euros. Voir sur Amazon.
En ce moment une exposition sur l’histoire de la baignade dans la Seine est proposée aux visiteurs du musée des égouts de Paris.
L’histoire de la baignade s’écrit en parallèle de nombreux règlements visant à la fois à protéger les baigneurs mais aussi aux bonnes mœurs. Progressivement la baignade fut interdite d’abord dans Paris, puis également en dehors de Paris en 1923.
Sur la photo d’époque ci-dessous datée d’août 1945, on peut voire que la Seine avait un incroyable succès comparé à aujourd’hui.
Pour encadrer la pratique de la nage, éviter les noyades, et par pudeur, des bains flottants ont vu le jour. L’expo nous fait découvrir quelques bains flottants comme la piscine Deligny, ou les bains de la Samaritaine.
Les bains de la Samaritaine, entre 1850 et 1900.
D’autres piscines comme les bains fleurs existaient à cette époque, comme nous l’écrivions il y a quelques années dans un article ici.
La Seine a aussi été le théâtre de nombreuses compétitions sportives ! Bien sûr nous avons en tête les épreuves de nage en eau libre des JO 2024. Plus d’un siècle plus tôt, une autre génération d’athlètes affrontaient les courants du fleuve pour les JO de 1900 et de 1924.
Tous les ans s’est tenu également l’épreuve de la traversée de Paris à la nage, attirant une foule impressionnante de spectateurs.
Plus folklorique, la coupe de Noël : une traversée de la Seine d’une rive à l’autre dans les eaux glacées du fleuve en plein Paris. A mi-chemin des bains de noël d’aujourd’hui et des championnats de France de nage hivernale dans les alpes.
Les nageurs participant à la coupe de Noël de natation en 1924
Coupe de Noël de natation, 1940
Si les épreuves de nage dans la Seine grand public n’ont pas eu lieu depuis des décennies, les triathlètes ont eu la possibilité de nager dans le fleuve, avec une première édition en 1987. J’avais été prendre des photos de l’épreuve en 2010 si ça vous intéresse c’est ici.
Départ du premier triathlon de Paris 1987
Des épreuves de plongeon se sont déroulées et se déroulent toujours dans la Seine.
La fameuse citation de Monsieur Jacques Chirac, à l’époque Maire de Paris (1989-1995).
Depuis 1990 et cette fameuse citation, la qualité de l’eau s’est constamment améliorée, pour preuve le décompte du nombre d’espèces de poisson qui a plus que doublé depuis, comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous.
La SIAAP suit continuellement la qualité de l’eau de la Seine, notamment la présence et quantité de bactéries, de pollution chimique, et autres contaminations potentielles.
En 2025, la Mairie de Paris a promis que la baignade serait de nouveau possible dans la Seine. L’expo rappelle d’ailleurs qu’il y a déjà depuis plusieurs années est aménagée la baignade dans le canal de l’ourcq. D’autres communes ont également comme projet d’aménager des baignades en amont et en aval de Paris, la carte ci-dessous indique les sites où il sera possible de se baigner dans la Seine.
L’exposition se tiens à l’intérieur du musée des égouts de Paris, situé juste à côté du Pont de l’Alma côté rive gauche. Jusqu’au 31 décembre 2024. L’occasion également de découvrir le réseau d’égouts sous la ville, dans ce musée pas comme les autres qui est également un nœud important du réseau d’égouts de la ville où une partie les eaux-usées de la rive gauche transitent.
Le jeune suisse de 27 ans s’est lancé un défi exceptionnel : traverser la Méditerranée sur près de 180 km à la nage, reliant Calvi à Monaco, en combinaison et sans sortir de l’eau.
Vendredi dernier, à 8h du matin, l’éco-nageur a ainsi démarré son défi depuis Calvi pour sensibiliser à la préservation des eaux et de la biodiversité dans le Sanctuaire Pelagos. Le défi doit durer 3 jours et 3 nuits, 180 km à la nage pour un potentiel record du monde de la plus longue nage en combinaison, avec une arrivée prévue à Monaco.
Dès le premier jour, après 32km à la nage, le nageur et son équipe ont du faire face à plusieurs difficultés, notamment la rencontre avec des méduses, des conditions météo moins favorables que prévues, et des douleurs à l’épaule gauche à cause des vagues venant de côté, obligeant le nageur à adapter sa nage.
A la fin de la seconde journée, et 62km parcourus, le nageur se voit contraint de réévaluer ses prévisions d’arrivée à Monaco. Compte tenu des conditions changeantes et des problèmes rencontrés, le nageur et son équipe se sont interrogés sur la faisabilité de continuer. Il a été décidé de poursuivre, avec pour objectif d’arriver au plus tard mardi car les conditions météorologiques deviendront trop critiques ensuite.
Après 48h à nager en continu, le nageur a accompli la distance exceptionnelle de près de 100 km. Compte tenu des difficultés rencontrées, son équipe et des experts lui ont recommandé d’interrompre cette tentative.
Je suis resté 48 heures à nager en continu sans dormir et en évitant les méduses, mais cette fois-ci, c’est la mer qui a gagné. Je ne pouvais pas aller contre les courants, c’est elle la plus forte !
Je m’étais fixé cet objectif d’établir ce record du monde de la plus longue nage en combinaison en traversant la Méditerranée de Calvi à Monaco. Après 48h, donc 2 jours et 2 nuits sans sortir de l’eau, j’ai atteint la barre des 100km.
Mais là, tout se dégrade : des courants et des vents contraires imprévus font leur entrée en piste… rendant ma progression et celle des bateaux suiveurs de plus en plus difficile. Malgré ma volonté, et le fait que physiquement et mentalement j’étais prêt à continuer, j’ai dû me plier à l’évidence et aux recommandations de mon équipe : pour faire face à de tels courants, il aurait fallu nager potentiellement encore plusieurs jours, et nuits, ce qui aurait rendu ce défi physiologiquement impossible aux vues de l’absence de sommeil prolongée. La mer a donc gagné !
Mais la Méditerranée m’a aussi réservé de nombreuses surprises. J’ai été escorté par des baleines, des dauphins, des tortues, des poisson lune et même des raies Diables de Mer, une espèce en voie d’extinction selon la Liste Rouge de notre partnenaire l’UICN. Et évidemment j’ai essayé d’éviter les fameuses méduses qui ont surgi à la tombée la nuit par milliers attachées les unes aux autres.
Le plus fou, c’est que je n’ai jamais été aussi motivé qu’aujourd’hui de relever ce défi pour la Nature et comptez sur moi donc pour revenir l’année prochaine et battre officiellement ce record du monde en faveur de la Nature.
La cause que l’on défend mérite que l’on fasse preuve de détermination et je me sens toujours près physiquement et mentalement, et le défi est à la hauteur des enjeux environnementaux que l’on défend. Alors je donnerai tout et ne lâcherai rien pour la Méditerranée et la biodiversité qu’elle abrite.
Merci à mon équipe, mes sponsors, mes partenaires, mes supporters et à tous ceux qui ont permis à cette aventure d’avoir lieu. Merci à vous, derrière vos écrans, pour tous vos encouragements que mon équipe m’a partagé quand j’étais dans l’eau, ce qui m’a donné énormément de force !
Noam Yaron
Crédits photos: Noam Yaron Production x Nightcall Studio.
Les amateurs de nage en eau libre connaissent bien le circuit eau-libre organisé par la Fédération Française de Natation. Les WE d’été des courses de nage sont organisées aux quatre coins de la France, ce qui permet de découvrir des conditions de nage très différentes.
Paris faisait déjà partie de ce circuit, et l’épreuve labellisé EDF Aqua Challenge, se déroulait jusqu’à présent dans le canal de l’Ourcq. Après l’assainissement de la Seine, et l’organisation des épreuves de triathlon et de natation marathon en eau libre dans le fleuve, celui-ci peut enfin accueillir des épreuves grand public !
Le format proposé cette année est une course avec plusieurs options de distance allant de 1250m à 5km, celle-ci se tiendra dans le Bras de Grenelle, dans la Seine et en plein cœur du 15e arrondissement de Paris.
8h00 : départ du 5km
9h30 : départ du 2500m
10h00 : départ du 1250m
Pas d’épreuve de 10km cette année. Le parcours n’est pas encore communiqué mais il s’agira très probablement de boucles de 1,25km à parcourir dans le bras du fleuve, avec des bonnets de couleur différentes pour distinguer les participants des différentes courses, sachant que les plus rapides de chaque course auront terminé avant le démarrage de la course suivante. Ceci permet surtout aux nageurs moins rapides d’avoir le temps de terminer leur course à leur rythme, sans la barrière horaire qui est parfois mise en place sur ce type d’événement.
Environ 750m entre les deux ponts du bras Grenelle, ce qui permet de réaliser une boucle de 1,25km autour d’une ou plusieurs bouées
Pour celles et ceux qui ont toujours rêvé de nager dans la Seine, c’est donc une occasion à saisir ! Avec, espérons-le, le développement d’autres courses d’eau libre grand public à l’avenir en plein Paris.
L’engouement pour l’eau libre prend de plus en plus d’ampleur, et naturellement de nouvelles courses voient le jour. Cette fois ce sont les organisateurs de l’incontournable défi de Monte Cristo, que l’on ne présente plus, qui profitent de l’occasion du 25e anniversaire de l’événement d’exporter le concept en dehors de Marseille. De l’autre côté de Cassis, à la Ciotat plus précisément, où se trouve l’île verte, la seule île boisée du massif des calanques.
L’Île Verte
Comme pour le défi de Monte Cristo, il s’agira d’une épreuve de 5KM (l’équivalent d’un semi-marathon de course à pied) qui consiste à nager depuis l’île verte, la contourner, et rejoindre la Ciotat.
Cette première édition se déroulera durant le WE du 14 et 15 septembre 2024. Il y aura comme à Marseille des épreuves de différente difficulté, de 1km à 5km. Les inscriptions ouvriront le 29 mars.
Les conditions optimales étaient réunies ce we pour le défi de Monte Cristo, cette course en mer au large de Marseille, dont l’objectif est de nager sur la trace du personnage Edmond Dantes, en s’évadant du chateau d’If à la nage. Plusieurs parcours, étaient proposés, la traversée de 5KM et même une version rallongée de 6KM, en plus des parcours découverte qui eux s’élancent pour une ou plusieurs boucles depuis la plage.
Le saviez-vous ? Le défi de Monte Cristo est le plus grand rassemblement de natation en eau libre en Europe !
Connue pour subir souvent des annulations parfois à la dernière minute à cause de conditions météo défavorables, le défi s’étend à présent sur 3 jours du vendredi au dimanche. La précédente édition avait été marquée par la présence de méduses et de très nombreux nageurs sévèrement piqués parfois contraints à l’abandon. Cette année, ni méduses ni mistral, les amateurs d’eau libre ont pu faire le parcours dans des conditions optimales ! C’est ainsi pas moins de 7000 nageurs en tout sur l’ensemble des courses qui ont pu participer, à la fois sur de la nage ou de la nage avec palme.
Le point marquant de cette édition est l’omniprésence du néoprène parmi les nageurs, et pas seulement sur la traversée mais aussi sur les petites courses. En ne distinguant pas dans les classements les nageurs avec ou sans combinaison, cela incite encore davantage à en porter, ce qui désavantage les puristes en maillot de bain, de plus en plus rares.
Crédit photos : Bruno BARBIER (NORTH)
La course du Monte Criso fait partie du circuit EDF Aqua Challenge, et de la coupe de France FFN d’eau libre. Pour beaucoup de nageurs, la réalisation de cette course constitue un défi et un objectif : bravo à toutes celles et ceux qui ont réussi leur traversée !
C’est une question que l’on se pose avant chaque course d’eau libre : combi ou pas combi ? Car la combinaison a cet avantage d’améliorer la glisse dans l’eau. Avec le même effort, le nageur avance plus vite lorsqu’il porte une combinaison puisque celle-ci permet un meilleur gainage, réduit les frictions avec l’eau, et augmente la flottabilité. Par son côté gainant et élastique, elle permet également de réduire les effets du manque de technique voire de niveau de certains nageurs.
La combinaison a ce côté rassurant qui permet une mise en confiance lorsque l’eau est un peu fraîche, que les conditions de la course s’annoncent difficiles, et permet également de se lancer des défis sportifs plus ambitieux. Elle permet aussi de nager un peu plus sereinement lorsqu’il y a des méduses.
Lors d’une course, la combinaison peut permettre de gagner de précieuses minutes sur le temps final, et de grimper dans les classements. Selon le niveau que l’on a, on peut gagner entre 1 et 3 minutes par kilomètre comme je l’avais constaté en réalisant deux courses de 10km, l’une en maillot et une en combinaison.
Deux types de combinaison co-existent. La plus répandue est la combinaison neoprene. Celle-ci a le principal avantage de protéger le corps du froid, et se décline en différentes épaisseurs selon la température de l’eau. On parle aussi de combinaison thermique. Dans des eaux tempérées, une combinaison de 1,5 à 2mm peut être suffisante, tandis que pour affronter des eaux plus fraîches ou des sorties plus longues, une combinaison épaisse de 2 à 4mm peut apporter davantage de confort. La combinaison peut être plus épaisse au niveau du torse et plus fine au niveau des épaules afin de permettre une bonne mobilité des bras.
Le second type de combinaison est la combinaison tissus. Celle-ci procure elle aussi un avantage sur le gainage, et permet – grâce à l’absence de manches – d’avoir des sensations de nage plus proches de la nage classique en maillot de bain.
Le règlement des courses d’eau libre établi par la FFN autorise ou non les combinaisons selon la température de l’eau :
combinaison néoprène
combinaison tissus
en dessous de 14°C
course annulée
entre 14°C et 17,9°C
obligatoire
interdite
entre 18°C et 19,9°C
autorisée
autorisée
au delà de 20°C
interdite
autorisée
A noter qu’il peut y avoir des règles plus spécifiques selon les courses.
Qu’elle soit en tissus ou en néoprène, la combinaison doit-être bien ajustée pour être efficace, et il est important de choisir la taille adaptée en suivant les recommandations taille/poids des fabricants : trop petite vous n’arriverez pas à fermer la fermeture, trop large elle laissera s’infiltrer l’eau, il faut donc prendre le temps de bien choisir celle qui s’adaptera le mieux à votre morphologie.
Lorsqu’il est question de la Belgique, la première chose à laquelle les gens pensent est la bière. Cependant, vous devriez envisager de nager en Belgique. Il y a beaucoup de rivières, de lacs et de canaux dans lesquels vous pouvez vous baigner, ce qui constitue une excellente sortie.
Domburg, Zélande
Domburg est un village de la province de Zélande, qui est située au sud-ouest de la Belgique. Le village est très populaire parmi les touristes car il offre beaucoup de choses à faire et à voir, ainsi qu’une belle plage qui en fait un lieu idéal pour la baignade. La plage de Domburg a une superficie d’environ 2 km² et vous pouvez vous y baigner à tout moment de l’année. Il est également possible de louer de petits bateaux si vous souhaitez explorer les environs.
En plus de sa superbe plage, Domburg possède également un port qui a été construit vers 1780 par le prince Willem V qui l’utilisait à des fins récréatives. Il y a également construit son propre château au sommet d’un rocher très spécial appelé « De Burcht ». Le château de Domburg sert aujourd’hui de galerie d’art où les visiteurs peuvent admirer des peintures d’artistes célèbres tels que Vincent van Gogh, Claude Monet et Pierre Auguste Renoir. Afin de pleinement des richesses culturelles du village, vous pourrez louer facilement un appartement par Rentola. Ainsi, vous pourrez passer plusieurs jours dans ce secteur pour profiter de la baignade et découvrir plus avant cette splendide région et ses trésors !
Andy Troy, Canva.com
De Panne
De Panne est une ville de villégiature côtière en Flandre occidentale, en Belgique. La petite ville est populaire auprès des touristes belges et néerlandais, avec ses plages pittoresques et ses spots de surf. De Panne dispose également d’une excellente sélection de restaurants servant la cuisine belge classique comme les moules, les frites et la bière.
La province est également connue pour ses nombreux châteaux, dont le magnifique château de Plopsaland. Le château appartient à la même famille depuis 1569 et est toujours utilisé aujourd’hui.
Knokke-Heist
La côte belge est une destination populaire pour les amateurs de soleil, en particulier ceux qui recherchent une expérience de plage plus abordable que des pays comme l’Espagne et la France. On trouve d’immenses plages de sable à Knokke-Heist, avec des kilomètres d’espace pour s’étendre et profiter des rayons du soleil. C’est aussi la maison de certains des hôtels les plus luxueux de Belgique, vous pouvez donc compter sur une vue excellente pendant que vous bronzez.
Si vous vous sentez plus aventureux, envisagez de faire une promenade en bateau dans la baie où se trouvent plusieurs îles qui constituent d’excellentes excursions d’une journée ou même des destinations de nuit si vous souhaitez rester plus longtemps (il y a également de nombreux terrains de camping). Pour ceux qui préfèrent rester à proximité, il y a de nombreux magasins et restaurants en bord de mer, ainsi que des villes voisines comme Ostende pour faire du shopping dans certaines des meilleures boutiques de Belgique ou Bruges pour ses célèbres chocolateries.
La vie nocturne à Knokke-Heist est tout aussi diversifiée : des clubs de jazz jouant de la musique live tous les soirs aux clubs de danse avec des DJ faisant tourner toutes sortes de genres, de la musique house aux tubes pop des années 80 !
Bredene
Bredene est une ville de la province belge de Flandre occidentale. C’est une station balnéaire populaire et se trouve sur la côte de la mer du Nord, à environ 8 kilomètres au nord-est de De Haan.
Bredene est bien connue pour ses trois plages : De Pannebaan, Zandstraat et Mariabaai. Ces plages sont équipées de deux jetées qui sont ouvertes toute l’année ; l’une avec un restaurant qui fournit de la nourriture et des boissons à des prix abordables en été ainsi que des glaciers, des restaurants et des bars ; une autre jetée sert uniquement de plate-forme d’observation où vous pouvez profiter de belles vues sur les environs naturels de Bredene tels que les dunes, les bois ou les fermes parsemées dans la lande.
Ostende
Ostende est l’un des meilleurs endroits pour se baigner en Belgique. Elle possède une plage de sable très large, une eau propre et suffisamment peu profonde pour que les enfants puissent y jouer. La plage principale est également très fréquentée en été, mais d’autres zones plus calmes sont disponibles plus loin de la ville. Il y a beaucoup de restaurants et de bars en bord de mer, ce qui en fait un endroit idéal pour les familles qui souhaitent passer la journée.
La plage est très propre et grande, il est donc facile de trouver une place. Il y a également de nombreuses toilettes et douches disponibles, ainsi qu’une petite aire de jeux juste derrière les dunes. Vous trouverez également de nombreux restaurants, cafés et bars à proximité si vous voulez manger ou boire quelque chose avant de rentrer à la maison !
Nous espérons que vous avez apprécié cette brève exploration de quelques-uns des meilleurs endroits pour se baigner en Belgique. Nous savons combien il peut être difficile de trouver le bon endroit pour nager, et nous voulons vous faciliter la tâche !
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