Natation aux Jeux Olympiques : Speedo domine avec 75 médailles et des performances records

Nous avons pu le constater, les nageurs aux jeux-olympiques sont tous vêtus de combinaisons de natation. La marque Speedo avec sa nouvelle combinaison Fastskin 2.0 est particulièrement plébiscitée par les athlètes, en effet la moitié de toutes les médailles de natation aux JO de Paris ont été remportées avec une combinaison de la marque !

Les combinaisons portées par les nageurs agissent en améliorant le gainage, et la glisse dans l’eau, et elles bénéficient de recherche et développement afin d’accompagner les athlètes dans leurs quêtes de médailles. La marque Speedo avec sa combinaison Fastskin intègre notamment des innovation de pointe, avec trois couches différentes, dont un revêtement spécial qui a été développé par Lamoral pour être utilisé dans des satellites, ce revêtement ayant des qualités déperlantes exceptionnelles, ce qui permet ainsi de fabriquer des combinaisons de natation réduisant la friction avec l’eau.

Lors des JO de Paris, plusieurs records olympiques ont été battus avec la combinaison Fastskin 2.0 de Speedo, notamment 4 par Léon Marchand (photo d’illustration). Egalement en Fastskin, le chinois Pan Zhanle (潘展乐) a amélioré son record du monde au 100m nage-libre (46″40). En tout, c’est 29 médailles d’or, 23 d’argent et 23 en bronze qui ont été remportées en portant l’une des combinaison de la marque.

Tatjana Smith, médaille d’or au 100 brasse aux JO de Paris 2024.

J’ai pu tester moi aussi cette combinaison !

Quelques jours avant les JO, Speedo a invité quelques journalistes et influenceurs à tester la combinaison Fastskin, et permis de discuter avec des athlètes ambassadeurs de la marque.

Moi avec la Speedo Fastskin LZR Pure Intent 2.0

La combinaison étant très ajustée, on nous prévient que les athlètes mettent généralement un quart-d’heure pour l’enfiler. On nous rassure vite : ils nous ont distribué les modèles les plus larges de la gamme. Néanmoins il m’a fallu entre 5 et 10 minutes pour remonter millimètre par millimètre la combinaison, jusqu’à une hauteur qui me paraissait la bonne. Pourtant celle-ci est 2 ou 3 tailles trop grande d’après la grille des tailles.

La combinaison permet une bonne compression des cuisses, favorisant la circulation sanguine, et de bonnes sensations de glisse dans l’eau.

Effectivement le test de la combinaison dans l’eau permet de constater qu’elle est confortable, et qu’elle permet de bien glisser dans l’eau. La poussée passive au mur permet d’aller quelques centimètres plus loin avec la combinaison que sans. En crawl, papillon et dos, la combinaison permet un bon maintient, y compris lors des virages. En revanche en brasse j’ai senti de l’eau de balader dans la combinaison, peut être à cause du maillot de bain que j’ai gardé en dessous, ou les deux tailles de trop ? D’ailleurs je pose la question si certains savent : Faut il mettre un maillot de bain sous une combinaison de nage ?

Face à toutes ces promesses, je n’ai pu résister à interroger Camille Lacourt qui était présent, sur le gain en terme de chrono qu’apporte ce type de combinaison. Pour lui, les combinaisons ne sont pas que du marketing, même s’il ne saurait réellement quantifier le gain chronométrique car on ne peut jamais faire deux fois la même course dans les mêmes conditions, cela relève aussi de la routine de préparation à la course et au conditionnement mental pour réussir et apporte un petit plus.

La combinaison ne fait pas tout, et ne remplace pas l’entraînement, mais quand on voit aux JO les nageurs arriver au mur parfois dans la même seconde, au point que l’on ait parfois besoin du ralenti vidéo pour discerner le vainqueur, la moindre petite aide peut faire toute la différence.

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