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glycine, 54 ans, homme, Paris

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mars 2024


février 2024


Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (161.1 km), Piscine Hébert (Paris) (44.5 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (14.3 km), Piscine des Amiraux (Paris) (10.5 km), Piscine de Pontoise (Paris) (7.4 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (7.3 km), Piscine Mathis (Paris) (7.2 km), Piscine Les Bains des Docks (Le Havre) (6.9 km), Piscine Georges Rigal (Paris) (3.8 km), Piscine Jean Taris (Paris) (3.8 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Piscine de la Cerisaie (Elbeuf) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Espacéo L'Odyssée (Aulnay-sous-Bois) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.5 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Piscine Cour des Lions (Paris) (3.5 km), Piscine La Source (Orléans) (3.5 km), Piscine Marie-Marvingt (ex Saint Merri) (Paris) (3.4 km), Piscine Catherine Lagatu ex Parmentier (Paris) (3.3 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Juillet 2014 : (23700 m)
  • 3000 mètres le jeudi 31 juillet (de 16h30 à 17h30) à Anse de Bréhec, Plouha, Côtes d'Armor - Prière de savoir nager ici cet été. Donnez nous aujourd'hui notre bain quotidien ne suffit pas. J'en prends deux par jours pendant lesquels je me fais plaisir en nageant le papillon. J'arrive parfois à le coordonner avec le rythme de la houle sous les yeux ébahis de la foule : un qui se les pèle, trois tordus. Cependant ce ne sont que des bains.
    Des expéditions avec un petit e j'en ai fait une en début de vacances et une cet après-midi. J'ai commencé à marée basse, l'anse à moitié vide, en un quart d'heure j'étais à la pointe de la Tour, alors j'ai poursuivi, le long de la falaise, sans le contact visuel avec ma plage de départ. Ça fait de l'impression, peut-être pas qu'à moi d'ailleurs : j'ai croisé un kayakiste qui m'a suivi du regard un bon moment l'air étonné.
  • 2500 mètres le lundi 21 juillet (de 11h45 à 12h45) à Anse de Bréhec, Plouha, Côtes d'Armor - Elle est bonne cet été. J'ai la température, mais je la garde pour moi, je ne voudrais pas ternir ce qui fait la réputation de la Bretagne, surtout côté nord à savoir les eaux polaires. C'est avec la pluie – les pluies ? – ce qui fait le charme de la région. Donc cette année elle est glaciale mais sans glaçons. J'ai quand même mis ma combinaison, on est jamais trop prudent. Au large toujours pas de glaçons, des creux. Quelques centimètres mais mal établis, mer croisée, casse nageur, heureusement seulement quelques centimètres, je suis entier.
    Je traîne une bouée pour me signaler et pour pouvoir m'y agripper en cas de pépin. J'ai failli la perdre, car je l'avais attachée avec un nœud de Parisien au lieu d'un nœud marin, quel nœudnœud !
  • 4000 mètres le dimanche 13 juillet (de 10h30 à 12h30) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Ah ben mon commentaire a disparu!
    J'y citais Brassens, j'y parlais de la pluie et non pas du beau temps qui me dégoûte et me fait grincer les dents...
    Et que vu la météo j'ai ciblé un bassin découvert et j'ai visé juste.
  • 4200 mètres le samedi 12 juillet (de 10h00 à 12h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Tous les ingrédients étaient réunis pour une bonne séance :
    Une seule ligne d'eau réservée pour un cours particulier et pas longtemps.
    Pas d'aquagym, mais apparemment suite à un imprévu, car il y avait quand même un groupe d'aquagigoteuses qui ont improvisé des dandinements.
    Moins de nageurs qu'à l'accoutumée, peut-être grâce aux vacances.
    J'en ai profité pour ajouter un kilomètre à mon quota habituel.
    Samedi prochain, je contribuerai au troisième ingrédient, puisque je n'y serai pas pour cause de vacances, profitez-en !
  • 3200 mètres le samedi 5 juillet (de 09h30 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - C'est vrai que parfois on voit dans les bassins des femmes maquillées comme un camion volé. Ce matin c'était un pitchoun qui avait le visage peinturluré de bleu blanc rouge, souvenir du match d'hier. C'était pas gênant, le plus gros ayant été enlevé. Ce qui était un peu plus gênant c'est qu'il occupait une ligne d'eau à lui tout seul pour un cours particulier. Cours dispensé par une MNS convaincante et pédagogue je trouve et je dis en espérant n'être pas trop lu par des parents à la recherche de la MNS rare. D'ailleurs je suis sûr qu'ils et elles sont supers aussi dans les autres piscines.
  • 3300 mètres le vendredi 4 juillet (de 15h30 à 17h15) à Piscine Château Landon (Paris) - Je connais bien Château Landon, il y a une belle hauteur sous plafond, mais c’est pas vraiment le même volume qu’à Vallerey où j’étais mardi. Pas vraiment le même bassin non plus, puisqu’il est quatre fois plus petit, donc pas vraiment idéal pour nager. Je le sais, mais ça me faisait plaisir de venir y faire un tour, que j’ai transformé en cent trente-deux allers-retours.
    C’est qu’on était nombreux à enchaîner les allers-retours. Je m’attendais à du monde, mais plus à des barboteurs qu’à des nageurs, vu je le répète que dans mon esprit Château Landon n’est pas le lieu idéal pour nager même si j’y allais pour ça.
    Tout ça est bien confus, un peu comme dans l’eau cet après-midi. Eau qui, voilà un point commun avec Vallerey, ressemblait à celle de mardi : eaupaque.
  • 3500 mètres le mardi 1 juillet (de 19h45 à 21h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - « Bassin exceptionnellement en configuration 50 m » qu'ils annonçaient à l'entrée. Beh moi qui suis plutôt du jeudi soir à Vallerey, mais qui ai déjà nagé ici le mardi soir, j'avais oublié le coup du bassin coupé en deux, alors je l'attendais dans toute son entièreté. Je fus enchanté à la lecture de l'affichette, mais avec un peu plus de mémoire vive j'aurais même pu être joyeux.
    Eau trouble ce soir et aussi trouble du comportement pour l'analphabète de service avec son plie-écarte-serre dans la ligne d'eau « crawl ». Petite suggestion : prévenir aussi par voie d'affichage quand l'eau est sale, beurk, dégueu, histoire d'en décourager certains-taines. Même si malheureusement ça ne réglerait pas le problème des analphabètes.

 

Juin 2014 : (21700 m)
  • 3400 mètres le samedi 28 juin (de 11h00 à 12h45) à Piscine Rouvet (Paris) - Une emmerdeuse sympa comme tout.
    Le genre à pourrir la ligne d'eau « crawl et nage rapide » avec sa brasse lente et envahissante. Mais attention, en bout de ligne affable et notamment élogieuse envers le crawl de deux-trois nageurs, dont le mien bien sûr, sinon j'en parlerais pas.
    En valeur absolue y'avait pas de quoi. Ça me fera un choc le jour où je verrai trois bons nageurs à Rouvet. En relatif elle avait pas tord, car à Rouvet l'émulation tire le niveau vers le bas.
    En attendant, face à sa bonhomie et sa gentillesse, j'ai pas osé lui faire un rappel des règles de bonne conduite en bassin ligné organisé.
  • 3400 mètres le samedi 21 juin (de 10h30 à 12h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Swim, swim, swim, swim. Everybody start to swim. La dee da, ho, ho, ho...
  • 3300 mètres le jeudi 19 juin (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Ah 50 m, ça fait du bien. Je dis ça, mais mon précédent bain c’était dans un bassin d’environ 600 m de long, et puis après vérification j’ai constaté que c’était le cas une fois sur quatre depuis le début de l’année, pas négligeable. N’empêche qu’en sortant des douches j’ai plus été épaté par la configuration 50 m que par le toit à moitié ouvert. En plus ma ligne d'eau s’est avérée plutôt fluide, alors que ça a tendance à être un peu engorgé le jeudi soir à Vallerey.
    Sorti de là j’ai le sentiment d’avoir nagé, d’avoir fait du sport, d’avoir fait le bon choix en décidant d’y aller.
  • 1500 mètres le dimanche 15 juin (de 14h30 à 15h00) à Centre nautique municipal Pierre Toinot (Sens) - Triathlon du Sénonais au sud de Sens. Je me suis décidé hier, car mon état de forme est fluctuant depuis quelques temps, d’ailleurs c’est seulement mon premier triathlon de l’année.
    Partie natation en une boucle dans un étang qui borde l’Yonne idéalement dimensionné pour les 1500 m.
    Première fois pour moi sans combinaison pour cause d’eau trop chaude, 24 °C. C’était marrant car on portait tous et toutes des trifonctions très colorées, alors que d’habitude on a la peau néoprène gris foncé ou noir. Ça m’a tiré sur les bras, peut-être à cause de ma séance normale d’hier. Même à vélo j’avais les bras engourdis et mine de rien c’est gênant. Les jambes aussi, mais bon ça c’est plus logique surtout que le parcours, très vallonné, était très exigeant.
    Au global je suis classé après la moitié, alors que sur mes précédents triathlons, sauf défaillance, j’étais souvent dans la première partie, voire mieux, du classement. Mais j’ai une excuse : je suis passé vétéran deux.
  • 3200 mètres le samedi 14 juin (de 08h45 à 10h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Idéal pendant un peu plus d’un kilomètre, car à plus ou moins un ou deux dans la ligne d'eau.
    Puis j’ai reçu un coup de planche sur la tête de la part d’un MNS, pour me demander de changer de ligne. J’ai été déçu d’avoir à abandonner la voie royale pour une voie de garage, mais je suis surtout choqué par la manière. J’avais déjà vécu ça pour une évacuation à Drigny. Je trouve que ça ne se fait pas. Bon je suis un peu autiste quand je nage. J’ai des bouchons dans les oreilles, en bout de ligne je ne sors pas le périscope pour un tour d’horizon, au contraire j’enchaîne pour garder le rythme, sans culbute néanmoins. Pour autant, il n’est pas convenable de donner un coup. Les cas dans lesquels cela est justifiable sont bien rares, et n’incluent pas les circonstances de ce matin.
    Pourtant je n’ai fait aucune réflexion au MNS, j’étais pas si choqué que ça ce matin. Tout ça c’est la faute à nageurs.com. Ben oui, le soir je poste ma séance, je me la remémore pour la commenter et paf, d’un coup, je me rappelle l’incident.
  • 3300 mètres le lundi 9 juin (de 10h30 à 12h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Ça rince la piscine. Ce n’est pas que j’y vais pour me laver, mais j’étais tout raplapla en rentrant.
  • 3600 mètres le samedi 7 juin (de 09h15 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - J’ai toujours consciencieusement noté l’intensité de l’effort déployé lors de l’étape deux en mode « normal+ » de l’enregistrement de mes séances, les petites étoiles.
    Je n’ai jamais exploité ces données, mais en gros ça doit être 80 % de trois étoiles. N’allant qu’une à deux fois par semaine à la piscine, je tâche d’y mettre de l’intensité. Parfois je me relâche, un peu, deux étoiles, d’autres fois, plus rares, je lâche les chevaux, ça c’est facile, et miracle je pars au grand galop , hiiiiiiiiiiiii, quatre étoiles.
    Aujourd’hui pour la première fois je suis descendu niveau première étoile. C’est ma faute, pas grand-chose à donner. Mais pas que, y’a eu deux lignes d'eau sur trois réquisitionnées, donc une prolifération de méduses dans la troisième. Qu’est-ce que c’est que tous ces aquabons à rien qui prennent des cours ? j’en ai jamais pris moi, ça ne m’a pas empêché d’avoir ma première étoile.

 

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