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glycine, 54 ans, homme, Paris

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avril 2024


mars 2024


Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (178.8 km), Piscine Hébert (Paris) (48 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (10.5 km), Piscine de Pontoise (Paris) (7.4 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (7.3 km), Piscine des Amiraux (Paris) (7 km), Piscine Les Bains des Docks (Le Havre) (6.9 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine de la Cerisaie (Elbeuf) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Aout 2013 : (20500 m)
  • 3400 mètres le jeudi 29 aout (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Depuis quelques jours ça blablate à la caisse d’Hermant. Les clients s’interrogent et posent des questions aux caissières :
    « Ça va consister en quoi ces travaux ?
    - Vous pensez qu’elle va vraiment rouvrir en octobre 2014 ?
    - Qu’est-ce que vous allez devenir pendant la fermeture ?
    - Est-ce que la carte dix entrées fonctionne dans d’autres piscines ?
    … »
    J’ai l’impression qu’il y avait beaucoup de nageurs.com ce soir. J’ai vu deux bonnets, qui avaient l’air familier avec d’autres bonnets non siglés « nageurs.com ». Normal, les parisiens de la communauté profitent des derniers jours d’ouverture aux cieux et d’ouverture tout court.
    Et puis il y avait moi aussi, incognito. Je ne cherche pas mordicus à le rester, comme le souhaitait le papillon à plume. C’est juste que ma contribution à la communauté se limite à ce blabla post-natation.
    Dans mon blabla du jour je désire souligner combien j’ai une nouvelle fois apprécié les derniers instants de cette séance du soir, ce fut délicieux.
  • 3800 mètres le dimanche 25 aout (de 09h30 à 11h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - J’ai fait le trajet à pied, alors que je suis habitué à y aller à vélo. Ce quart d’heure de marche m’a fait aborder la séance sur un mode paisible.
    Relâché suite à ce trajet sous l’eau, une fois dans l’eau j’ai lâché les chevaux aquatiques, du moins pendant les deux premiers kilomètres. Puis j’ai continué plus tranquillement, alternant dos-crawlé et ventre-crawlé. Le dos-crawlé c’était notamment pour sentir la pluie sur mon visage. Tu parles Charles, il ne pleuvait pas assez !
    Un peu comme vendredi, j’ai terminé tout en sensation, caressant l’eau, pas pressé d’en finir n’eut été une envie pressante qui a réglé la question du jusqu’où-à quand.
  • 3200 mètres le vendredi 23 aout (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Facilité et fluidité puis légère baisse de tonus.
    Comprendre : J’ai nagé comme d’habitude, c’est pas époustouflant, mais je me débrouille, et puis hop, un gros coup de pompe. À partir de là c’est devenu essoufflant et j’ai adopté le rythme pauses en bout de ligne, pas désagréable du tout.
    Le dernier quart d’heure fut même délicieux : alors que dans le bassin les nageurs s’étaient fait rares et que la pénombre s’annonçait, j’ai nagé en douceur en mélangeant les allures, léthargique. L’eau m’a apporté le réconfort d’un lit moelleux, reposant pour mes bras en coton. C’est la ouate que j’ai préférée.
  • 3300 mètres le jeudi 22 aout (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Rapides les nageurs et euses de la ligne d'eau pour nageurs rapides ce soir. J’y étais mais je ne tirais pas le niveau vers le haut. J’ai même failli passer à côté chez les moyens, ça va pas la tête ?
    Je me suis ressaisi. C’est la satisfaction du jour. Par contre je regrette d’avoir été plus concentré sur mon positionnement parmi les mammifères aquatiques, à batailler pour garder ma place, plutôt qu’attentif à mon positionnement dans le liquide aqueux. C’est pas parce que je suis en surrégime qu’il faut que j’oublie le style, notamment mon port de tête.
  • 1500 mètres le dimanche 18 aout (de 14h45 à 15h15) à Base de loisirs de la Ferté-Bernard - Triathlon M de la Ferté-Bernard. J’en suis à quatre cette année, après trois en 2012 et deux en 2011 ma première saison. Un peu loin de Paris, ça ce mérite. L’organisation d’un triathlon est tellement lourde qu’il n’y en pas tous les quatre matins à un kilométrage raisonnable de Notre-Dame. En plus c’était l’après-midi.
    27 min 34 s pour la natation, ouuuuuuuais, une seconde de mieux qu’à Beauvais fin juin. Bon bien sûr on n’est pas en piscine, on ne peut pas comparer. D’abord les distances sont approximatives, le mouillage des bouées ne se fait pas au centimètre près, même si les organisations des deux triathlons de Beauvais et la Ferté étaient particulièrement carrées, mais surtout le triathlète nage sans la ligne du fond et va dans le zig et le zag. Ici ils auraient pu peindre une ligne au fond, ça n’aurait rien changé, l’eau de ce plan d’eau est opaque, de l’opaque qui vire à l’obscur, à n’en pas apercevoir le bout de sa nageoire.
    Mon camarade de club, lui, sait grâce à son GPS qu’il a nagé 1600 m, sauf s’il m’a annoncé 100 m de plus pour justifier le fait qu’il est sorti de l’eau après moi.
    Mon chrono à l’air satisfaisant aussi car il y avait six passages de bouée sur le parcours, ce qui occasionne à chaque bouée (des optimists gréés bien visibles de loin) contacts et ralentissements.
    Total correct, seulement correct car j’ai un peu flanché en course à pied. Je n’ai pas pu combler mon retard sur mon camarade de club, moins d’une minute après le vélo, 1 min 10 s à l’arrivée. Il finit une fois de plus devant moi cette année, mais je me rapproche !
  • 2200 mètres le jeudi 15 aout (de 10h30 à 11h15) à Ile Charlemagne à Orléans - Plan d’eau de la base de loisir de l’île Charlemagne à Orléans. Pas très exotique ni glamour comme île, mais c’est déjà ça pour ceux qui ne peuvent se permettre Ré ou Noirmoutier.
    Côté baignade, pendant longtemps il y a eu deux plages aménagées et surveillées l’été. Désormais la deuxième plage est un aqualand avec structures gonflables gonflantes. Dommage c’est celle qui avait ma préférence, car elle est (était) plus nature et excentrée et qu’il faut marcher ou courir ou pédaler pour l’atteindre, enfin bon se bouger, donc moins fréquentée.
    Seul dans la zone de baignade – c’est tranquille le matin même à la première plage –, je n’ai pas donné ma part aux canards, avec de bonnes sensations. Les cancaneurs eux, sans-gêne, sont venu avec leurs palmes squatter ma zone, la zone nageur rapide.
    Je n’avais pas nagé en eau libre en dehors d’un triathlon depuis longtemps et il se confirme qu’il m’y est plus difficile d’accumuler un kilométrage conséquent qu’en piscine. Là j’ai largement eu ma dose au bout de trois quarts d'heure. Seulement le temps d’accumuler un hectométrage conséquent. Avec deux heures de vélo dans la foulée – dans la pédalée plutôt –, ça fait quand même au total quelques décakilomètres.
  • 3100 mètres le dimanche 11 aout (de 09h30 à 11h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Un dimanche d’août en matinée sous un ciel voilé, voilà un Hermant plaisant.
    Ça manquait juste de sel. Le sel des vacances, leur dépaysement et leur rythme, mais aussi plus particulièrement le sel de la mer, celui qui abaisse la ligne de flottaison.
    Je me suis baigné au moins deux fois par jour les quinze premiers jours de mes vacances, mais jamais plus d’un quart d’heure pour éviter l’hypothermie, pas de quoi poster des séances d’eau libre, mais assez pour être filmé.
    Verdict : pas besoin de ralenti ni d’analyse à la leplaisirdenager.blogspot, c’est la tête docteur. Tête en bas, tête en l'air, à en perdre la tête. Depuis, un peu en mer, mais surtout aujourd’hui je m’applique à savoir où donner de la tête.
    J’ai fini un peu ramollo ploplo du haut du corps, comme quoi un entraînement biquotidien peut être insuffisant quand il est estivant et qu’il se résume à piquer une tête.

 

Juillet 2013 : (23275 m)
  • 3300 mètres le mardi 16 juillet (de 19h15 à 20h45) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - Un peu l’impression d’avoir rencontré les conditions types qui font ronchonner les nageurs.com parisiens, un condensé de ce que je lis tout les jours :
    Hé, z’êtes analphabébêtes ou quoi ? y’a marqué « rapide » sur le panneau.
    Qu’est-ce que c’est encore que ce bassin dans lequel les lignes d'eau ne sont pas organisées par type de nage ?
    Oui, c’est ça, démarre sous mon bec, tu te traînes, mais au moins t’as de l’espace devant.
    Euh, je peux avoir une petite place pour pousser sur le mur ?
    Bon d’accord, le papillon n’est pas interdit, mais tout de même ce soir ça bouillonne déjà suffisamment non ? surtout que ton papillon, il a du plomb dans les ailes !

    Allez, pour une fois, c’est pas bien grave, ce n’est pas comme ça dans mon Paris, à Hermant ou Rouvet mes piscines habituelles. Et puis le fait d’avoir été le plus véloce de la ligne « rapide », et on y était nombreux, même s’il y avaient quelques flotteurs, c’est flatteur.
  • 4050 mètres le samedi 13 juillet (de 10h00 à 12h00) à Stade nautique Youri Gagarine (Villejuif) - Après la piscine de Levallois, deuxième fois cette année que je me transporte de l’autre côté du périph motivé par nageurs.com.
    Je ne m’attendais pas à un établissement tout neuf. Ailleurs c’est vieillot, c’est la suffisance du parigot. À Paris aussi parfois c’est vieillot, mais on appelle ça le cachet, comme hier quand j’étais aux Amiraux, un remarquable ouvrage architectural.
    Parcours un peu labyrinthique entre la caisse et le bassin extérieur.
    Passé le dédale, dans l’eau ce fut plus simple, tout droit, presque sans avoir à zigzaguer, épatant, ça m’a donné envie de chiffrer.
    Donc j'ai renchéri en faisant du dos et je me suis servi de la ligne de bouées comme d’un fil d’Ariane. Pour le dos-crawlé en extérieur, je préfère les cordes à linge aux lignes brise-vagues moins doucereuses pour ma main gauche.
  • 2650 mètres le vendredi 12 juillet (de 19h30 à 20h45) à Piscine des Amiraux (Paris) - J’ai un peu hésité à l’heure du choix de la piscine de ce soir vu que je boycotte Hermant, pour cause de météo défavorable, et malheureusement on ne prévoit pas de perturbation dans les jours à venir.
    Restaient de possible en horaire étendu dans un rayon de bicyclette, Nakache, Château Landon et Les Amiraux, car j’exclue d’office Pailleron.
    J’ai opté pour le bassin de 33,33 m. Déjà que cette semaine j’étais passé de 50 m à 37,50 m je ne voulais tomber trop bas d’un coup.
    J’ai été ravi de retourner dans ce bâtiment original qui abrite cette piscine vraiment charmante, même s’il n’y a au total que quatre lignes d'eau, dont deux réservées à la nage aujourd'hui, et occupées par des spécimen pas bien véloces.
    Un des aquamen, un quinqua ventripotent, a osé des accélérations par intermittence, à chaque fois que je le doublais. Ce n’était pas très pratique pour moi à cause du trafic venant d’en face, mais je ne crois pas qu’il refusait d’être dépassé. Il se challengeait le bougre, donc je n’ai pas râlé.
    En plus d'avoir joué et admiré les carreaux de faïence, j’ai envoyé du lourd, à la recherche du temps perdu à compulser les horaires avant de me mettre en nage. Eh oui, en préalable au crawl, j’avais transpiré pour aller fissa à la piscine.
  • 3375 mètres le mardi 9 juillet (de 19h15 à 21h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Fâché avec Hermant ou à tout le moins avec le comportement de ses usagers estivants je me suis déplacé jusqu’au bassin de 50 m le plus proche, Vallerey.
    Raté pour les 50 m, j’ai découvert la configuration 37,5 m, l’espace restant étant dédié aux aquatrucs. Au pluriel car il y a eu enchaînement aquagym puis aquabike.
    Pour l’aquapédalage dans la semoule le fond est relevé afin de mettre en place puis remiser les engins. C’est super pratique, alors les nageurs délaissent un instant les lignes d'eau pour observer le consternant mais néanmoins fascinant phénomène. Avantage, ces diversions ont permis deux courtes fluidifications bienvenues dans les lignes surchargées.
    En plus, je suis sûr qu’y en a pas une qui vient à Vallerey à vélo, pas folles, ça monte ! Dommage parce que là les candidates aux fesses galbées, aux cuisses fermes et aux mollets élancés seraient servies.
    Me voilà donc aussi fâché avec Vallerey, alors demain au programme pour moi, vélo, le vrai, qui roule.
  • 3300 mètres le lundi 8 juillet (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - La populace s’était invitée aujourd’hui à Hermant et c’est affligeant :
    À mon arrivée des jeunes interdits d’entrée, apparemment pour mauvais comportement une fois précédente, insultaient des vigiles. Un autre vigile faisait les cent pas le long des casiers. D’ailleurs je ne l’ai jamais souligné, mais tout ce personnel de sécurité à la belle saison, on nage sur la tête !
    Les vestiaires étaient dégueulasses, et je ne blâme pas ceux qui nettoient, mais ceux, de tout âge, qui salissent. Y’en a qui bouffaient salement et bruyamment, installés sur les tablettes des sèche-cheveux. Plus nombreux étaient ceux essorant leurs maillots n’importe où. C’était aussi à celui qui parlerait le plus fort, tant qu’à faire dans un registre graveleux.
    Je n’ai pas fréquenté la zone n’importe quoi, mais je suppose que ça devait donner. Un petit préjugé ? voui.
    Je ne m’attendais pas à cette déliquescence. Du reste, je viens de regarder ce que j’ai écrit l’année dernière dans mes commentaires : le 10 juillet « c’est délicieux », le 12 juillet il pleuvait, le 17 juillet « c’est la foule », mais à part le nombre, ce jour-là je n’en veux à personne.
    Je n’ai pas envie de revivre ça. Pour moi cet été Hermant ce sera soit par mauvais temps, soit le week-end à l’ouverture, ou en août avant la fermeture quand le soleil sera bien plus bas qu’actuellement.
  • 3200 mètres le jeudi 4 juillet (de 18h30 à 20h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - La tête dans le guidon jusqu’à la piscine pour être à l’eau à sept heures moins le quart. Puis une fois la tête dans le bonnet, le corps dans l’eau en action jusqu’à l’évacuation du bassin. À Hermant l’évacuation est annoncée au mégaphone. Impossible de gratter une longueur sous prétexte de n’avoir pas entendu l’annonce.
    Pas le temps d’enfiler des perles, J’ai adapté mon programme : pas d’élastique ni de battements. J’aurais pu envisager l’élastique plus pull-buoy, mais il faut compter avec l’enfilage du rond, dans l’eau, et les fois où il faut récupérer le pull-buoy quand il s’échappe de mon sillage.
  • 3400 mètres le mardi 2 juillet (de 18h45 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Donc Hermant a ôté son déshabillé.
    C’est sûr l’affluence s’en ressent, mais le surplus de nageurs a été aisément absorbé, grâce à l’aide des clubs moins gourmands en lignes d'eau qu’un mardi habituel.
    Même en cette soirée grisâtre et terne les fonds aquins s’en sont retrouvés transparents. Ça a peut-être inspiré un de mes confrères de ligne qui en a profité pour faire ses longueurs dans les profondeurs.
    Moi je n’ai rien changé, j’aime bien mon programme actuel.
    Il y a quelques longueurs battements-planche dedans. Je m’y fais tout doucement. Ça veut dire que ça m’est de moins en moins pénible, et que c’est ma vitesse aussi.

 

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