La page de glycine

glycine, 54 ans, homme, Paris

Envoyer un message privé à glycine


Inscrit depuis le 12/11/2011 - 18:08:40

avril 2024


mars 2024


Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.4 km), Piscine Hébert (Paris) (48 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (11.1 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (10.5 km), Piscine de Pontoise (Paris) (7.4 km), Piscine des Amiraux (Paris) (7 km), Piscine Les Bains des Docks (Le Havre) (6.9 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


Voir toutes les séances sur une carte.

Séances

Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 | 53 | 54 | 55 | 56 | 57 | 58 | 59 | 60 | 61 | 62 | 63 | 64 | 65 | 66 | 67 | 68 | 69 | 70 | 71 | 72 | 73

Juin 2013 : (28250 m)
  • 3600 mètres le samedi 29 juin (de 15h00 à 16h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Ambiance pas très estivale à Hermant avec son velum toujours déployé. Impeccable néanmoins pour nager un après-midi de week-end. Les lignes d'eau que j’ai pratiquées, dédiées aux nageurs rapides pour le crawl, aux nageurs moyens pour le dos-crawlé, aux nageurs lents pour les battements-planche, étaient toutes trois clairsemées.
    Mon maillot lui était encore humide de ma séance d’hier soir. J’enchaîne, si je continue comme ça, j’ai les boutons de chemise qui vont craquer, pas au niveau du bide à cause de la bière que je ne bois pas, ceux du haut au niveau des pectoraux.
    Ça va les chevilles ? ça va merci, elles n’enflent pas, au contraire, la nage a tendance à les affiner.
    Voilà à quoi tient une silhouette à tendance athlétique, je précise : des aquakilomètres, pas de l’aquagym.
  • 3200 mètres le vendredi 28 juin (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Un peu de fatigue accumulée pressentie ressentie au bureau aujourd’hui. Je ne me suis pas assoupi devant l’ordinateur, mais j’ai senti des raideurs dans les jambes. Ah la vie de bureau, c’est trépidant. Alors j’ai logiquement coincé en fin de séance, rattrapé par des crampes. D’habitude quand j’en ai c’est dans les mollets, ce soir ce fut dans les pieds. Une crampe dans la voûte plantaire c’est marrant, ça crispe les orteils en position redressée. Donc il ne m’a pas été possible de terminer comme prévu par des longueurs en battements-planche. Envisager cet exercice pour la fin de séance c’est la procrastination assurée. Et la progression alors ?
  • 3200 mètres le mardi 25 juin (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Deux nageurs hors norme dans la ligne d'eau dans laquelle je me suis immergé. Un bon, déjà c’est pas banal, et un extra-aquestre.
    Je m’en voulais presque de m’immiscer dans leur environnement, mais la ligne était identifiée « nageurs moyens ». J’ai jamais été autant doublé, j’ai passé mon temps contre les cordes à bouées, mon aile droite en est toute éraflée.
    Et quelle chance de pouvoir contempler ces mammifères d’eau chlorée évoluer dans leur élément !
  • 1500 mètres le dimanche 23 juin (de 14h15 à 14h45) à Plan d'eau du Canada - Triathlon M de Beauvais au plan d’eau du Canada. Site idéal pour organiser une telle épreuve. Une pelouse immense borde le plan d’eau et accueillait le parc à vélo ainsi que les tentes des organiseurs, partenaires, secours, le podium et l’aire d’arrivée.
    Bon gadouilleuse la pelouse pas facile de sprinter la dessus. Oui parce qu’il a un tout petit peu plu la semaine dernière et aujourd’hui aussi. Pour les Parisiens, pendant le vélo ça m’a rappelé Paris lundi dernier, ou bien les douches à Hermant, en moins chaud et dont on ne peut s’échapper, douche obligatoire. Un temps pour Les mouettes de Paris à ne pas pouvoir accéder au bassin de Georges Hermant sèches.
    Comme à Troyes au début du mois je suis bien content de ma performance globale, voire même un peu plus.
    Dans le lac d’Orient près de Troyes j’avais sorti la cagoule néoprène que j’avais chérie ce jour-là. Aujourd’hui lors du briefing on ne nous à pas donné la température de l’eau, dans le doute, je l’ai renfilée, j’étais le seul équipé ainsi, équipement superflu puisqu’elle était bonne.
    Un seul passage de bouée lors de la natation ce qui fait qu’à part les premières minutes chahutées la nage fut confortable. On a eu une ondée précurseuse de ce qui nous attendait. Dans l’eau ça ne change pas beaucoup des éclaboussures alentours, surtout avec la cagoule le bonnet et la myopie.
    Chrono natation : 27 min 35 s, si les 1500 m y sont, ça me va.
    Et ce soir en me connectant au site j’apprécie encore plus la chance que j’ai eu de concourir.
  • 2200 mètres le samedi 22 juin (de 11h45 à 13h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Séance histoire de et non pas histoire d’eau. Donc juste histoire de dire que j’ai nagé. Je ne voulais pas entamer mon capital énergétique ou ma fraîcheur musculaire.
    Seuls les cinq cents premiers mètres furent vigoureux, ensuite j’ai ondoyé.
    Car demain je tripatouille et j’aurais bien besoin d’un peu de force et de tonus.
  • 3200 mètres le samedi 15 juin (de 08h30 à 10h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - En selle direction Rouvet.
    Arrivé rue de Crimée, je dois céder la priorité à un véhicule, je pose pied à terre et je tergiverse. Mon regard est attiré par la perspective qu’offre la rue côté ascendant, et mes jambes sont attirées par la perspective d’une séance plus sportive dans un bassin de 50 m.
    Donc changement de programme, direction Hermant où je me suis imposé une cadence élevée.
    Lucide malgré les efforts fournis, j’ai compris pourquoi Les mouettes de Paris ne se sont pas lavées, ne se lavent pas, avant d’accéder au bassin. C’est par conscience écologique. Car il faut dire qu’à Hermant appuyer sur le bouton pressoir d’une douche c’est un peu comme ouvrir les vannes du barrage des Trois Gorges. Donc bravo, j’applaudis des 2 nageoires.
  • 3400 mètres le mercredi 12 juin (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Le contenu de mes séances a tendance à se stabiliser. En gros comme ce soir 1 km nage libre suivi d’1 km pull-buoy élastique puis 1 km pull-buoy. Ce à quoi je viens d’ajouter quelques battements avec planche.
    Ma précédente habitude, c’était l’insertion de quelques longueurs de dos, notamment pour le plaisir des ondulations dorsales.
    J’ai eu d’autres périodes avec par exemple plus d’éducatifs, ou des cadences de respiration variées.
    En tout cas, il y a tellement de possibilités, c’est sympa, bien loin de l’idée de certains non nageurs pour qui 3 km à la piscine c’est cent vingt, cent vingt ! longueurs, toutes pareilles, la tête sous l’eau sans paysage.
  • 3100 mètres le samedi 8 juin (de 14h00 à 15h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - J’avais affaire du côté de la porte de Vincennes, donc j’ai emmené mon nécessaire à natation pensant aller à Roger Le Gall.
    Je me suis inquiété en apercevant le velum relevé. Avant de prendre une entrée j’ai demandé à aller voir le bassin, sans surprise un élevage intensif de mélanomes. J’ai donc fait demi-tour et me suis replié sur Hermant dont j’avais vu le velum baissé en passant plus tôt dans la matinée.
    Là, petite déception car le bassin était en configuration 2 x 25m pour faire de la place au water-polo. Il y avait bien quelques familles et pataugeurs côté public, mais aussi des nageurs motivés, pour s’exercer, pas par la marque du maillot. Je ne regrette pas ma stratégie du repli sur Hermant.
    En fin de séance je me suis lancé pour un 500 m en battements-planche, ce que je ne fais jamais. Lamentable, moins vite, non, plus lentement que la pépée qui faisait de même tranquillement. J’ai du pain sur la planche.
  • 2650 mètres le dimanche 2 juin (de 11h00 à 12h00) à Lac de la Forêt d'Orient - Après un samedi duathlon devant la télé, Roland-Garros plus finale du TOP 14, un dimanche triathlon dans et à proximité du Lac d’Orient près de Troyes.
    Eau limpide, mais à 13 °C, frisquet. Le parcours natation est maintenu, ouf, mais annoncé raccourci, dommage. Finalement ça va, quelques 2600 m au lieu des 3000 m attendus .
    Je suis content que la distance ne soit que rognée, car le parcours était prévu en 2 boucles de 1500 m et la facilité pour l’organisateur aurait été de ne nous en faire nager qu’une seule. Content car l’équilibre entre les trois disciplines est maintenu, mais inquiet tout de même, ça ne va pas être évident ce bain glacé. Quand je nage en Bretagne avec ma combinaison dans une eau autour de 18 °C, j’ai du mal à y rester une heure sereinement. Alors là, j’ai quand même psychoté avant le départ.
    Et puis on est parti, ceux qui étaient venus. Il y a eu beaucoup de non venants, donc de non partants face à la température annoncée, alors que c’est la course, déjà, pour avoir un dossard plus de six mois avant l’épreuve.
    Beaucoup de contacts avec les cétacés alentours jusqu’à la première bouée, puis j’ai réussi à m’écarter du bouillon. Une courte houle s’est levée quand on a gagné le large, je l’ai bien négociée je crois. Retour vers la plage sans histoire, quelques foulées, et il a fallu y retourner et là je dois avouer qu’il fallait être motivé.
    Ma deuxième boucle fut marquée par une sensation de froid là ou je ne m’y attendais pas. Je craignais pour la tête, c’est les pieds qui ont soufferts. J’ai fini relativement à l’aise, première victoire, il ne m’en restait plus que deux à obtenir derrière.
    Par contre j’ai ressenti un contrecoup lors de la transition, tétanisé, j’ai eu du mal à me changer. Il m’a fallu ensuite 20km de vélo pour me réchauffer et retrouver une certaine lucidité.
    Je termine l’ensemble quelque part dans le ventre mou du classement, je ne sais même pas où, mais sur ce qui ressemble pour moi à trois victoires.
  • 2200 mètres le samedi 1 juin (de 09h45 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Ce fut tranquillou pour le volume et le rythme de nage, bien moins niveau stress. Je me suis posé pas mal de questions, non, presque toutes, en rapport avec mon crawl.
    Sur cette séance je saurais quoi répondre au topic « À quoi pensez-vous quand vous nagez ? » : aujourd’hui j’ai beaucoup cogité à propos de demain.
    Car demain c'est jour de triathlon L, soit trois kilomètres de nage, plus ce qui suit.

 

Mai 2013 : (21250 m)
  • 3500 mètres le mardi 28 mai (de 16h30 à 18h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Y’en a qu’ont ekzagéré sous la douche : un couple qui est resté trois plombes à apprécier les massages aqueux. Comment je le sais ? hum, j’étais juste à côté à en profiter aussi. Mais j’ai une s-cuze moi, ma douche n’arrêtait pas de couler, je ne voulais pas gaspiller. J’ai tout de même abandonné les tourtereaux à leur thalasso. À propos d’oiseaux, ceux qui equesagèrent vraiment, c’est Les mouettes de Paris, pas une qui ne se rince et pourtant elle est bonne… et obligatoire.
    - Entendu à la radio à l’instant où j’écris ce passage : « Vivre c’est bien, savoir vivre c’est mieux. » -
    Donc vos gueules les mouettes ! laissez tomber RMC ou que sais-je et branchez-vous sur fip.
    Avant j’avais nagé, je ne sais pas où j’en suis, je ne déclenche pas le chrono en ce moment de peur d’être déçu, mais comme on dit sur RMC info talk sport : j’ai fait le boulot.
  • 3500 mètres le samedi 25 mai (de 08h30 à 10h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Dans une semaine j’ai mon premier triathlon L. Au-delà de la tentative d’élaboration d’un corps adapté à l’épreuve, il est temps de s’attacher aux petits détails qui comptent. Aujourd’hui, le choix des lunettes. J’ai emmené trois paires. La première a tenu 200 m, la deuxième 1800 m et j’ai cru qu’elle serait la bonne, mais j’étais encore mieux pendant les 1500 m avec la dernière. À défaut du bonhomme, voilà au moins une chose de prête, faut juste que je ne m’amuse pas à jouer au bonneteau avec, les trois paires étant du même modèle.
  • 3400 mètres le jeudi 16 mai (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Luminothérapie ce soir. Ce bassin que j’avais trouvé un jour cafardesque m’est apparu éblouissant malgré son toit fermé.
    Trois kilomètres non-stop. Même pas mal, aux genoux, aux jambes, aux bras, à la tête. Si un peu à la tête. Ma paire de lunettes étant vieillissante, j’ai resserré la lanière pour en assurer l’étanchéité. Alors à l’heure de savoir si j’allais poursuivre la série, j’ai trouvé une excuse : pas ce soir chéri, j’ai la migraine.
    Le fait marquant de cette séance à Vallerey s’est passé chez l’autre Georges du coin, Hermant.
    Lors de mon retour à vélo, en passant rue David d’Angers, j’ai aperçu une ombre dans la fosse à plongeon où j’étais désolé de n’y avoir jamais (c'est-à-dire les quelques fois où je suis passé là) vu l’eau onduler. Je me suis arrêté : des plongeurs, une femme et une douzaine d’hommes, enchaînaient les figures depuis les trois plongeoirs, créant qui une ridule, qui un tsunami. Manifestement un club loisir. Attention, je ne dénigre pas, il faut le faire, mais rien d’éblouissant.
  • 3400 mètres le mardi 14 mai (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Je me suis tout de suite bien senti dans mon maillot. Quand je dis tout de suite c’est dès le saut de mise à l’eau. je me revois marquant une pause dans les abysses, tranquille, avant de regagner la surface.
    La suite prouva que ma première sensation était la bonne sans toutefois casser des carreaux. Par exemple, à un moment donné je me lance pour 1 km non-stop que je transforme en 1,5 km tellement je n’avais pas besoin de répit. J’ai aussi enfin fait un chrono approchant ceux de l’année dernière.
    Seul ennui, ma fougue m’a fait pousser un peu violemment sur le mur lors d’un demi-tour, le mur va bien, par contre j’ai réveillé une douleur au genou, pourvu qu’elle se rendorme.
  • 750 mètres le samedi 11 mai (de 16h30 à 16h45) à Piscine Montbauron (Versailles) - Triathlon du Roi. Grosse contre-performance et grosse désillusion. Je me suis battu pour aller au bout, alors qu’il ne s’agissait que d’un format S, parfois à la limite du malaise, je dois finir dans les dix derniers. Je vais me remettre à regarder le sport à la télé, ça vaudra mieux que d’essayer de le pratiquer.
    Pour la partie qui concerne le site, la natation a eu lieu dans la Pièce d’eau des Suisses, au sud du château, en dehors du parc, mais avec l’impression d’y être. Eau légèrement sous les 16 °C, vaseuse au niveau du départ, claire par la suite, une boucle de 750 m toute simple à effectuer. Avec quelques désorientés j’ai quand même réussi à viser la mauvaise bouée. Il a suffi qu’il y en ait un qui se trompe pour entraîner dans son sillage une nuée de poissons, le phénomène banc.
    Du haut de mes six triathlons, c’est la fois où j’ai le plus souffert de l’ambiance baston, même si je me souviens avoir coulé à Enghien mais sans que ça m’effraie, aujourd’hui je n’aurais pas supporté, je crois à cause de mon état de méforme. J’ai trouvé également que ma combinaison me comprimait la cage thoracique, là aussi la suite, dès la sortie de l’eau où je n’ai pas pu courir dans la zone de transition, prouva que je cherchais l’air.
    Bon je vais quand même essayer de « K33p Swimming », cycling and running.
  • 3500 mètres le vendredi 10 mai (de 10h00 à 11h45) à Piscine La Source (Orléans) - Peu habitué à être présent dès l’ouverture des piscines, j’ai constaté ce matin que les palmipèdes patientant dans le hall étaient des habitués quand 90 % d’entre eux ont présenté des cartes d’abonnés au guichet.
    Je trouve que cette piscine seventies et dans laquelle je n’avais pas trempé le moindre orteil depuis au moins dix ans a plutôt bien vieilli. J’ai eu l’impression que rien n’avait changé et que je m’y étais baigné la veille. Quand j’étais - plus - jeune je la trouvais moche, maintenant, je lui trouve du caractère avec ses baies en forme de losange et datée jusque ce qu’il faut.
    Grâce au grand petit bassin ludique (25 x 10 m), le véritable grand bassin de 50m n’était presque qu’exclusivement occupé que par des nageurs, répartis dans les six couloirs de nage. Nonobstant l’absence de lignes brise-vagues, à deux ou trois par ligne d'eau, j’ai pu sereinement m’essouffler, pousser sur les jambes et tirer sur les bras.
    Ce coup-ci pas de vélo derrière, ça a suffit pour aujourd’hui.
  • 3200 mètres le mercredi 8 mai (de 09h45 à 11h30) à Piscine Rouvet (Paris) - Ravi de replonger dans une piscine. La précédente datait du 16 avril et je n'ai même pas oublié mon mot de passe. J'ai bien nagé entre temps la semaine dernière dix-quinze minutes dans la pièce d'eau d'un hôtel, mais ça ne compte pas.
    Mes bras eux sont moins ravis, c'est ce que j'ai constaté sous la douche quand il s'est agi de faire mousser le shampoing que je m'étais versé sur la tête. Pas faute de cheveux, faute de vigueur dans la friction, mou du coude quoi.
    Et puis j'ai roulé cet après-midi, comme ça pas de jaloux, mes jambes aussi sont flagada.
    Dur dur le mois de mai et son chapelet de jours fériés qui donne du temps à la pratique sportive.

 

Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 | 53 | 54 | 55 | 56 | 57 | 58 | 59 | 60 | 61 | 62 | 63 | 64 | 65 | 66 | 67 | 68 | 69 | 70 | 71 | 72 | 73




Messages postés sur les forums :