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glycine, 54 ans, homme, Paris

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mai 2024


avril 2024


Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Mai 2013 : (21250 m)
  • 3500 mètres le mardi 28 mai (de 16h30 à 18h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Y’en a qu’ont ekzagéré sous la douche : un couple qui est resté trois plombes à apprécier les massages aqueux. Comment je le sais ? hum, j’étais juste à côté à en profiter aussi. Mais j’ai une s-cuze moi, ma douche n’arrêtait pas de couler, je ne voulais pas gaspiller. J’ai tout de même abandonné les tourtereaux à leur thalasso. À propos d’oiseaux, ceux qui equesagèrent vraiment, c’est Les mouettes de Paris, pas une qui ne se rince et pourtant elle est bonne… et obligatoire.
    - Entendu à la radio à l’instant où j’écris ce passage : « Vivre c’est bien, savoir vivre c’est mieux. » -
    Donc vos gueules les mouettes ! laissez tomber RMC ou que sais-je et branchez-vous sur fip.
    Avant j’avais nagé, je ne sais pas où j’en suis, je ne déclenche pas le chrono en ce moment de peur d’être déçu, mais comme on dit sur RMC info talk sport : j’ai fait le boulot.
  • 3500 mètres le samedi 25 mai (de 08h30 à 10h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Dans une semaine j’ai mon premier triathlon L. Au-delà de la tentative d’élaboration d’un corps adapté à l’épreuve, il est temps de s’attacher aux petits détails qui comptent. Aujourd’hui, le choix des lunettes. J’ai emmené trois paires. La première a tenu 200 m, la deuxième 1800 m et j’ai cru qu’elle serait la bonne, mais j’étais encore mieux pendant les 1500 m avec la dernière. À défaut du bonhomme, voilà au moins une chose de prête, faut juste que je ne m’amuse pas à jouer au bonneteau avec, les trois paires étant du même modèle.
  • 3400 mètres le jeudi 16 mai (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Luminothérapie ce soir. Ce bassin que j’avais trouvé un jour cafardesque m’est apparu éblouissant malgré son toit fermé.
    Trois kilomètres non-stop. Même pas mal, aux genoux, aux jambes, aux bras, à la tête. Si un peu à la tête. Ma paire de lunettes étant vieillissante, j’ai resserré la lanière pour en assurer l’étanchéité. Alors à l’heure de savoir si j’allais poursuivre la série, j’ai trouvé une excuse : pas ce soir chéri, j’ai la migraine.
    Le fait marquant de cette séance à Vallerey s’est passé chez l’autre Georges du coin, Hermant.
    Lors de mon retour à vélo, en passant rue David d’Angers, j’ai aperçu une ombre dans la fosse à plongeon où j’étais désolé de n’y avoir jamais (c'est-à-dire les quelques fois où je suis passé là) vu l’eau onduler. Je me suis arrêté : des plongeurs, une femme et une douzaine d’hommes, enchaînaient les figures depuis les trois plongeoirs, créant qui une ridule, qui un tsunami. Manifestement un club loisir. Attention, je ne dénigre pas, il faut le faire, mais rien d’éblouissant.
  • 3400 mètres le mardi 14 mai (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Je me suis tout de suite bien senti dans mon maillot. Quand je dis tout de suite c’est dès le saut de mise à l’eau. je me revois marquant une pause dans les abysses, tranquille, avant de regagner la surface.
    La suite prouva que ma première sensation était la bonne sans toutefois casser des carreaux. Par exemple, à un moment donné je me lance pour 1 km non-stop que je transforme en 1,5 km tellement je n’avais pas besoin de répit. J’ai aussi enfin fait un chrono approchant ceux de l’année dernière.
    Seul ennui, ma fougue m’a fait pousser un peu violemment sur le mur lors d’un demi-tour, le mur va bien, par contre j’ai réveillé une douleur au genou, pourvu qu’elle se rendorme.
  • 750 mètres le samedi 11 mai (de 16h30 à 16h45) à Piscine Montbauron (Versailles) - Triathlon du Roi. Grosse contre-performance et grosse désillusion. Je me suis battu pour aller au bout, alors qu’il ne s’agissait que d’un format S, parfois à la limite du malaise, je dois finir dans les dix derniers. Je vais me remettre à regarder le sport à la télé, ça vaudra mieux que d’essayer de le pratiquer.
    Pour la partie qui concerne le site, la natation a eu lieu dans la Pièce d’eau des Suisses, au sud du château, en dehors du parc, mais avec l’impression d’y être. Eau légèrement sous les 16 °C, vaseuse au niveau du départ, claire par la suite, une boucle de 750 m toute simple à effectuer. Avec quelques désorientés j’ai quand même réussi à viser la mauvaise bouée. Il a suffi qu’il y en ait un qui se trompe pour entraîner dans son sillage une nuée de poissons, le phénomène banc.
    Du haut de mes six triathlons, c’est la fois où j’ai le plus souffert de l’ambiance baston, même si je me souviens avoir coulé à Enghien mais sans que ça m’effraie, aujourd’hui je n’aurais pas supporté, je crois à cause de mon état de méforme. J’ai trouvé également que ma combinaison me comprimait la cage thoracique, là aussi la suite, dès la sortie de l’eau où je n’ai pas pu courir dans la zone de transition, prouva que je cherchais l’air.
    Bon je vais quand même essayer de « K33p Swimming », cycling and running.
  • 3500 mètres le vendredi 10 mai (de 10h00 à 11h45) à Piscine La Source (Orléans) - Peu habitué à être présent dès l’ouverture des piscines, j’ai constaté ce matin que les palmipèdes patientant dans le hall étaient des habitués quand 90 % d’entre eux ont présenté des cartes d’abonnés au guichet.
    Je trouve que cette piscine seventies et dans laquelle je n’avais pas trempé le moindre orteil depuis au moins dix ans a plutôt bien vieilli. J’ai eu l’impression que rien n’avait changé et que je m’y étais baigné la veille. Quand j’étais - plus - jeune je la trouvais moche, maintenant, je lui trouve du caractère avec ses baies en forme de losange et datée jusque ce qu’il faut.
    Grâce au grand petit bassin ludique (25 x 10 m), le véritable grand bassin de 50m n’était presque qu’exclusivement occupé que par des nageurs, répartis dans les six couloirs de nage. Nonobstant l’absence de lignes brise-vagues, à deux ou trois par ligne d'eau, j’ai pu sereinement m’essouffler, pousser sur les jambes et tirer sur les bras.
    Ce coup-ci pas de vélo derrière, ça a suffit pour aujourd’hui.
  • 3200 mètres le mercredi 8 mai (de 09h45 à 11h30) à Piscine Rouvet (Paris) - Ravi de replonger dans une piscine. La précédente datait du 16 avril et je n'ai même pas oublié mon mot de passe. J'ai bien nagé entre temps la semaine dernière dix-quinze minutes dans la pièce d'eau d'un hôtel, mais ça ne compte pas.
    Mes bras eux sont moins ravis, c'est ce que j'ai constaté sous la douche quand il s'est agi de faire mousser le shampoing que je m'étais versé sur la tête. Pas faute de cheveux, faute de vigueur dans la friction, mou du coude quoi.
    Et puis j'ai roulé cet après-midi, comme ça pas de jaloux, mes jambes aussi sont flagada.
    Dur dur le mois de mai et son chapelet de jours fériés qui donne du temps à la pratique sportive.

 

Avril 2013 : (11400 m)
  • 3400 mètres le mardi 16 avril (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - En deux temps, pas la respiration, la séance. D’abord de bonnes conditions de nage dans l’unique ligne d'eau accessible au public côté club, donc du sport. Puis : « S’il vous plaît messieurs [à ce moment là nous n’étions plus qu’entre hommes], cette partie du bassin est réservée aux activités maintenant, il faut que vous passiez de l’autre côté du mur. » Là, face à la congestion de la ligne pour nageurs rapides, je suis resté dans les pieds n’ayant plus la gnaque pour doubler.
    Plutôt que d’assumer mes faiblesses, j’en veux aux activités qui m’ont coupé dans mon élan. Pourtant ces activités ont au moins le mérite de rester de la natation. À Hermant, à chaque fois que je sors du bassin et que je passe devant les vélos rutilants alignés sur la plage, j’apprécie de ne les avoir jamais vu immergés.
  • 2500 mètres le vendredi 12 avril (de 19h45 à 21h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Dans l’idéal il était trop tard pour que j’y aille. Mais je sais que je ne pourrai pas nager avant mardi et qui sait si mardi je n’attendrai pas mercredi pour y aller… or la saison des triathlons approche et avant celle-ci les vacances de Pâques pendant lesquelles je vais couper mon entraînement. Objectivement je peux me passer de nage pendant une semaine ou quinze jours, ça ne changera rien ou si peu à mes performances, mais psychologiquement c’est important d’y aller, principalement pour deux raisons :
    Adopter la démarche, je suis inscrit à une épreuve, donc je la prépare à peu près sérieusement.
    Pratiquer pour cumuler un volume d’entraînement qui rassure.
    Je n’en étais pas à ma première séance à Hermant, mais j’ai découvert ce que j’avais plusieurs fois lu : le bassin en configuration hybride 25 et 50 m. Ce fut directement 50 m pour moi, sans analyser l’affluence dans les lignes d'eau de 25 m. Dommage d’ailleurs qu’il n’y ai pas de piscines de 100 m. Ça devrait être faisable avec des maîtres-nageuses postées à mi-bassin, jumelles en bandoulière et en maillot sexy rouge.
  • 2700 mètres le dimanche 7 avril (de 11h30 à 13h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Ça tient à pas grand-chose une séance à la piscine : pour inscrire ma fille – 15 ans la petite – à sa colonie de vacances j’ai présenté une attestation datée de 2007 qui dit qu’elle « a passé avec succès l’épreuve de 25 m brasse », alors qu’il leur fallait un « test d’aisance aquatique préalable à la pratique des activités aquatiques et nautiques », autrement appelé « test de natation anti-panique ». Sur le moment c’est moi qu’y ai paniqué : encore de la paperasse. Mais bon comme ça j’ai pu faire découvrir Rouvet à ma fille, pas forcément la number one, mais assurément dans ma short list des bonnes piscines parisiennes.
    Je préfère taire les mouvements à effectuer pour réussir le test, c’est de la gnognotte. J’aurais bien vu le MNS enfoncer la tête de ma fille au fond de la piscine pour voir si elle s’en sortait. Là le papier aurait eu plus de valeur qu’un simple brevet de natation.
  • 2800 mètres le mardi 2 avril (de 19h30 à 21h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Défilé de mode dans la ligne d'eau club. Les mâles portent tous – faut être dans le moule, c’est le principe de la mode – un moule-bite de type boxer, court, collant, et point commun le plus remarquable, multicolore. Ces shortys sont la chemise hawaïenne des clubbeurs des plages carrelées. Ils vont bien se marrer quand ils y repenseront dans quinze-vingt ans.
    Et moi alors, est-ce que je me suis vu ? Me concernant il faut juste savoir que j'ai été seul dans une ligne pendant 1800m. Si c’est l’effet foot, je conseille aux nageurs parisiens à la recherche de lignes dégagées un plouf mercredi prochain.

 

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