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glycine, 54 ans, homme, Paris

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Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Mars 2013 : (21250 m)
  • 2600 mètres le vendredi 29 mars (de 19h45 à 21h00) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Pas mieux qu'hier au niveau chrono. Enfin si, une poignée de secondes, c'est très insuffisant. Je préfère évoquer d'autres aspects de ma séance.
    Pressé par le temps je n'ai même pas regardé si ma ligne d'eau était attribuée à un type de nage, en tout cas nous n'étions que des crawleurs, j'ai pu nager sans gêne. Pressé par le temps j'ai enchaîné non-stop. Pressé par le temps j'ai tiré sur les bras à en ressentir des tensions dans les trapèzes.
    Ce qui me ramène au questionnement du temps qu'il me faut pour parnager quelques longueurs de bassin.
    Je perds patience et ces longueurs de temps font que j'enrage.
  • 3200 mètres le jeudi 28 mars (de 19h30 à 21h15) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Illusion d’optique subaquatique : un homme, beau, jeune, élancé, crawle dans la ligne d'eau club d’à côté. Ses pieds battent un tempo rapide et vigoureux, ses respirations témoignent de l’intensité de son effort . Tout content j’arrive à rester à sa hauteur et je ne doute de rien. Je devrais, car à y regarder de plus près le zigue file droit avec un seul bras propulseur, l’autre tendu vers l’avant ouvrant la voie. Je l’ai fait aussi après pour essayer, pour sûr c’est un bon exercice, crevant, pour aussi sûr ça va beaucoup moins vite comme ça.
    Auparavant j’avais fait deux séries de 500 m chronométrées, ça faisait longtemps que je ne m’étais chronométré. La première en endurance : 9 min 37 s, la deuxième presque au taquet : 9 min 31 s ! Nul par rapport à ce que je faisais récemment.
    Autant pour le coup des éducatifs dans la ligne club, j’ai bien rigolé de ma méprise, autant pour les chronos ça me désespère.
  • 3200 mètres le jeudi 21 mars (de 19h30 à 21h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - J’ai inauguré un nouveau maillot. Pas vraiment une nouveauté pourtant, car je suis tout heureux d’avoir trouvé le même que l’année dernière qui commençait à être élimé aux hanches. C’est tellement inespéré de pourvoir acheter le même produit dans une même enseigne d’une année sur l’autre.
    Comme indiqué dans le tableau des horaires des piscines de Paris, Vallerey sera fermée pendant trois jours du 22 au 24 mars. Motif : compétition. Le bassin a été préparé en conséquence : fauteuils en bout de bassin, lignes coupe-vagues à l’extérieur des couloirs de nage extérieurs, c'est-à-dire le long des bords de la piscine, et surtout les plaques de chronométrage plaquées sur le mur sous les plots de départ.
    J’ai été content de voir ça, car ça valide l'idée que l’air de rien, les jours de compète le bassin fait moins de 50 m. En effet, les plaques en question c’est pas les feuilles des pages de la Pléiade, à vue de pince-nez je dirais 2 cm d’épaisseur.
    Il va falloir que je mette en place un algorithme pour réévaluer mes chronos, afin de les comparer avec les pseudo-records du monde.
  • 3100 mètres le vendredi 15 mars (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Ah ça fait du bien de replonger dans un bassin de 50 m, surtout dans les conditions idylliques de ce soir. Je n’ai pas cherché à aller voir plus loin que la ligne d'eau du bord si l’eau était plus claire ailleurs, vu qu’on a été au maximum quatre dans cette ligne qui normalement n’est pas pour moi mais pour les nageurs lents, non mais ! J’ai juste eu à veiller à ne pas accrocher une des deux échelles du milieu du bassin lors des passages de bras. Seule déconvenue de ma séance, les deux longueurs en élastique seul où j’aurais préféré être dans un bassin de 25 m. Il faudra que je vois quelqu’un y arriver, sans paraître se noyer, pour y croire.
  • 2750 mètres le mardi 12 mars (de 19h30 à 20h45) à Piscine Paul Valeyre (Paris) - Une petite affichette à l’entrée prévient que la piscine fermera une heure plus tôt que prévu pour cause d’intempéries. Quelles intempéries ? Je ne vois pas le mauvais temps qui me prive de temps, au contraire, quelle belle journée, c’est splendide.
    Donc il me faut faire vite, pour ne pas trop faire baisser ma moyenne de km par séance. Alors j’envoie autant que possible, dès les vestiaires. J’en déchire mon bonnet. Heureusement ça se passe mieux ensuite, bien aidé par quelques torpilles dans la ligne d'eau pour nageurs rapides qui pour une fois n’usurpe pas son appellation. Bilan : seulement 2 ,750 km, mais probablement une séance bien plus efficace que de nombreuses autres affichant une plus grande distance.
  • 3100 mètres le lundi 11 mars (de 19h30 à 21h15) à Piscine Château Landon (Paris) - Dans ce bassin bondé, j’ai beaucoup louvoyé et levé le nez pour éviter les accrochages. J’ai tout de même parfois laissé reposer ma nuque et ralenti en fixant la ligne de fond. Et oh ! stupeur, il n’y a pas de T à Château Landon, la ligne court sur le mur. Ça n’empêche bien sûr pas certains baigneurs de faire salon.
    J’ai fait le boulot, trois kilomètres et un petit complément, facile, sans signe avant-nageur d’une quelconque fatigue. Puis j’ai profité de la douche bouillante, que j’ai trouvée agréable et que pourtant je n’ai pas supportée. J’ai frôlé le malaise dans ma cabine. La pluie cinglante m’a revigoré, ne reste maintenant que la saine langueur post-effort.
  • 3300 mètres le dimanche 10 mars (de 10h00 à 11h45) à Piscine Hébert (Paris) - Descendu de la montagne sans cheval après quelques jours de ski achevés sous l’eau, content de renouer avec l’eau, de la piscine.
    Un manchot nageait la brasse sur un bon rythme vu son handicap. Sa nage se caractérisait par le maintien de sa paume à la verticale lors de la phase de l’allonge, pour garder le cap j’imagine.
    Il y avait aussi dans ma ligne d'eau des nageuses à palmes courtes, impeccable ça les mettait à peu près à la même allure que moi. Parmi elles, une jeune et vraiment jolie nageuse, maillot, lunettes, et bonnet noirs. Elle nous a fait profiter de sa plastique lors de ses pauses, accoudée au bar du salon de T, lunettes relevées et tête inclinée sur les bras. Dans ce cas là, l’avantage du court bassin de 25 m c’est qu’on est amené à croiser assez souvent la belle.

 

Février 2013 : (16000 m)
  • 3200 mètres le samedi 23 février (de 09h45 à 11h30) à Piscine Rouvet (Paris) - Le jour et la nuit par rapport à Drigny mercredi. Ben oui puisque Drigny c’était après 19 h 15 pour la nocturne et Rouvet à 09 h 45 pour la diurne, mais surtout pour tout le reste.
    À commencer par l’eau laiteuse là bas, claire ici, en passant par les carreaux crasseux d’un côté, propres de l’autre, les douches tiédasses à l’ouest, chaudes à l’est, la bousculade à gauche, la tranquillité à droite. Sans compter que la piscine du jour est plus proche, avec un bassin plus long, des cabines-vestiaires, une lumière naturelle zénithale, et que je n’ai pas payé.
    J’avais bien aimé ma soirée mercredi, c’est dire si ce matin j’ai passé un bon moment.
  • 3000 mètres le mercredi 20 février (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Drigny (Paris) - Hermant fermée, direction Drigny malgré une fréquentation présumée élevée selon les comptes-rendus des mercredis précédents. Finie ma série de verts, 2013 vire à l’orange.
    J’ai recoiffé mon bonnet habituel, que j’avais récupéré sur un triathlon. Il est cheap comparé au bonnet bleu bien épais de l’étoile de Martin et moins agréable à porter.
    M’étant traîné lundi jusqu’à Decathlon, que j’ai plutôt tendance à fuir, pour y acheter le fameux élastique, je l’ai essayé. Pas facile surtout avec ce monde. Pour nager pas de problème avec le pull-buoy, plus délicat sans, mais possible sur quelques longueurs entrecoupées de pauses. C’est surtout là, au T déjà bien garni, que j’ai été empoté avec mes pieds liés.
  • 3200 mètres le dimanche 17 février (de 10h30 à 12h45) à Piscine de Levallois (Levallois Perret) - « Vous payez ici, l’entrée est à six euros ou plus si vous voulez, en chèque ou en liquide » qu’on m’a expliqué dans le hall. Mouais, ben je viens pour faire un don sans rien en poche moi, bravo. J’ai été bon pour une promenade en ville à la recherche du quartier des agences bancaires, afin de braquer un DAB. Comme ça j’ai pu donner ce que je voulais.
    Une fois enfin dans la place, beaucoup de bonnets bleus. Sous ces bonnets, dans les lignes d'eau, beaucoup de nageurs.com je présume. Drôle de sensation, je les connais, je vous connais puisque je vous lis. Pour autant ne connaissant pas vos bobines, à part un chansonnier versificateur que j’ai repéré, je ne sais quels étaient les prosateurs présents.
    À un moment donné, un relais a été mis en place, 50 m chacun. Je me suis inséré dans la file et j’ai fait mes deux longueurs, comme une balle.
    Hé ! j’avais rien compris, 50 m, c’était à la fois, mais à faire plusieurs fois. J’ai donc remis ça trois ou quatre fois plus tranquillement avec tout de même un aller-retour en papillon, l’aller aurait suffit.
    Je mets du vert à cette séance. Attention gros succès, des nageurs, mais à la queue leu-leu derrière le plot de départ, donc « bassin avec peu de nageurs ». Et puis je n’ai que du vert depuis le début de cette année qui vire au noir à Paris avec la multiplication des fermetures.
    Voilà, j’avais tiré au flanc l’année dernière, aujourd’hui j’ai rectifié le tir, comme une balle.
  • 3300 mètres le mercredi 6 février (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Ma petite habitude à Hermant en configuration 25 m, c’est de me servir en matériel puisque je passe devant le bac pour me mettre à l’eau en bout de bassin. Pas de pull-buoy disponible ce soir dans le bac. Ça m’a donné l’idée d’essayer de nager comme si j’avais un pull-buoy, en gros les jambes inertes, pendant un kilomètre. J’ai eu l’impression de faire du bon boulot, pourtant je me doute bien que je dois faire quelques oscillations. Les quelques oscillations qui ont suffi à me maintenir à flot, je vais pleurer le jour où je mettrai un élastique. Après ce premier kilo réussi et un intermède papillon je me suis lancé pour un kilo plaquettes, copieux le programme, trop, j’ai eu les yeux plus gros que les épaules. Un peu atteint dans ma chair, j’ai quand même poussé jusqu’à mes trois kilomètres et quelques habituels.
  • 3300 mètres le samedi 2 février (de 20h00 à 21h45) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Je n’ai toujours pas mis le réveil pour aller dans une quelconque piscine à sept heures du matin ,mais ça y est, j’ai fait la nocturne de Le Gall. Pas jusque loin dans la nuit, j’ai seulement fait la matinée de la soirée. Il y a des gars qui arrivaient encore quand j’étais sous la douche à 21 h 30. J’ai donc vu le bassin clairsemé tous feux allumés, puis plongé dans l’obscurité, puis un enchaînement d’illuminations – c’est quel bouton déjà ? -, puis enfin l’éclairage subaquatique seul. Par contre je n’ai pas vu le moindre bonnet nageurs.com. Bon je suis un peu miro, mais depuis les nouveaux bonnets de l’été dernier, vous, enfin ceux qui le portent, êtes plus facilement repérables.
    Ce que je retiens de cette séance, c’est les bavantes aller et retour à vélo. Il y a encore peu, j’avais trois vélos : un pour le sport, un beau – je trouve -, et un passe partout - pas pour faire le tour du monde en moins de quatre-vingt jours - qui ne craint rien. Il ne craignait tellement rien que je me le suis fait voler. Depuis quelques temps je suis donc parfois à Vélib. De chez moi, pour aller à Roger Le Gall, il me faut gravir la rue qui passe devant Georges Hermant et monter jusqu’à Georges Vallerey. Bien sûr au retour ce passage descend, mais il n’y a pas de miracle, c’est parce qu’il est précédé d’une petite grimpette. Il est lourd ce satané Vélib, surtout que j’avais décidé de n’utiliser que la troisième vitesse, le gros développement. Challenge tenu à l’aller, pas au retour, j’ai craqué. Ça, plus la nage quand même, je me suis bien dépensé.

 

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