La page de glycine

glycine, 54 ans, homme, Paris

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Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Juillet 2012 : (33100 m)
  • 3000 mètres le lundi 30 juillet (de 14h30 à 15h30) à Anse de Bréhec, Plouha, Côtes d'Armor - Secoué par les vagues trois jours plus tôt et peu confiant en mon état de forme, je n’ai pas pris le large et j’ai nagé le long de la plage. J’ai eu froid au bout d’une demi-heure malgré la combinaison. Combinaison que j’ai abîmée. Avec l’habitude de l’enfiler, je n’ai pas mis le soin nécessaire à cette opération délicate et crac ! décousue sur une dizaine de centimètres au niveau de la taille. Chaque séance en mer demande de la volonté. Je me fais violence pour y aller.
  • 3000 mètres le vendredi 27 juillet (de 11h30 à 12h30) à Anse de Bréhec, Plouha, Côtes d'Armor - Toujours un aller-retour vers la pointe de la Tour. Une heure comme la dernière fois.
    Mer agitée aujourd’hui. Pour un nageur, parce que pour le fainéant posé sur la plage rien d’impressionnant à l’horizon. Sensation de m’être bien battu et de ne pas m’être désuni dans cet environnement légèrement hostile.
  • 3000 mètres le mercredi 25 juillet (de 11h30 à 12h30) à Anse de Bréhec, Plouha, Côtes d'Armor - Même parcours qu’avant-hier vers la pointe de la Tour, en une heure. Ce n’est pas le grand large, mais m’éloigner seul de la plage en longeant les rochers reste tout de même inquiétant. J’ai poussé légèrement plus avant pour passer la pointe de la pointe, ouh là là ! ça sentait le large.
  • 2800 mètres le lundi 23 juillet (de 11h15 à 12h15) à Anse de Bréhec, Plouha, Côtes d'Armor - Aller-retour Vieux-Bréhec–pointe de la Tour en cinquante-six minutes.
    Pas facile de nager entre les icebergs des Côtes du Grand Nord, même sous le soleil. Je tiens dix minutes-un quart d’heure en costume de plage dans ces eaux glacées. Je le dis à dessein, j’ai un thermomètre. Il y a quelques années j’en ai eu assez de toutes ces températures jetées à l’eau : elle est bonne ou fraîche, meilleure que ou plus froide que l’année dernière ou qu’à Palavas… Avec le thermomètre, c’est moins glamour, on perd en faconde, mais on gagne en précision.
    Donc là 19,7 C°, c’est pas si mal, c’est peut-être pour ça qu’ils ont débaptisé le département « Côtes du Nord » pour le renommer « Côtes d’Armor ».
    J’ai donc nagé avec la combinaison qui m’a tenu à peu près chaud, mais qui m’a laissé des irritations autour du cou.
  • 3200 mètres le jeudi 19 juillet (de 19h15 à 21h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Arrivé à plat je pensais manquer de jus, alors j’ai commencé par enchaîner quelques longueurs tranquillement, sans fil directeur. En eau libre, sans les cordes à linge, j’aurais fait des ronds dans l’eau. Somme toute, en additionnant les longueurs, j’arrive à un total convenable, qui plus est sans gêne musculaire.
    Je me suis présenté à la sortie à Nageurfélin, qui est le premier nageur.com que je rencontre. Comme il a été déjà souvent dit ici, faut dire qu’il est facilement identifiable.
    Je l’ai félicité pour sa contribution abondante au site, pleine d’humour et de bonne humeur.
    Lui s’est dit étonné par les quarante-trois ans de ma fiche. Flatté, j’ai pris ça pour un compliment, il m’a alors précisé qu’étonné ça pouvait signifier faire plus
    – attention c’est la première fois que j’utilise une émoticône, à mon âge j’ai appris à faire sans
    .
    C’est les vacances, prochaines séances en mer, dans les Côtes d’Armor, donc avec la combinaison. Comptes-rendus à mon retour.
  • 3500 mètres le mardi 17 juillet (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Sans forfanterie je réitère mon « vive la grisaille ! ». Parce que là, juste sous prétexte qu’on a une belle journée, bim ! c’est la foule.
    D’ailleurs je comprends ceux qui rôtissent sur les gradins ou qui barbotent dans la zone trempette, c’est pas pareil quand il pleut, mais les nageurs, ceux qui fréquentent les trois lignes d'eau qui leur sont réservées, me désolent : pas d’avoir été là ce soir, d’avoir été absents quand, beurk, il faisait moche.
    Vive la grisaille aussi car ce bassin est mal orienté, sa longueur est dans l’axe est-ouest. À l’heure où le soleil file à l’ouest on en prend plein la poire, visibilité quasi nulle, et comme « c’est merveilleux il fait beau », les lignes sont blindées et bim ! ça fini en carambolage.
    Tiens, bim ! aussi après 3300 m, mes mollets ont crié « stop ! ». Ça beau être moi qui décide quand les mollets disent stop, pas facile d’en rajouter.
  • 3300 mètres le dimanche 15 juillet (de 12h15 à 14h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Éblouissant. Mon style ? mes chronos ? les sirènes ? Malheureusement non, la luminosité. Entre deux ondées et à travers le chapelet de cumulonimbus le soleil a dardé quelques rayons sur les eaux limpides de Georges Hermant, et ça fait mal aux yeux. Vive la grisaille.
    Fréquentation moins sportive le dimanche midi que les soirs de semaine. La nature – humaine – ayant horreur du vide le couloir « nage rapide » était tout de même bien garni, notamment par mon beau-frère qui s’y est enhardi pour la première fois.
    J’ai essayé de faire un kilomètre avec respiration tous les cinq temps. Il m’a parfois fallu tricher et reprendre mon souffle en bout de ligne. Je suis soulagé de ne pas avoir ressenti le moindre début de contraction musculaire, ça faisait longtemps. J’ai pourtant fini par des éducatifs susceptibles de provoquer quelques crispations.
  • 3000 mètres le jeudi 12 juillet (de 19h00 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - J’augmente la fréquence de mes séances pour préparer la traversée de Paris. Mais ce soir sous le crachin j’ai plutôt eu l’impression de préparer mes futures vacances en Bretagne. Nager sous la pluie c’est un début de préparation, car rien ne vaut la vérité du terrain… l’eau est bien plus froide dans les Côtes d’Armor qu’à Georges Hermant.
    Je n’ai de nouveau pas pu soutenir la cadence de mes compagnons de ligne d'eau. Je me fais mal, je tire sur les bras, je finis avec les jambes contractées, tout ça pour aboutir à une allure médiocre.
  • 3000 mètres le mardi 10 juillet (de 19h30 à 21h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Pas satisfaisante cette séance.
    Mal organisé, je suis arrivé plus tard que je ne pensais ce qui ne me laissait qu’1 h 05 min pour faire mes trois kilomètres soit une poignée de minutes de marge. Pas possible de traîner sous la douche pour valider mon soupçon d’identification du plus éminent posteur de ce site.
    J’avais prévu de tester mon lecteur mp3 submersible. L’essai ne fut pas concluant, mais je n’ai pas vraiment eu le temps d’expérimenter différentes configurations. Je m’en suis débarrassé sans avoir à aller jusqu’à mon casier en le refilant à mon beau-frère qui m’a évité une perte de temps précieuse.
    Habitué aux bassins moins sportifs et bien qu’ayant déjà fréquenté Georges Hermant, j’ai été frappé par le nombre de personnes qui m’ont doublé, et ça fait mal. J’ai beau me dire qu’ils et elles étaient plus jeunes que moi, que je me suis mis à la natation sur le tard, que je n’y vais pas tous les jours, que j’avais le courant de face, et que sais-je ? Je suis dépité.
    Et pourtant ce bassin découvert sur lequel se reflète le soleil couchant, c’est délicieux.
  • 1800 mètres le jeudi 5 juillet (de 09h45 à 10h30) à Stade Nautique de Beaune - Étang de Fouché à Arnay-le-Duc. J’ai nagé trente-six minutes que je converti en 1800 m faute de données métriques. Bel étang au bord d’un camping garni d’une clientèle essentiellement bénéluxienne. Eau tout de même très trouble, ce qui ne m’émeus pas. L’année scolaire n’était pas terminée pour tout le monde, car des jeunes du village étaient en cours d'EPS et enchaînaient les sprints sur l’étroite plage de sable.
  • 2000 mètres le mercredi 4 juillet (de 11h00 à 12h45) à Nautidombes (Villars-les-Dombes) - Piscine qui jouxte le camping Indigo, accessible aux clients du camping. Deux bassins, un toboggan, deux plongeoirs. J’ai voulu montrer mon aptitude au saut périlleux à mes enfants, périlleux en effet. Ma fille s’est lancée et a réussi à faire des saltos depuis les deux plongeoirs (1 m flex et plate-forme à 3 m). Mon fils et mon neveu se sont contentés de plongeons depuis le 1 m et de sauts depuis le 3 m.
    Je dois avouer que j’ai bien ri à la vue d’un cours d’aquagym surréaliste mollement dispensé par un septuagénaire à trois sexagénaires sur un fond musical très hype, un rythme techno-lounge, d’où le décalage.
  • 1500 mètres le dimanche 1 juillet (de 12h00 à 12h30) à Piscine de plein air des Marquisats (Annecy) - Triathlon d’Annecy avec partie natation dans un décor de carte postale. Départ étagé en 4 vagues : une vaguelette avec les femmes, suivie de deux déferlantes d’hommes, puis la vague des relais. Coincé dans les remous j’ai nagé en dedans jusqu’à la première bouée, pour ensuite mettre du rythme en m’écartant du paquet. La fin du parcours se faisait par le canal du Vassé en passant sous le Pont des Amours, un peu folklorique pour nager, mais très sympa au niveau ambiance. Résultat 1500 m en 28 min 18 s et 2 h 55 min pour l’ensemble du triathlon. Tout comme la partie natation, une partie vélo très chouette avec un petit col à gravir, de superbes vues sur le lac et une descente en lacets impressionnante.

 

Juin 2012 : (11700 m)
  • 3000 mètres le mardi 26 juin (de 11h00 à 13h15) à Piscine Jean Bron (Grenoble) - J’avais déjà fréquenté cette piscine pas banale en juin 2011 avec ma fille et un neveu, cette année c’était avec mon fils et ce même neveu. Annoncée comme une « piscine municipale » à l’entrée, on est plus près de l’espace aquatique. Cette piscine découverte située en plein cœur de Grenoble se décline en quatre bassins : un sportif de 25 m avec plongeoirs, tribunes et lignes d’eau ; un bassin d’initiation ; une belle pataugeoire ; et un énorme bassin qui m’avait paru presque aussi large que long l’année dernière avec deux couloirs pour nager. J’y avais nagé à un rythme record selon mon chrono, et pour cause puisqu’en sortant j’avais découvert que ce magnifique bassin de 50 m avait pour dimensions 46,10 m x 30 m.
    Cette année pour compenser ma désillusion passée j’ai nagé soixante-six longueurs pour assurer les trois kilomètres.
    En matinée, très cool à deux ou trois par ligne avec une hausse de la fréquentation à l’heure de la pause déjeuner, comme je les comprends ! Les après-midi de beau temps, ça doit être un peu la faune.
  • 2200 mètres le dimanche 24 juin (de 12h45 à 14h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Tout juste descendue la rue David d’Angers et descendu de vélo, mon beau-frère m’attendait avec mes affaires. L’enchaînement a été délicat. Mine de rien le vélo ne fait pas que mal aux jambes, mais congestionne aussi les épaules quand on adopte une position aérodynamique qui amène un surplus de poids sur les bras. Mais tout de même, mon kilomètre chronométré en vingt minutes m’a déçu. J’espérais valoir mieux même en descendant de vélo.
    J’ai vu un petit couple mignon tout plein. Ils avaient la cinquantaine et installés sur le muret à l’extrémité du bassin ils comptaient le nombre de nageurs par ligne d'eau (en gros quatre ou cinq par ligne), et portèrent leur choix sur la ligne la moins fréquentée, la mienne, celle pour nageurs rapides : « Regarde le monsieur [moi] s’en va. » Concernant les panneaux de répartition des lignes, je pense vu leur attitude qu’ils ne les ont même pas remarqués.
  • 1500 mètres le dimanche 17 juin (de 14h00 à 14h30) à Piscine municipale de Fay-aux-Loges - Triathlon Brin d’Amour, en forêt d’Orléans dans et autour de l’étang de la Vallée.
    Content de refaire un triathlon presque un an après mon précédent.
    Format Courte Distance (théoriquement 1500 m dans l’eau, 40 km à vélo, et 10 km de course à pied, ici 1500-38-12 annoncés). Je suis globalement satisfait. La partie natation comportait deux boucles avec une sortie à l’australienne (une sortie sur la berge de quelques mètres entre les deux boucles). L’eau était à 18,6 °C, idéal pour nager en combinaison. Je n’ai malheureusement pas pensé à prendre le temps intermédiaire entre les deux tours pour savoir sur lequel j’avais été le plus performant. Évidemment le départ a été un peu chaotique, tel la ligne d'eau réservée au crawl à Berlioux, puis ça s’est décanté, je me serais parfois cru à Rouvet. À l’approche de l’arrivée je me suis retrouvé dans un paquet, on devait être quatre ou cinq à se tamponner, ma famille m’attendant sur la berge j’ai voulu faire l’effort pour m’extraire de ce bouillon, j’ai donné des jambes et bing mon mollet s’est contracté, heureusement qu’il ne restait qu’une poignée de coudées avant la sortie de l’eau. Après, il m’a été très pénible d’enlever la combinaison, tellement j’avais, plus que le mollet, les deux jambes tétanisées. Une fois en selle et après quelques coups de pédales, les douleurs ont disparu. Bilan chronométrique pour la partie natation 28 min 27 s à ma montre et 2 h 25 min au total.
    Mon fiston a fait le format Découverte dans la matinée et il a eu du mal en natation et à vélo, alors qu’il s’est bien débrouillé en course à pied. Autant nager correctement ne s’improvise pas, autant je croyais cela possible pour le vélo (sur 8 km). Il n’a pas – encore ? – le profil du triathlète.
  • 2500 mètres le dimanche 10 juin (de 14h30 à 16h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - C’est pas pour copier sur Nudistefélin, mais moi aussi j’ai oublié mon maillot. Un grand moment de solitude dans la cabine, où pourtant j’étais bien entendu déjà seul. Je n’ai aucune excuse, juste une explication : j’ai dans mon placard où je range mes affaires de sport deux petites pochettes de couleur. Une avec un nécessaire de toilette que je mets dans mon sac de sport quand je vais courir au boulot, une autre avec le même nécessaire plus un maillot un bonnet et des lunettes pour le sac de piscine. Et, erreur, j’ai emmené la pochette rose au lieu de la verte. Rose ou vert, je ne parle pas politique, mais je suis allé voter après, peut-être me suis-je trompé là aussi.
    J’ai été bon pour un aller-retour express à la maison, dommage, car bien qu’étant seul dans ma cabine, j’étais accompagné de mon beau-frère. J’ai ensuite enchaîné 2,5 km comme prévu. C’est légèrement moins que mon tarif habituel, mais j’avais pédalé 65 km dans la matinée. J’ai quand même eu du mal à aller au bout, turlupiné que j’étais par les crampes. Habituellement avoir des crampes m’agace, car je m’estime en assez bonne forme pour ne pas en avoir. Là pour le coup, ça ne m’a pas dérangé, j’en connaissais l’origine, même si j’étais au bord de la noyade.
    À ce propos, alors que j’attendais mon beau-frère à l’entrée de la piscine sur un tabouret de la zone cafétéria, j’ai vu une femme en perdition, sans que je puisse réagir, une vitre nous séparant. Au moment ou j’allais taper sur la vitre pour donner l’alerte, un enfant qui avait des bouées et une planche l’a « sauvée » en lui donnant sa planche.
  • 2500 mètres le dimanche 3 juin (de 11h15 à 12h45) à Piscine Mathis (Paris) - Avec mon fils de seize ans, sa deuxième séance sportive de l’année, alors que nous avons un triathlon dans quinze jours. Ce sera son premier, un format « Découverte » pour lui : 250 m de nage, 7,5 km de vélo et 2 km de course à pied. Il n’est pas nageur et on a testé sa capacité à nager dix longueurs de crawl de suite. Il en ressort trop essoufflé, il lui faudra alterner brasse et crawl le jour de l’épreuve. Moi, j’enchaînerai crawl et crawl, un peu comme aujourd’hui, les éducatifs et le pull-buoy en moins. J’ai fait moins que mes 3 km syndicaux, car je savais mon fils sous la douche depuis un bon bout de temps et je ne voulais pas qu’il vide les nappes phréatiques.

 

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