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glycine, 54 ans, homme, Paris

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Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Juillet 2013 : (23275 m)
  • 3300 mètres le mardi 16 juillet (de 19h15 à 20h45) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - Un peu l’impression d’avoir rencontré les conditions types qui font ronchonner les nageurs.com parisiens, un condensé de ce que je lis tout les jours :
    Hé, z’êtes analphabébêtes ou quoi ? y’a marqué « rapide » sur le panneau.
    Qu’est-ce que c’est encore que ce bassin dans lequel les lignes d'eau ne sont pas organisées par type de nage ?
    Oui, c’est ça, démarre sous mon bec, tu te traînes, mais au moins t’as de l’espace devant.
    Euh, je peux avoir une petite place pour pousser sur le mur ?
    Bon d’accord, le papillon n’est pas interdit, mais tout de même ce soir ça bouillonne déjà suffisamment non ? surtout que ton papillon, il a du plomb dans les ailes !

    Allez, pour une fois, c’est pas bien grave, ce n’est pas comme ça dans mon Paris, à Hermant ou Rouvet mes piscines habituelles. Et puis le fait d’avoir été le plus véloce de la ligne « rapide », et on y était nombreux, même s’il y avaient quelques flotteurs, c’est flatteur.
  • 4050 mètres le samedi 13 juillet (de 10h00 à 12h00) à Stade nautique Youri Gagarine (Villejuif) - Après la piscine de Levallois, deuxième fois cette année que je me transporte de l’autre côté du périph motivé par nageurs.com.
    Je ne m’attendais pas à un établissement tout neuf. Ailleurs c’est vieillot, c’est la suffisance du parigot. À Paris aussi parfois c’est vieillot, mais on appelle ça le cachet, comme hier quand j’étais aux Amiraux, un remarquable ouvrage architectural.
    Parcours un peu labyrinthique entre la caisse et le bassin extérieur.
    Passé le dédale, dans l’eau ce fut plus simple, tout droit, presque sans avoir à zigzaguer, épatant, ça m’a donné envie de chiffrer.
    Donc j'ai renchéri en faisant du dos et je me suis servi de la ligne de bouées comme d’un fil d’Ariane. Pour le dos-crawlé en extérieur, je préfère les cordes à linge aux lignes brise-vagues moins doucereuses pour ma main gauche.
  • 2650 mètres le vendredi 12 juillet (de 19h30 à 20h45) à Piscine des Amiraux (Paris) - J’ai un peu hésité à l’heure du choix de la piscine de ce soir vu que je boycotte Hermant, pour cause de météo défavorable, et malheureusement on ne prévoit pas de perturbation dans les jours à venir.
    Restaient de possible en horaire étendu dans un rayon de bicyclette, Nakache, Château Landon et Les Amiraux, car j’exclue d’office Pailleron.
    J’ai opté pour le bassin de 33,33 m. Déjà que cette semaine j’étais passé de 50 m à 37,50 m je ne voulais tomber trop bas d’un coup.
    J’ai été ravi de retourner dans ce bâtiment original qui abrite cette piscine vraiment charmante, même s’il n’y a au total que quatre lignes d'eau, dont deux réservées à la nage aujourd'hui, et occupées par des spécimen pas bien véloces.
    Un des aquamen, un quinqua ventripotent, a osé des accélérations par intermittence, à chaque fois que je le doublais. Ce n’était pas très pratique pour moi à cause du trafic venant d’en face, mais je ne crois pas qu’il refusait d’être dépassé. Il se challengeait le bougre, donc je n’ai pas râlé.
    En plus d'avoir joué et admiré les carreaux de faïence, j’ai envoyé du lourd, à la recherche du temps perdu à compulser les horaires avant de me mettre en nage. Eh oui, en préalable au crawl, j’avais transpiré pour aller fissa à la piscine.
  • 3375 mètres le mardi 9 juillet (de 19h15 à 21h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Fâché avec Hermant ou à tout le moins avec le comportement de ses usagers estivants je me suis déplacé jusqu’au bassin de 50 m le plus proche, Vallerey.
    Raté pour les 50 m, j’ai découvert la configuration 37,5 m, l’espace restant étant dédié aux aquatrucs. Au pluriel car il y a eu enchaînement aquagym puis aquabike.
    Pour l’aquapédalage dans la semoule le fond est relevé afin de mettre en place puis remiser les engins. C’est super pratique, alors les nageurs délaissent un instant les lignes d'eau pour observer le consternant mais néanmoins fascinant phénomène. Avantage, ces diversions ont permis deux courtes fluidifications bienvenues dans les lignes surchargées.
    En plus, je suis sûr qu’y en a pas une qui vient à Vallerey à vélo, pas folles, ça monte ! Dommage parce que là les candidates aux fesses galbées, aux cuisses fermes et aux mollets élancés seraient servies.
    Me voilà donc aussi fâché avec Vallerey, alors demain au programme pour moi, vélo, le vrai, qui roule.
  • 3300 mètres le lundi 8 juillet (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - La populace s’était invitée aujourd’hui à Hermant et c’est affligeant :
    À mon arrivée des jeunes interdits d’entrée, apparemment pour mauvais comportement une fois précédente, insultaient des vigiles. Un autre vigile faisait les cent pas le long des casiers. D’ailleurs je ne l’ai jamais souligné, mais tout ce personnel de sécurité à la belle saison, on nage sur la tête !
    Les vestiaires étaient dégueulasses, et je ne blâme pas ceux qui nettoient, mais ceux, de tout âge, qui salissent. Y’en a qui bouffaient salement et bruyamment, installés sur les tablettes des sèche-cheveux. Plus nombreux étaient ceux essorant leurs maillots n’importe où. C’était aussi à celui qui parlerait le plus fort, tant qu’à faire dans un registre graveleux.
    Je n’ai pas fréquenté la zone n’importe quoi, mais je suppose que ça devait donner. Un petit préjugé ? voui.
    Je ne m’attendais pas à cette déliquescence. Du reste, je viens de regarder ce que j’ai écrit l’année dernière dans mes commentaires : le 10 juillet « c’est délicieux », le 12 juillet il pleuvait, le 17 juillet « c’est la foule », mais à part le nombre, ce jour-là je n’en veux à personne.
    Je n’ai pas envie de revivre ça. Pour moi cet été Hermant ce sera soit par mauvais temps, soit le week-end à l’ouverture, ou en août avant la fermeture quand le soleil sera bien plus bas qu’actuellement.
  • 3200 mètres le jeudi 4 juillet (de 18h30 à 20h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - La tête dans le guidon jusqu’à la piscine pour être à l’eau à sept heures moins le quart. Puis une fois la tête dans le bonnet, le corps dans l’eau en action jusqu’à l’évacuation du bassin. À Hermant l’évacuation est annoncée au mégaphone. Impossible de gratter une longueur sous prétexte de n’avoir pas entendu l’annonce.
    Pas le temps d’enfiler des perles, J’ai adapté mon programme : pas d’élastique ni de battements. J’aurais pu envisager l’élastique plus pull-buoy, mais il faut compter avec l’enfilage du rond, dans l’eau, et les fois où il faut récupérer le pull-buoy quand il s’échappe de mon sillage.
  • 3400 mètres le mardi 2 juillet (de 18h45 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Donc Hermant a ôté son déshabillé.
    C’est sûr l’affluence s’en ressent, mais le surplus de nageurs a été aisément absorbé, grâce à l’aide des clubs moins gourmands en lignes d'eau qu’un mardi habituel.
    Même en cette soirée grisâtre et terne les fonds aquins s’en sont retrouvés transparents. Ça a peut-être inspiré un de mes confrères de ligne qui en a profité pour faire ses longueurs dans les profondeurs.
    Moi je n’ai rien changé, j’aime bien mon programme actuel.
    Il y a quelques longueurs battements-planche dedans. Je m’y fais tout doucement. Ça veut dire que ça m’est de moins en moins pénible, et que c’est ma vitesse aussi.

 

Juin 2013 : (28250 m)
  • 3600 mètres le samedi 29 juin (de 15h00 à 16h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Ambiance pas très estivale à Hermant avec son velum toujours déployé. Impeccable néanmoins pour nager un après-midi de week-end. Les lignes d'eau que j’ai pratiquées, dédiées aux nageurs rapides pour le crawl, aux nageurs moyens pour le dos-crawlé, aux nageurs lents pour les battements-planche, étaient toutes trois clairsemées.
    Mon maillot lui était encore humide de ma séance d’hier soir. J’enchaîne, si je continue comme ça, j’ai les boutons de chemise qui vont craquer, pas au niveau du bide à cause de la bière que je ne bois pas, ceux du haut au niveau des pectoraux.
    Ça va les chevilles ? ça va merci, elles n’enflent pas, au contraire, la nage a tendance à les affiner.
    Voilà à quoi tient une silhouette à tendance athlétique, je précise : des aquakilomètres, pas de l’aquagym.
  • 3200 mètres le vendredi 28 juin (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Un peu de fatigue accumulée pressentie ressentie au bureau aujourd’hui. Je ne me suis pas assoupi devant l’ordinateur, mais j’ai senti des raideurs dans les jambes. Ah la vie de bureau, c’est trépidant. Alors j’ai logiquement coincé en fin de séance, rattrapé par des crampes. D’habitude quand j’en ai c’est dans les mollets, ce soir ce fut dans les pieds. Une crampe dans la voûte plantaire c’est marrant, ça crispe les orteils en position redressée. Donc il ne m’a pas été possible de terminer comme prévu par des longueurs en battements-planche. Envisager cet exercice pour la fin de séance c’est la procrastination assurée. Et la progression alors ?
  • 3200 mètres le mardi 25 juin (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Deux nageurs hors norme dans la ligne d'eau dans laquelle je me suis immergé. Un bon, déjà c’est pas banal, et un extra-aquestre.
    Je m’en voulais presque de m’immiscer dans leur environnement, mais la ligne était identifiée « nageurs moyens ». J’ai jamais été autant doublé, j’ai passé mon temps contre les cordes à bouées, mon aile droite en est toute éraflée.
    Et quelle chance de pouvoir contempler ces mammifères d’eau chlorée évoluer dans leur élément !
  • 1500 mètres le dimanche 23 juin (de 14h15 à 14h45) à Plan d'eau du Canada - Triathlon M de Beauvais au plan d’eau du Canada. Site idéal pour organiser une telle épreuve. Une pelouse immense borde le plan d’eau et accueillait le parc à vélo ainsi que les tentes des organiseurs, partenaires, secours, le podium et l’aire d’arrivée.
    Bon gadouilleuse la pelouse pas facile de sprinter la dessus. Oui parce qu’il a un tout petit peu plu la semaine dernière et aujourd’hui aussi. Pour les Parisiens, pendant le vélo ça m’a rappelé Paris lundi dernier, ou bien les douches à Hermant, en moins chaud et dont on ne peut s’échapper, douche obligatoire. Un temps pour Les mouettes de Paris à ne pas pouvoir accéder au bassin de Georges Hermant sèches.
    Comme à Troyes au début du mois je suis bien content de ma performance globale, voire même un peu plus.
    Dans le lac d’Orient près de Troyes j’avais sorti la cagoule néoprène que j’avais chérie ce jour-là. Aujourd’hui lors du briefing on ne nous à pas donné la température de l’eau, dans le doute, je l’ai renfilée, j’étais le seul équipé ainsi, équipement superflu puisqu’elle était bonne.
    Un seul passage de bouée lors de la natation ce qui fait qu’à part les premières minutes chahutées la nage fut confortable. On a eu une ondée précurseuse de ce qui nous attendait. Dans l’eau ça ne change pas beaucoup des éclaboussures alentours, surtout avec la cagoule le bonnet et la myopie.
    Chrono natation : 27 min 35 s, si les 1500 m y sont, ça me va.
    Et ce soir en me connectant au site j’apprécie encore plus la chance que j’ai eu de concourir.
  • 2200 mètres le samedi 22 juin (de 11h45 à 13h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Séance histoire de et non pas histoire d’eau. Donc juste histoire de dire que j’ai nagé. Je ne voulais pas entamer mon capital énergétique ou ma fraîcheur musculaire.
    Seuls les cinq cents premiers mètres furent vigoureux, ensuite j’ai ondoyé.
    Car demain je tripatouille et j’aurais bien besoin d’un peu de force et de tonus.
  • 3200 mètres le samedi 15 juin (de 08h30 à 10h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - En selle direction Rouvet.
    Arrivé rue de Crimée, je dois céder la priorité à un véhicule, je pose pied à terre et je tergiverse. Mon regard est attiré par la perspective qu’offre la rue côté ascendant, et mes jambes sont attirées par la perspective d’une séance plus sportive dans un bassin de 50 m.
    Donc changement de programme, direction Hermant où je me suis imposé une cadence élevée.
    Lucide malgré les efforts fournis, j’ai compris pourquoi Les mouettes de Paris ne se sont pas lavées, ne se lavent pas, avant d’accéder au bassin. C’est par conscience écologique. Car il faut dire qu’à Hermant appuyer sur le bouton pressoir d’une douche c’est un peu comme ouvrir les vannes du barrage des Trois Gorges. Donc bravo, j’applaudis des 2 nageoires.
  • 3400 mètres le mercredi 12 juin (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Le contenu de mes séances a tendance à se stabiliser. En gros comme ce soir 1 km nage libre suivi d’1 km pull-buoy élastique puis 1 km pull-buoy. Ce à quoi je viens d’ajouter quelques battements avec planche.
    Ma précédente habitude, c’était l’insertion de quelques longueurs de dos, notamment pour le plaisir des ondulations dorsales.
    J’ai eu d’autres périodes avec par exemple plus d’éducatifs, ou des cadences de respiration variées.
    En tout cas, il y a tellement de possibilités, c’est sympa, bien loin de l’idée de certains non nageurs pour qui 3 km à la piscine c’est cent vingt, cent vingt ! longueurs, toutes pareilles, la tête sous l’eau sans paysage.
  • 3100 mètres le samedi 8 juin (de 14h00 à 15h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - J’avais affaire du côté de la porte de Vincennes, donc j’ai emmené mon nécessaire à natation pensant aller à Roger Le Gall.
    Je me suis inquiété en apercevant le velum relevé. Avant de prendre une entrée j’ai demandé à aller voir le bassin, sans surprise un élevage intensif de mélanomes. J’ai donc fait demi-tour et me suis replié sur Hermant dont j’avais vu le velum baissé en passant plus tôt dans la matinée.
    Là, petite déception car le bassin était en configuration 2 x 25m pour faire de la place au water-polo. Il y avait bien quelques familles et pataugeurs côté public, mais aussi des nageurs motivés, pour s’exercer, pas par la marque du maillot. Je ne regrette pas ma stratégie du repli sur Hermant.
    En fin de séance je me suis lancé pour un 500 m en battements-planche, ce que je ne fais jamais. Lamentable, moins vite, non, plus lentement que la pépée qui faisait de même tranquillement. J’ai du pain sur la planche.
  • 2650 mètres le dimanche 2 juin (de 11h00 à 12h00) à Lac de la Forêt d'Orient - Après un samedi duathlon devant la télé, Roland-Garros plus finale du TOP 14, un dimanche triathlon dans et à proximité du Lac d’Orient près de Troyes.
    Eau limpide, mais à 13 °C, frisquet. Le parcours natation est maintenu, ouf, mais annoncé raccourci, dommage. Finalement ça va, quelques 2600 m au lieu des 3000 m attendus .
    Je suis content que la distance ne soit que rognée, car le parcours était prévu en 2 boucles de 1500 m et la facilité pour l’organisateur aurait été de ne nous en faire nager qu’une seule. Content car l’équilibre entre les trois disciplines est maintenu, mais inquiet tout de même, ça ne va pas être évident ce bain glacé. Quand je nage en Bretagne avec ma combinaison dans une eau autour de 18 °C, j’ai du mal à y rester une heure sereinement. Alors là, j’ai quand même psychoté avant le départ.
    Et puis on est parti, ceux qui étaient venus. Il y a eu beaucoup de non venants, donc de non partants face à la température annoncée, alors que c’est la course, déjà, pour avoir un dossard plus de six mois avant l’épreuve.
    Beaucoup de contacts avec les cétacés alentours jusqu’à la première bouée, puis j’ai réussi à m’écarter du bouillon. Une courte houle s’est levée quand on a gagné le large, je l’ai bien négociée je crois. Retour vers la plage sans histoire, quelques foulées, et il a fallu y retourner et là je dois avouer qu’il fallait être motivé.
    Ma deuxième boucle fut marquée par une sensation de froid là ou je ne m’y attendais pas. Je craignais pour la tête, c’est les pieds qui ont soufferts. J’ai fini relativement à l’aise, première victoire, il ne m’en restait plus que deux à obtenir derrière.
    Par contre j’ai ressenti un contrecoup lors de la transition, tétanisé, j’ai eu du mal à me changer. Il m’a fallu ensuite 20km de vélo pour me réchauffer et retrouver une certaine lucidité.
    Je termine l’ensemble quelque part dans le ventre mou du classement, je ne sais même pas où, mais sur ce qui ressemble pour moi à trois victoires.
  • 2200 mètres le samedi 1 juin (de 09h45 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Ce fut tranquillou pour le volume et le rythme de nage, bien moins niveau stress. Je me suis posé pas mal de questions, non, presque toutes, en rapport avec mon crawl.
    Sur cette séance je saurais quoi répondre au topic « À quoi pensez-vous quand vous nagez ? » : aujourd’hui j’ai beaucoup cogité à propos de demain.
    Car demain c'est jour de triathlon L, soit trois kilomètres de nage, plus ce qui suit.

 

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