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glycine, 54 ans, homme, Paris

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Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Novembre 2015 : (28350 m)
  • 3200 mètres le vendredi 27 novembre (de 19h00 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Bonnes sensations en dos, aisance, dynamisme, pas du tout corroborées par le chrono.
    Je ne sais sur quelle évaluation rester. L'auto ou la guimbarde ?
  • 3100 mètres le mercredi 25 novembre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - C’est devenu shaky quand une horde de sauvages a envahi la ligne d'eau d’à côté et c’est là que les lignes brise-vagues ont manqué.
    Ayant un bobo j’avais un pansement, eh bien malgré ces remous et surtout mes nombreux coups de bras énergiques, je l’ai toujours. Une performance quand on sait que c’est le déchet classique de fond de bassin.
  • 3200 mètres le dimanche 22 novembre (de 11h00 à 12h45) à Piscine Rouvet (Paris) - Évidemment je suis allé à Hermant. Y’avait du monde et ça nageait vite. Les huit couloirs de nage étaient attribués aux nageurs rapides… y’avait compétition.
    J’ai regardé un petit peu, j’ai vu les séries, notamment des 50 m papillon. C’est bien organisé, ça enchaîne : une fois leur série finie, les jeunes restent dans l’eau sous le plot et attendent - pas longtemps - le départ de la série suivante avant de sortir du bassin.
    Je me suis rabattu sur Rouvet légèrement inquiet des reports potentiels tel que le mien, y’avait pas de quoi. Contraste saisissant mais pas étonnant arrivé là-bas : les vitesses de nage. Particulièrement un gars que j’ai trouvé appliqué mais lent, épouvantablement lent vu que je sais que je nous nous valons.
  • 3100 mètres le jeudi 19 novembre (de 11h45 à 13h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Hermant c'est bien parce que le bassin fait 50 m sur huit couloirs de nage et que quand le mur est à moitié levé comme à midi, qu'il n'y a plus que quatre couloirs de 50 m, c'est bien aussi.
    Hermant c'est bien parce que le bassin est découvert l'été, et pour peu qu'il y ait une météo de novembre, alors c'est mieux que bien.
    Hermant c'est bien aussi pour bien d'autres raisons, notamment celle du jour : il y a deux vestiaires distincts et grâce à ça - et au bon vouloir de l'UCPA - le créneau du midi c'est de 11 h 30 ouverture des portes à 13 h 30 évacuation du bassin, une demi-heure de plus que dans bien des piscines. À 13 h 30 il y a un vestiaire déshabillage qui accueille les écoliers pendant que dans l'autre c'est séchage après le bain et la douche.
    Bien, mais tout ça ne dit pas si j'ai bien nagé.
  • 3000 mètres le vendredi 13 novembre (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Complètement aphone le coco.
    Alors pas question de pérorer sous la douche ni de jacasser en bout de ligne, comme d'hab quoi !
  • 3200 mètres le mercredi 11 novembre (de 10h15 à 12h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Mes 500 m de dos-crawlé plus ou moins habituels sont devenus plus de 500 m dans l'intention de compenser les cinq cents premiers mètres qui ne les faisaient pas, car il m'a fallu plusieurs fois ventre-crawler pour me faufiler dans le trafic. Oui, il y avait un petit peu trop de monde.
    Eh les gens ! les gens qui veulent se bouger, par une journée pareille, un petit jogging, du vélo, c'est sympa aussi. Je laisserais bien ma place de temps en temps, mais je ne peux pas. Courir, pédaler, ça me fait mal au bassin, tandis que ça me fait mal à rien quand je patauge dans un bassin.
  • 3000 mètres le samedi 7 novembre (de 11h30 à 13h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - J'en étais à 50 min 31 s à la pause des 2,5 km. Pas bon ça. Je sentais bien que le carburateur était encrassé mais une séance - hors battements seuls - sous les 3 km/h, j'ai pas souvenir. Alors j'ai attrapé mon pull-buoy pour travailler ma technique de bras. Mais non ! j'ai appelé mon pull-buoy à la rescousse pour sauver les meubles.
    Total : 59 min 23 s, désastre évité.
  • 3350 mètres le jeudi 5 novembre (de 19h45 à 21h15) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - Je me suis fait vacciner contre la grippe cet après-midi. Au-delà du fait que c'est extrêmement douloureux et que je ne peux absolument plus bouger le bras, je me demande si on m'a injecté le bon produit. Je crois qu'y a eu erreur, que j'ai été vacciné contre la rage et que ça fait déjà effet, car ce soir je n'avais pas la rage de vaincre dans le bassin. Pas grave, je n'ai pas forcément besoin de me battre pour avancer.
  • 3200 mètres le mardi 3 novembre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Ça secouait faute de lignes brise-vagues. Évidemment c'est quand elles n'y sont pas qu'on se rend compte de leur efficacité. Ça m'a contrarié ces conditions dégradées, j'me suis habitué à mon petit confort, puis j'ai relativisé, les conditions n'étant objectivement que légèrement dégradées.

 

Octobre 2015 : (42200 m)
  • 3000 mètres le samedi 31 octobre (de 10h45 à 12h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Atelier sardines pour les jeunes clubbers qui se sont serrés dans deux lignes alors que trois leur étaient réservées.
    C'était très agréable pour nous autres en atelier y'a du bulot.
  • 3200 mètres le samedi 24 octobre (de 10h45 à 12h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Séance piscine juste après la séance aviron, ça faisait longtemps que je n’avais pas enchaîné.
    L’aviron tel que je le pratique c’est pas très violent, je suis plus proche d’une allure de sabordage que de l’allure d’abordage. Mais bon, cette activité a quand même entamé mon capital fraîcheur, il a fallu que je puise dans mon capital avarié pour l’activité natation. Pas autant que les jeunes d’à côté, les dayclubbers, leur coach les a gâtés, c’était la fièvre du samedi matin, il leur avait concocté un programme de malade.
  • 3400 mètres le vendredi 23 octobre (de 10h00 à 12h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Je nage parfois un peu le papillon. C'est quand j'ai le temps, de la place et la gnaque. C'est aussi en fin de séance et c'est laborieux, mais bon, avec trois kilomètres dans les bras ça peut s'expliquer. Ce matin j'avais le temps, beaucoup de place et je n'ai pas attendu de savoir si j'avais la gnaque. Je me suis lancé après quelques crawlées de mise en bras pour deux-trois longueurs de pap.
    Conclusion ? J'aurais préféré raconter pour trois-quatre longueurs.
  • 3300 mètres le mardi 20 octobre (de 19h00 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Pas très en jambes, je le savais avant de nager, le retour du bureau à vélo ayant été pénible. Pas très en bras non plus, je l'ai su en crawlant.
    Inflexible, j'ai enchaîné deux kilomètres non-stop pour me punir d'avoir, je l'avoue, envisagé de morceler la séance.
  • 3000 mètres le dimanche 18 octobre (de 10h00 à 12h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Pas la forme plus un mal à la gorge qui rendait désagréable le fait de ventiler et je crois pas que l'eau de piscine soit préconisée pour les gargarismes.
    J'ai été contraint de fragmenter la séance : des 500 m puis des encore moins, mais quand même des 100 m au minimum pour les exercices effortivores.
  • 3300 mètres le vendredi 16 octobre (de 17h00 à 19h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Parti pour un échauffement 500 m crawl que j'ai prolongé jusqu'à 1,5 km pour cause de voisin de ligne d'eau avec qui on s'est gentiment tirés la bourre. À la fin de cet échauffement j'étais chaud, très chaud, cramé. Après comme j'ai continué sur un programme post-échauffement et non récupération, j'ai coincé. J'ai les fibres contractiles élastiques qui sont devenues trop contractées et pas assez élastiques.
  • 3200 mètres le mercredi 14 octobre (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Y'a un truc qu'allait pas. J'ai eu la sensation que l'eau était trop chaude, ce qu'elle n'était peut-être pas, car il se pourrait que je couve quelque chose.
    Cot cot cot codec ! Y'aurait eu une poule à la piscine ce soir. Ça reste du conditionnel, je me vois mal en poule mouillée vu que je n'ai pas peur de l'eau.
  • 3400 mètres le mardi 13 octobre (de 11h30 à 13h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Le mur était levé dans sa totalité et séparait le bassin en deux. Fin du miracle après trente-deux séances et 106 km dans des lignes de 50 m.
    Dommage car normalement le bassin devait être partagé en quatre lignes de 50 m, quatre de 25 m et une zone non lignée, configuration formidable - oui j'aime assez quand c'est comme ça. Il Paraît que c'était à cause d'un problème technique. Bon ça ira pour cette fois, mais y'a intérêt à trouver une solution, priorité absolue, faut mobiliser toutes les ressources disponibles plus les indisponibles pour faire tomber ce mur de la honte.
  • 3700 mètres le dimanche 11 octobre (de 09h45 à 12h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Un peu de battements seuls au programme, pull-buoy en mains, donc sur le dos. J'ai bien essayé sur le ventre, mais quand je sors la tête pour prendre de l'air j'appuie sur le pull-buoy, il s'enfonce et me freine, alors que j'avance déjà à peine, pas question !
    Je me traîne tellement en battements que ça me fait marrer quand je rentre dans quelqu'un qui se meut, moins vite qu'un veau de mer, dans le même sens que moi. Le seul truc rassurant c'est que j'avais délaissé la ligne d'eau « nageurs confirmés » pour cet exercice quand ça m'est arrivé.
  • 3200 mètres le vendredi 9 octobre (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - J’ai mis des ondulations à chaque demi-tour sur le kilomètre et demi du début, trois mouvements après chaque poussée sur le mur.
    J’ai le réflexe de fermer les yeux quand je pousse sur le mur, chose que je n’ai pas en faisant de même sur le dos. C’est peut-être parce que cette poussée s’apparente un peu au plongeon. L’apprentissage a commencé par m’efforcer à garder les yeux ouverts pour gérer la profondeur des ondulations. Faut être bien immergé sur les premières pour que le mouvement caudal se fasse sur un appui aqueux. Cependant il ne faut pas trop l’être sur la dernière pour ne pas avoir à aller chercher la surface en catastrophe et transformer la vitesse horizontale stratosphérique acquise grâce aux premières ondulations en remontée de plongée en eaux profondes.
    J’ai fait bosser les paupières, la natation c’est vraiment complet.
  • 3300 mètres le mardi 6 octobre (de 19h00 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Trente-sept euros l'entrée et pourtant ce n'est pas cher.
    Première fois que je prends un abonnement, après quatre-vingt-quinze séances cette année, dont au moins soixante-quinze à Paris, il était temps.
    J'ai été parmi les trop nombreux présents de la ligne d'eau « nageurs confirmés ». Mais à part moi, les nageurs confirmés étaient aux abonnés absents.
  • 3100 mètres le vendredi 2 octobre (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - À peine perturbé par un nageur parasite dans la ligne d'eau « nageurs confirmés ». Vu son style et ses gestes, j'aurais plutôt dit boxeur confirmé. Je l'imaginerais plus à son aise dans une salle à cogner sur un sac plutôt qu'à se bagarrer avec l'eau, la tête rentrée dans les épaules. Fallait prendre large pour le doubler sans risquer le KO par uppercut, heureusement y'avait la place.
  • 3100 mètres le jeudi 1 octobre (de 19h00 à 20h30) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - 2600 m bien dynamiques dans la ligne d'eau « crawl » avant d'être réorienté vers les lignes du tout neageant pour faire de la place aux clubs.
    Un constat, que des hommes dans la ligne « crawl » pendant trois quarts d'heure. À côté dans la ligne matos j'ai pas détaillé, mais je me demande s'il n'y avait pas que des palmées et aucun palmé. On croit nager dans la mixité, sauf que les garçons font travailler les épaules, attribut masculin, tandis que les filles féminisent leurs courbes. On nage en plein cliché.

 

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