La page de glycine

glycine, 54 ans, homme, Paris

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mai 2024

avril 2024

Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).

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Séances

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Novembre 2018 : (49250 m)

• 3500 mètres le jeudi 29 novembre (de 18h45 à 20h45) à Piscine Jacqueline Auriol (Paris) - Dépassements permanents au programme ce soir nécessaires pour m'extraire du train traînant. Ces dépassements des autres n'ont pas nécessité de dépassement de moi, ça va de soi.
• 3400 mètres le mercredi 28 novembre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Rigal (Paris) - Bah qui c'est qu'a bougé les lignes de fond ? Je rappelle qu'elles ne sont pas là pour faire joli, mais pour servir de guide aux nageurs.
Bah c'est pas au fond que ça ce passe, c'est en surface qu'est l'astuce, les lignes brise-vagues sont resserrées, histoire de caser quatre couloirs de nage là où il en est normalement prévu trois. Pas pratique pour doubler, or je ne fais quasiment que ça.
• 3400 mètres le lundi 26 novembre (de 19h30 à 21h00) à Piscine des Amiraux (Paris) - Ça fait quelques lundis que je suis tenté par les Amiraux. Eh bien voilà, je me suis soumis à la tentation ou, selon la nouvelle version, je me suis laissé entrer en tentation.
• 3900 mètres le dimanche 25 novembre (de 16h00 à 17h45) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Huit couloirs de nage.
Deux pour le nawak, deux pour les quatre nages, un pour le crawl, un pour les cours quand y'en a et deux pour les personnes équipées de prothèses, souvent la gent féminine. Pas forcément les femmes munies de prothèses mammaires, mais celles chaussées de palmes.
C'est trop à mon gout. Trop de quoi ? de fortes poitrines ? Tss tss, trop de couloirs « Matériel ».
• 3400 mètres le mercredi 21 novembre (de 19h30 à 21h00) à Piscine Mathis (Paris) - Encore moins de monde que les précédentes fois. Appréciable pour nager, inquiétant quant à la pérennité de cette nocturne.
• 3600 mètres le dimanche 18 novembre (de 11h30 à 13h30) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Pas de pression chronométrique ce matin. J'avais prêté ma montre à gousset à mon fils pour l'aider dans sa gestion de l'effort dans son combat contre le temps pour son premier semi-marathon. Aidé de cet instrument, il s'est déchaîné et a brillamment atteint son objectif, à savoir battre mon meilleur temps sur la distance en 2004, Moi j'ai apprécié sa performance ainsi que nager sans chaîne.
• 3400 mètres le samedi 17 novembre (de 16h15 à 18h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - On peut bien nager à Vallerey le week-end, à ne pas confondre avec ça nage bien à Vallerey, une autre considération que je ne me permettrais pas d'émettre étant juge et partie.
• 3500 mètres le jeudi 15 novembre (de 19h30 à 21h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - J'ai eu confirmation que ma séance d'hier avait été exigeante. J'en ai tout de suite ressenti les séquelles au niveau des bras puis par la suite lors des dépassements compliqués, mais j'ai fait le boulot.
• 3600 mètres le mercredi 14 novembre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Mathis (Paris) - Décidément mes séances à Mathis sont studieuses.
En gros deux thèmes de bossés ce soir. D'abord culbute plus ondulations à chaque virage sur plus d'un kilomètre, avec pour conséquence une mise en hypoxie que j'ai cherché à solutionner en gardant un rythme de respiration tous les trois coups de bras. Ensuite une phase de travail de l'allonge et de réduction du nombre de coups de bras.
Faudrait pas que j'aille trop souvent à Mathis nager à ce rythme, je risquerais de progresser.
• 3600 mètres le dimanche 11 novembre (de 15h30 à 17h15) à Piscine Bernard Lafay (Paris) - Balade à vélo pour me rendre à Bernard Lafay en ce jour de nuit permanente pour cause de nuages sombres qui obstruent la lumière céleste et arrosent novembre d'une humidité de saison.
A l'abri sous ma cape, je n'ai pas été gêné par cette pluie automnale qui fait du bien aux sols et qui participe de l'intérêt de vivre sous des latitudes ou les conditions climatiques varient au cours de l'année. Par contre, j'ai négligé mon sac et mon abonnement, lui, n'a pas aimé. Le code-barre n'est plus lisible par les tourniquets et je vais devoir, pendant les deux mois de validité qui lui restent, passer par la case caisse. C'est embêtant même si je pense ne pas avoir à trop subir les queues aux caisses, vue la saison.
• 3400 mètres le samedi 10 novembre (de 17h00 à 18h30) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Beaucoup de brasse ce soir et le constat que je suis amplement au-delà des deux minutes les 100 m. Po po po, ça va pas c't'affaire.
• 3450 mètres le mardi 6 novembre (de 20h15 à 21h45) à Piscine Catherine Lagatu ex Parmentier (Paris) - Programme du soir annulé à la dernière minute, alors hop, fissa direction Catherine Lagatu. Un peu d'influx laissé en route, mais encore assez de peps pour nager jusqu'à la dernière minute.
• 3600 mètres le dimanche 4 novembre (de 16h00 à 18h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Deux week-ends de suite à Georges Vallerey le samedi et le dimanche à des horaires et sur des distances comparables. Je m'installe dans une routine et je pensais même avant de vérifier qu'il s'agissait du troisième week-end consécutif de ce type. Qui sait si le week-end prochain je concrétiserai ces rencontres du troisième type ? Pas moi, j'ai pas vu le film.
• 3500 mètres le samedi 3 novembre (de 16h30 à 18h15) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - J'ai passé les 500 km annuels, mon record de l'année dernière. Ça c'est fait simplement, sans une larme, sans émotion, sans me retourner sur l'œuvre accomplie. Si je me suis retourné, c'est seulement pour quelques longueurs de dos-crawlé.

Octobre 2018 : (48900 m)

• 3250 mètres le mercredi 31 octobre (de 19h00 à 20h30) à Piscine Mathis (Paris) - Un peu travaillé les ondulations.
C'est à Mathis que je fais ça. J'avais trouvé une fois le lieu, plus précisément sa fréquentation, propice à la pratique de l'ondul ventrale après culbute et ç'avait pas été de la tarte.
Cette séance m'a marqué. Quand je retourne à Mathis, comme fréquemment la fréquentation y est faible, je repense à la séance spéciale ondulations, je remets ça et c'est pas du gâteau.
• 3450 mètres le dimanche 28 octobre (de 15h45 à 17h30) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Pour alimenter le débat du week-end autour des bienfaits ou méfaits du changement d'heure – qui a peut-être fait son temps –, voici mon cas personnel :
Ce week-end a duré quarante-neuf heures, une heure de plus pour au choix :
- prendre mon temps ;
- apprendre pourquoi on en est arrivé à ce système du changement d'heure ;
- m'éprendre d'une horlogère ;
- reprendre une dose de sport chronométré ?
Ne pas rayer les mentions qui auraient pu être utiles, j'ai opté pour la quatrième solution, ce qui fait au total quatre fois dans le week-end avec cette séance. Ce changement d'heure, c'est sacrément fatiguant.
• 3400 mètres le samedi 27 octobre (de 16h15 à 18h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Signe du bienfait que m'a apporté cette séance, sur le parvis à la sortie j'ai eu envie de sauter comme un cabri pour rejoindre mon véli', pardon mon vélo. C'est juste resté une envie bien entendu puisque je n'ai pas la souplesse ni le dynamisme du chevreau, que porte des Lilas c'est le mouton lourdaud qui a été privilégié pour la mise en place d'un éco-pâturage et que 3,4 km de natation dans les jambes ça calme, surtout les bras, mais bon quand même.
• 3700 mètres le jeudi 25 octobre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - 500 m intensifs. Ce moment sportif confirme que je me sporte bien.
• 3700 mètres le mardi 23 octobre (de 19h00 à 20h45) à Piscine René et André Mourlon (Paris) - « Ça va ? » qu'on me demande à mon retour. Je manifeste une certaine lassitude.
« Ah bon pourquoi ? » Ben après 3,7 km sur un rythme enlevé, sauf à la fin, suivis de trois quarts d'heure de vélo pour rentrer, le ventre dans les talons et n'étant plus un jeunot, c'est bien légitime je crois.
• 3300 mètres le dimanche 21 octobre (de 16h30 à 17h45) à Piscine Jacqueline Auriol (Paris) - Bernard Lafay ça l'a pas fait – wouarf ! Fermeture inopinée pour cause de pollution humaine, encore un signe inquiétant sur le devenir de notre planète.
Direction Beaujon et comme hier un peu juste en temps pour caser mon programme.
• 3200 mètres le samedi 20 octobre (de 16h30 à 17h45) à Piscine Rouvet (Paris) - Georges Vallerey fermée pour cause de compète – info non relayée sur parispaspratique.fr –, direction Rouvet ouverte, grande ouverte même, car l'entrée était libre.
• 3600 mètres le mercredi 17 octobre (de 19h00 à 20h45) à Piscine Emile Anthoine (Paris) - 3100 m de trois nages plus 500 m de papillon, par petits bouts de 50 m, mais tout de même.
Ambiance tamisée en deuxième partie de séance avec le seul éclairage subaquatique. Ça plaît. Je le sais grâce au papillon puisque je m'arrête entre chaque série – longtemps – et que deux autres intermittents de la natation en ont profité pour me le confier.
• 3500 mètres le dimanche 14 octobre (de 15h30 à 17h15) à Piscine Château des Rentiers (Paris) - Vu de chez moi dans le XIXe, aller à Château des Rentiers c'est appeler à la comparaison avec Dunois sa voisine, car elles comptent parmi les piscines de Paris les plus proches l'une de l'autre et sont toutes deux semi-enterrées et de gabarits comparables.
Verdict : Château des Rentiers vainqueur la main affleurant l'eau, puisque pas grâce à sa valeur intrinsèque, mais à cause de la glauquitude de Dunois.
• 3500 mètres le samedi 13 octobre (de 20h30 à 22h00) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Tip-top pour le dow-crawlé. D'abord à seulement trois ou quatre par couloir de nage, pour une nage aveugle, c'est plutôt pratique ensuite faute de repère au plafond, une bâche blanche pareille à un long nuage, je me suis lové contre les lignes de séparation qui se sont avérées d'agréables guides. Ce ne sont pas des lignes brise-vagues rigides et rugueuses ni des cordelettes distendues avec des bouchons espacés, mais des câbles avec bouchons joints contre lesquels il est commode de s'appuyer.
• 3700 mètres le jeudi 11 octobre (de 19h30 à 21h15) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Ça fait du bien de renager dans une piscine sportive, même surfréquentée, après quelques brassées dans des piscines de quartier. Rien que d'arriver au bord d'un grand bassin presqu'entièrement ligné brise-vagues avec dans les lignes d'eau Les mouettes de Paris de Georges Hermant qui envoient, ça donne envie de s'employer. Et puis ça faisait un bail que je n'avais pas été titillé par un compagnon de ligne à semer ou à suivre, ce qui fut plusieurs fois le cas ce soir, par des compagnons hommes et femmes.
• 3800 mètres le mardi 9 octobre (de 17h00 à 18h45) à Piscine de Pontoise (Paris) - Premier jogging depuis quatre ans hier, copieux en plus. Je suis fracassé et les douleurs n'ont pas attendu les courbatures attendues du lendemain. J'ai mal dormi, j'ai les genoux en vrac et je clopine sur mes jambes de grabataire.
Donc séance détente et relaxation dans un bel endroit, tranquille, un petit 3,8 km sans pousser sur le mur aux demi-tours, trop douloureux.
• 3200 mètres le dimanche 7 octobre (de 11h15 à 13h00) à Piscine Didot (Paris) - Un seul MNS comme à la piscine du Ministère de la Défense l'autre jour, mais inhabituel en piscine publique – réglementaire ?
Chaud pour le MNS d'assurer la surveillance seul, pas le droit à la moindre pause.
Chaud aussi pour les nageurs cuits à l'étouffée dans une eau à l'affichage n'osait pas dire combien. Ça j'en ai fait des pauses moi pour pallier au manque d'air.
• 3600 mètres le mercredi 3 octobre (de 19h30 à 21h30) à Piscine Pailleron (Paris) - Piscine la plus proche de chez moi que d'habitude je boude malgré ses horaires élargis à cause de son inadéquation avec la pratique sportive et de sa tarification.
Là pour une fois je n'ai pas boudé mon plaisir de la proximité et de l'esthétique du lieu, car pour le reste, la natation, j'ai été conforté dans mon avis concernant Pailleron.