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glycine, 54 ans, homme, Paris

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Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (182.7 km), Piscine Hébert (Paris) (40.7 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (25.8 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (7 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Novembre 2014 : (48050 m)
  • 3300 mètres le dimanche 30 novembre (de 11h15 à 13h00) à Piscine de Nanterre - Voilà, joie, j’ai bouclé mon tour des piscines publiques avec bassin de 50 m intra-A86. N’importe quoi, pourquoi pas toutes les piscines bordant la RN7 !
    Bon, maintenant il me faut une nouvelle motivation, je vais faire pareil pour les 33,33 m. Non, je rigole, c’est déjà fait ! Facile, sans le vouloir, y’en a sept dont six à Paris plus celle de Pantin pas loin de chez moi où je suis donc déjà allé en voisin.
    J’ai de nouveau constaté un phénomène dans ce bassin de 50m que j’avais observé dans les autres bassins de ce format, soit la grosse proportion de palmipèdes parmi les nageurs. Et je tique. J’ai un peu la flemme de m’expliquer, mais en gros il est dommage de ne pas profiter de la taille du bassin en le raccourcissant artificiellement avec l’usage d’appendices.
    Trois lignes d'eau identifiées, une « nage loisir » et deux « nage sportive ». Nage sportive c’est ambigu je trouve, nage loisir aussi. On peut être un mauvais nageur et avoir une démarche, pardon dénage, sportive et réciproquement. Pour ce matin, je qualifierais les nages pratiquées dans les lignes de sportives du dimanche, mais je ne crois pas que j’y retournerai un samedi pour vérifier si c’est comme ça tous les jours.
  • 3100 mètres le samedi 29 novembre (de 09h15 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Ça fait plusieurs samedis que j’ai identifié un nageur particulier à Rouvet. Pour cause il est plus rapide que moi.
    Mais ce n’est pas tout, son style est peu académique, on dirait un poisson mécanique pour baignoire qui se remonte grâce à une molette et dont les nageoires gigotent à toute vitesse. Lui c’est pareil, ses mouvements de bras sont si frénétiques qu’il n’a pas le temps de les tendre, ni de les projeter vers l’avant, il fait des petits cercles coudes cassés et beaucoup de remous. Il avance bien, mais son swolf doit être pourri, moins bon que le mien, nah !
    Supportant mal l’idée d’être doublé par un batteur électrique, j’ai nagé le dos-crawlé tout le temps où nous avons partagé la même ligne d'eau, ça me faisait moins mal d’être doublé en dos plutôt que lorsque je m’applique en crawl.
    Bon ben après ce laïus, il va falloir que j’oublie Rouvet un certain temps.
  • 3750 mètres le vendredi 28 novembre (de 20h30 à 21h45) à Piscine Champerret (Paris) - Pas venu depuis mars 2011 à l’époque où j’enfilais toutes les parisiennes, les piscines parisiennes.
    Passé en caisse à 20 h 25 j’ai craint de ne pouvoir boucler trois kilomètres, mon minimum syndical, alors en passant devant le bac à matériel j’ai chopé un pull-buoy, je l’ai coincé entre mes cuisses que j’ai serrées comme un étau pour qu’il ne s’échappe pas et pfiou, j’ai filé avec pour objectif d’accumuler le plus de longueurs possible avant l’évacuation, évacuation qui ne venant pas j’ai fini par zieuter mon chrono, cinquante-sept minutes et quelques, donc c’est qu’il était déjà plus de 21 h 30 et puisque ça c’est jamais vu un MNS qui rate l’heure de fermeture, c’est que Champerret est une bonne adresse où l'on évacue un quart d’heure avant ladite fermeture, alors j’ai décidé que pour moi ça irait une heure d’affilée avec pourquoi pas un peu de rab après, tout ça sans arrêt, donc en une seule phrase.
    Résultat : cent quarante longueurs, 3,5 km, en à peine une heure, 17 min 09 s au kilo. Mon record étant de 17 min 43 s au kilo sur un kilo à fond, ça booste le pull-buoy !
  • 3000 mètres le dimanche 23 novembre (de 12h00 à 13h30) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - Un conseil pour une visite de Paris insolite.
    Pas besoin de guide, il suffit d’aller à la piscine le dimanche. Je l’ai fait ce matin, quel beau dimanche, quelle belle ville. Neuf piscines, cinq arrondissements, ça fait un sacré périple. Rouvet, Mathis, Hébert, Amiraux, Drigny, Valeyre, Château Landon, Lagatu, toutes rideau baissé, grille fermée ou porte close pour cause de mouvement social.
    La neuvième piscine de ce périple fut donc Nakache, la dixième aurait été Vallerey, pas de panique au besoin j’en aurais tenté d’autres.
    Nakache carrément surchargée. Même pas grave, après quelques échecs j’étais juste content de trouver une piscine ouverte. Et il se trouve que ça c’est très bien passé côté natation.
    Mouv’ment social, j’perds pas mon sang-froid
    Mouv’ment social, mouv’ment social, mouv’ment social…
  • 3300 mètres le samedi 22 novembre (de 10h00 à 11h45) à Piscine Rouvet (Paris) - Du crawl pendant deux kilomètres pour commencer malgré une épaule pas bien réveillée. Elle a été réticente à l’effort, mais pas question de m’arrêter pour demander à mon épaule droite pourquoi elle s’était levée du bras gauche.
    Quand je suis passé à la version pull-buoy j’ai tenté une longueur en apnée. Quelle idée ! ça l’a pas fait. Sur 25 m ça le fait. Là une bonne partie des 8 m 33 cm qu’y a en plus sont de trop.
  • 3500 mètres le jeudi 20 novembre (de 19h30 à 21h15) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Pas fais gaffe à l’heure précise de mon arrivée. Mais j’ai eu la sensation d’avoir été rapidement viré de la ligne d'eau « crawl » pour céder la place aux clubs. Au quatrième bonnet Paris Aquatique, plif, plaf, plouf, plof, il était 20 h 00 et je n’avais pas beaucoup profité du confort de cette ligne crawl-only, bof.
    Passé dans la ligne « 4 nages », ce fut aussi nageable. On y a cohabité entre crawleurs, dos-crawleurs, brasseurs – belges ? –, un papillonneur – français, moi – et c’est tout, donc pas de poulpe pénible à inventer de x-ième nage, ouf.
  • 3850 mètres le mardi 18 novembre (de 17h00 à 19h00) à Piscine Paul Valeyre (Paris) - Bassin entièrement ligné avec une seule ligne d'eau attribuée, aux nageurs rapides. C’te blague, je n’ai pas vu le début du commencement d’un nageur rapide. Forcément puisque je ne me suis pas vu nager, Valeyre n’étant pas équipée pour.
    Ça a beau être souvent le bordel dans les lignes, y’a peu de piscines qui, tel le lupanar, sont dotées de miroirs profonds décorant les chambres.
  • 3100 mètres le dimanche 16 novembre (de 11h15 à 13h00) à Piscine de Nogent-sur-Marne - Nouveauté aujourd’hui avec un déplacement au-delà du bois de Vincennes, mon terrain de sport dominical habituel pour faire du vélo, à la découverte de la piscine de Nogent-sur-Marne. Piscine du réseau Vert Marine, elle est a priori la plus chère, sept euros cinquante, des nombreuses piscines franciliennes, cinquante-trois , où je suis allé nager.
    Quoi de mieux qu’une journée automnale pour découvrir un bassin en plein air ? Une journée hivernale peut-être, en tout cas ça m’a vraiment plu de nager en extérieur.
    Une particularité je trouve ici, ce sont les deux lignes d'eau réservées à la nage avec matériel qui étaient copieusement garnies. Avec une bonne occupation de l’espace, certains nageant en surface d’autres en profondeur où, munis de palmes à la voilure démesurée, ils faisaient le spectacle.
    Autre particularité, parmi les palmipèdes se trouvait une nageuse topless. Ce ne sont pas ses seins nus que j’ai d’abord remarqués en la croisant, car je me suis dit « il a un maillot drôlement échancré celui-là ». Ce n’est qu’après quelques croisements que j’ai compris ma méprise et que je me suis dit « elle est gonflée celle-là ». Pas au niveau de la poitrine, sinon je m’aurais pas trompé dans mon premier jugement.
  • 3800 mètres le samedi 15 novembre (de 09h00 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Rouvet en émoi ce matin, douches froides annoncées en caisse.
    Et moi, et moi, et moi ?
    Une grande pensée pour les appels-rappels à la propreté lus ici émanant notamment de Photographebordeaux, suivie d’une grande respiration et brrrrrrr ! je frotte ici, je frotte là, hop, hop, record battu sur le segment douche.
    On laisse beaucoup d’influx sur un record. C’est pas facile d’enchaîner après ça et pourtant il le fallait ne serait-ce que pour me réchauffer, donc j’ai nagé vigoureusement.
    Alors que j’achevais ma séance par quelques longueurs en dilettante j’ai remarqué deux gars qui, se mettant à l’eau, la trouvaient fraîche. Tiens, tiens, ça voulait peut-être dire intervention effectuée. J’ai vite eu la confirmation qu’un intervenant était intervenu et qu’il avait retrouvé le bouton eau chaude. La douche était carrément brûlante, il s’en est fallu de peu que je ne batte mon tout récent record.
  • 3800 mètres le mardi 11 novembre (de 09h30 à 11h30) à Piscine Rouvet (Paris) - Réjouissant. Ce jour férié fut bien mieux qu’un dimanche.
    Déjà, les piscines étaient quasi toutes ouvertes à Paris, ça nous change ! Et puis, au moins à Rouvet, on a pas été gênés par les cours ni l’aquagym. Alors je me suis servi un repas copieux. 3800 m avec dans le désordre par rapport au déroulé de la séance, en ordre décroissant de distance :
    Du crawl, du dos-crawlé, du crawl avec pull-buoy – respiration tous les cinq temps s’il vous plaît –, des battements-planche et du papillon. Le papillon en dernier sur la liste, donc pas beaucoup, seulement deux longueurs, mais deux longueurs de suite quand même.
    Menu trois nages et ses variations digéré facilement je suis rentré à la maison pour un déjeuner consistant histoire de faire aussi un peu de gras.
  • 3400 mètres le dimanche 9 novembre (de 10h00 à 11h45) à Piscine des Amiraux (Paris) - Et de quatre séances dans la semaine. Faut dire que je ne cours ni ne pédale plus. La faute à une hanche qui couine. Enfin, j’ai quand même enfourché un Vélib pour aller à la piscine et j’ai dû pédaler plus que de raison.
    Parti de chez moi – vu l’état de mes articulations je ne découche pas, pas plus qu’avant, mais au moins j’ai une escuze – je suis allé à Rouvet. C’est pas loin, mais tous ensemble, tous ensemble ! ouais ! c’était fermé.
    Je me suis alors dirigé vers Mathis, pareil, avec un non-usager qui faisait connaître son mécontentement à un tous-ensemble à travers la vitre.
    Puis ma balade a continué du côté d’Hébert, grille fermée, tous absents.
    J’ai persévéré vers les Amiraux, tous présents ! Ben alors, et le tous ensemble ?
    Les Amiraux, charmant petit brin de piscine que je préfère largement à Drigny et Valeyre qui auraient été mes tentatives suivantes. Un peu limité pour nager avec deux lignes d'eau tirées dont une réservée à un cours. Une naïade y apprenait le crawl. Le MNS peut-être désespéré ou plus sûrement au fait de l’adage « un bon exemple vaut mieux que n’importe quel discours » a fait observer à son élève un crawleur a priori pas trop enclume de la ligne d’à côté, pom pom pom pom pom.
  • 3200 mètres le samedi 8 novembre (de 10h15 à 12h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Ça fait beaucoup 1 h 45 pour 3,2 km. J’ai pris mon temps.
    Avant le bain, pour observer une nageuse depuis les coursives. Joli, sans e, joli son crawl. Allez, j’avoue, joli aussi le reste.
    Pendant le bain, avec une fois n’est pas coutume plusieurs arrêts en bout de ligne, zen. Euh zen les pauses, parce qu’entre les pauses je me démène.
    Après le bain, hum, délicieuse la douche.
  • 3600 mètres le jeudi 6 novembre (de 19h30 à 21h15) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Quatrième fois de suite à Vallerey, ce qui n’est pas banal car normalement pour moi c’est une piscine d’appoint. Pas sûr qu’il y ait une cinquième fois.
    Un problème ce soir ? Non. C’était pas aussi chouette que les trois précédentes fois qui avaient tenu du miracle, mais correct tout de même.
    Simplement le week-end arrive et j’espère que ma piscine de quartier adorée sera ouverte contrairement à samedi dernier. Suspense, car elle était – et nageurs.com annonce qu’elle est toujours – fermée pour un problème de chauffage.
  • 3350 mètres le mardi 4 novembre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Au niveau de la zone de déchaussage c’était beaucoup moins attirant que la semaine dernière. Y’avait un type dans une position acrobatique, allongé sur le banc les jambes en l’air afin de – bjjjjjjjjjj – faire sécher ses petons sous le séchoir.
    « Mais mes pieds sont propres ! » qu’il me dit suite à ma réprobation, non mais j’vous jure ! Bon ça c’est pour l’anecdote, c’est plutôt à la vue du bassin que j’ai été inquiet à cause du cocktail aquagym plus clubs plus mur aux 25 m.
    Malgré ce cocktail détonnant ce fut bien. Nous n’étions pas si nombreux que ça et puis décidément cette ligne d'eau « crawl » où, rien que de plus normal, il n’y a que des crawleurs, ça a du bon. J’ai casé 3,150 km en 58 min dans cette ligne, vu mes références c’est que ça circulait bien.
    Un peu de papillon en plus à la fin, c’est que y’a encore de la sève dans le Glycine.

 

Octobre 2014 : (27525 m)
  • 3300 mètres le jeudi 30 octobre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - Trois kilomètres d’une traite, sur un bon tempo, dans des circonstances proches de celles de mardi. Soit une faible affluence avec pour ce soir en bonus le bassin en configuration 50 m contre 37,5 m mardi. Ça fait donc deux fois de suite cette semaine que Vallerey est sous-employée en soirée. Je dis sous-employée en m’imaginant à la place de Carilis, moi ça m’allait très bien.
    Pour finir, quelques longueurs dans une des lignes d'eau « 4 nages » encore plus désertée que la ligne « crawl » en mode décontracté-décousu. Que si j’avais une montre qui identifie les nages qu’elle aurait été perdue. C’est alors que j’ai salué Oleum suffoquant agrippé à une ligne de séparation. Il terminait sa séance par du plus lourd que moi, quelques longueurs de papillon.
  • 3375 mètres le mardi 28 octobre (de 19h15 à 21h00) à Piscine Georges Vallerey (Paris) - 3375 m, c’est pas parce que je suis rentré d’un côté du bassin puis sorti de l’autre, c’est quatre-vingt-dix longueurs dans la configuration 37,5 m.
    Je ne sais si c’est la réouverture toute récente ou les vacances, mais y’avait pas grand monde, une aubaine. Vu ces conditions j’ai fait du dos-crawlé, mais y’a un truc qu’y n’a pas été évident, c’est les fanions : y’en avait mais pas disposés à la même distance du mur des deux côtés. Alors il m’est arrivé de me retourner trop tôt, pas grave, et de me cogner, aïe aïe aïe !
  • 3700 mètres le dimanche 26 octobre (de 15h45 à 17h30) à Piscine Mathis (Paris) - Dimanche après-midi, beaucoup de jeunes dans l’eau.
    Ceux-ci profitaient du bassin ludique pendant que j’étais dans l’eau d’à côté, avec les adultes plus ou moins vieux, pour profiter de l’autre bassin. Autre bassin que je ne peux nommer bassin sportif, faut pas pousser mémé dans les orties.
    Séance variée avec notamment du papillon. J’ai changé ma façon de le nager. Jusqu’alors je le nageais comme si j’avais vingt ans de moins, bizarrement au-delà de 25 m ça ne passait plus. Là je me suis résolu à ralentir la fréquence et accentuer l’ondulation. Le fait de le nager comme un vieux m’a permis de tenir quelques longueurs.
    Dimanche, jour des pépés nageurs.
  • 3350 mètres le mardi 21 octobre (de 09h30 à 11h15) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - La question du topic « 25 ou 50 mètres ? » c’est presque de la provocation. Enfin pour moi cette question ne se pose pas. Je donne quand même ma réponse pour éviter toute ambiguïté, c’est 100/2 m que je préfère. Mais bon, je compose bien sûr. Je nage souvent en 100/3 m limité et parfois en 100/4 m étriqué.
    Ce matin, en route pour un petit quart d’hectomètre sur seulement cinq couloirs de nage, je me suis dit que ce serait l’occasion de refaire un peu plus de dos-crawlé que dernièrement. Car une des joies du dos-crawlé, c’est les ondulations dorsales, le demi-tour en bout de ligne devenant une phase plaisante. Et bon pour le coup, ce n’est pas gênant que ce demi-tour reviennent plus souvent. Donc préparation mentale au poil, pensée positive.
    Là-dessus j’arrive au bord du bassin et que vois-je dans la ligne d'eau pour nageurs rapides ? quasi personne dont une personne qui entame une série par une magnifique coulée ondulée retournée. Pile poil ce que j’avais à l’esprit, en mieux même.
    Super ! que des ondes positives, je me suis mis à l’eau content comme tout, et j’ai nagé… en crawl.
  • 3500 mètres le samedi 18 octobre (de 10h00 à 11h45) à Piscine Rouvet (Paris) - Un monsieur m’a demandé conseil.
    C’était pendant ma série battements-planche. Sa question m’a embarrassé sachant que je me trouve mauvais dans cet exercice. J’ai marmonné deux-trois trucs du style évitez les éclaboussures, persévérez. En clair, j’ai été mauvais, et distant en plus car je suis vite reparti.
    Vite ? pas tant que ça mais tout de même – c’est clair ? J’ai alors pris conscience de mes progrès dans les séries jambes seules.
    Question suivante ?
  • 3000 mètres le mercredi 15 octobre (de 19h15 à 21h00) à Piscine du Palais des sports de l'Île de Puteaux - Il se trouve que je suis allé à Puteaux, une première, parce que j’en avais envie.
    Avant dimanche dernier mon envie se limitait au projet d’y aller un de ces jours. Or dimanche je suis passé par hasard sur le pont de Puteaux, c’est à ce moment là que l’envie est devenue pressante. Normalement une envie pressante ça se règle au fond du couloir à gauche, pas à la piscine en sifflotant l’air de rien. De même il ne faut pas confondre glisser dans la piscine et pisser dans la glycine.
    Et hop ! coming out de mon pseudo.
    Comme à mon habitude pour une première, j’ai fait au moins un petit plouf dans chaque bassin. Le bassin extérieur, dans lequel j’ai fait un grand plouf, est assez étrange. Il fait en même temps bassin ludique et olympique. Le rectangle de 50 m de long partage ses eaux avec une excroissance arrondie avec remous et jets massants.
    Pour nager, les conditions furent de correctes à excellentes, appréciable surtout quand on sait ce que c’est dans les pédiluves parisiens les soirs de semaine. J’ai quand même regretté qu’il ne pleuve pas comme me l’avait laissé entendre la météo ce matin. Les lignes d’eau auraient dès le début connu le niveau de fréquentation qu’elles avaient à la fin et puis c’est amusant de nager quand il pleut comme vache qui pisse.
  • 4000 mètres le samedi 11 octobre (de 19h45 à 21h30) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Quand je suis arrivé, sur les trois lignes d'eau installées, deux étaient réservées à un club et pourtant… pourtant on était qu’une poignée dans la troisième ligne.
    Pourtant Le Gall est toujours en configuration plein air.
    Pourtant il ne pleuvait pas et il faisait doux pour un début octobre.
    Pourtant ce soir Le Gall était le seul bassin de 50 m ouvert sur Paris, peut-être même la banlieue, voire la France entière.
    C’est que notre époque qui laisse beaucoup de place à la pratique du sport, réserve le samedi soir à d’autres pratiques. Tant mieux pour moi et pour les quelques autres qui étaient là. J’en ai bien profité, je me suis fait plaisir, je me sentais bien. C’est mon corps qui a souhaité arrêter, parce que la tête était prête à continuer. Je ne lui en veux pas à mon corps, je l’avais déjà sollicité ce matin pour un peu de sport.
  • 3300 mètres le samedi 4 octobre (de 09h15 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Décidément ça se passe bien à Rouvet le samedi matin à la deuxième heure. C’est quand ça la deuxième heure ?
    La piscine ouvre à la première heure, 07 h 00, et j’imagine qu’elle se remplit gentiment pendant la première heure. Les lève-tôt enchaînent les longueurs, ils ne se sont quand même pas mis une grande claque dans la gueule pour quitter leurs lits douillets juste pour faire trempette. Puis autour de 09 h 00, deux heures après l’ouverture, s’opère le changement de service, c’est la deuxième heure : les levés ni tôt ni tard débarquent quand les levés de bonne heure rembarquent. Ça se bouscule sous la douche, mais bonheur, pas dans le bassin.
    Je suis content et pourtant samedi prochain je ne pourrai pas y aller à la même heure, j’irai à pas d’heure, faut savoir prendre son temps. Ah et aussi j’ai nagé un peu plus d’une heure, je vous épargne les minutes.

 

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