La page de glycine

glycine, 54 ans, homme, Paris

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avril 2024


mars 2024


Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (178.8 km), Piscine Hébert (Paris) (48 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (11.1 km), Piscine Alfred Nakache (Paris) (10.5 km), Piscine de Pontoise (Paris) (7.4 km), Piscine des Amiraux (Paris) (7 km), Piscine Les Bains des Docks (Le Havre) (6.9 km), Centre Aqualudique Orléans l'O (3.8 km), Aquastade Val d'Essonne (Mennecy) (3.8 km), Piscine Yvonne Godard (Paris) (3.7 km), Piscine Mathis (Paris) (3.6 km), Piscine Paul Valeyre (Paris) (3.6 km), Piscine Roger Le Gall (Paris) (3.6 km), Centre Nautique de Bourg-Saint-Maurice (3.5 km), Le Lagon (Tignes) (3.1 km).


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Séances

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Juin 2012 : (11700 m)
  • 3000 mètres le mardi 26 juin (de 11h00 à 13h15) à Piscine Jean Bron (Grenoble) - J’avais déjà fréquenté cette piscine pas banale en juin 2011 avec ma fille et un neveu, cette année c’était avec mon fils et ce même neveu. Annoncée comme une « piscine municipale » à l’entrée, on est plus près de l’espace aquatique. Cette piscine découverte située en plein cœur de Grenoble se décline en quatre bassins : un sportif de 25 m avec plongeoirs, tribunes et lignes d’eau ; un bassin d’initiation ; une belle pataugeoire ; et un énorme bassin qui m’avait paru presque aussi large que long l’année dernière avec deux couloirs pour nager. J’y avais nagé à un rythme record selon mon chrono, et pour cause puisqu’en sortant j’avais découvert que ce magnifique bassin de 50 m avait pour dimensions 46,10 m x 30 m.
    Cette année pour compenser ma désillusion passée j’ai nagé soixante-six longueurs pour assurer les trois kilomètres.
    En matinée, très cool à deux ou trois par ligne avec une hausse de la fréquentation à l’heure de la pause déjeuner, comme je les comprends ! Les après-midi de beau temps, ça doit être un peu la faune.
  • 2200 mètres le dimanche 24 juin (de 12h45 à 14h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Tout juste descendue la rue David d’Angers et descendu de vélo, mon beau-frère m’attendait avec mes affaires. L’enchaînement a été délicat. Mine de rien le vélo ne fait pas que mal aux jambes, mais congestionne aussi les épaules quand on adopte une position aérodynamique qui amène un surplus de poids sur les bras. Mais tout de même, mon kilomètre chronométré en vingt minutes m’a déçu. J’espérais valoir mieux même en descendant de vélo.
    J’ai vu un petit couple mignon tout plein. Ils avaient la cinquantaine et installés sur le muret à l’extrémité du bassin ils comptaient le nombre de nageurs par ligne d'eau (en gros quatre ou cinq par ligne), et portèrent leur choix sur la ligne la moins fréquentée, la mienne, celle pour nageurs rapides : « Regarde le monsieur [moi] s’en va. » Concernant les panneaux de répartition des lignes, je pense vu leur attitude qu’ils ne les ont même pas remarqués.
  • 1500 mètres le dimanche 17 juin (de 14h00 à 14h30) à Piscine municipale de Fay-aux-Loges - Triathlon Brin d’Amour, en forêt d’Orléans dans et autour de l’étang de la Vallée.
    Content de refaire un triathlon presque un an après mon précédent.
    Format Courte Distance (théoriquement 1500 m dans l’eau, 40 km à vélo, et 10 km de course à pied, ici 1500-38-12 annoncés). Je suis globalement satisfait. La partie natation comportait deux boucles avec une sortie à l’australienne (une sortie sur la berge de quelques mètres entre les deux boucles). L’eau était à 18,6 °C, idéal pour nager en combinaison. Je n’ai malheureusement pas pensé à prendre le temps intermédiaire entre les deux tours pour savoir sur lequel j’avais été le plus performant. Évidemment le départ a été un peu chaotique, tel la ligne d'eau réservée au crawl à Berlioux, puis ça s’est décanté, je me serais parfois cru à Rouvet. À l’approche de l’arrivée je me suis retrouvé dans un paquet, on devait être quatre ou cinq à se tamponner, ma famille m’attendant sur la berge j’ai voulu faire l’effort pour m’extraire de ce bouillon, j’ai donné des jambes et bing mon mollet s’est contracté, heureusement qu’il ne restait qu’une poignée de coudées avant la sortie de l’eau. Après, il m’a été très pénible d’enlever la combinaison, tellement j’avais, plus que le mollet, les deux jambes tétanisées. Une fois en selle et après quelques coups de pédales, les douleurs ont disparu. Bilan chronométrique pour la partie natation 28 min 27 s à ma montre et 2 h 25 min au total.
    Mon fiston a fait le format Découverte dans la matinée et il a eu du mal en natation et à vélo, alors qu’il s’est bien débrouillé en course à pied. Autant nager correctement ne s’improvise pas, autant je croyais cela possible pour le vélo (sur 8 km). Il n’a pas – encore ? – le profil du triathlète.
  • 2500 mètres le dimanche 10 juin (de 14h30 à 16h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - C’est pas pour copier sur Nudistefélin, mais moi aussi j’ai oublié mon maillot. Un grand moment de solitude dans la cabine, où pourtant j’étais bien entendu déjà seul. Je n’ai aucune excuse, juste une explication : j’ai dans mon placard où je range mes affaires de sport deux petites pochettes de couleur. Une avec un nécessaire de toilette que je mets dans mon sac de sport quand je vais courir au boulot, une autre avec le même nécessaire plus un maillot un bonnet et des lunettes pour le sac de piscine. Et, erreur, j’ai emmené la pochette rose au lieu de la verte. Rose ou vert, je ne parle pas politique, mais je suis allé voter après, peut-être me suis-je trompé là aussi.
    J’ai été bon pour un aller-retour express à la maison, dommage, car bien qu’étant seul dans ma cabine, j’étais accompagné de mon beau-frère. J’ai ensuite enchaîné 2,5 km comme prévu. C’est légèrement moins que mon tarif habituel, mais j’avais pédalé 65 km dans la matinée. J’ai quand même eu du mal à aller au bout, turlupiné que j’étais par les crampes. Habituellement avoir des crampes m’agace, car je m’estime en assez bonne forme pour ne pas en avoir. Là pour le coup, ça ne m’a pas dérangé, j’en connaissais l’origine, même si j’étais au bord de la noyade.
    À ce propos, alors que j’attendais mon beau-frère à l’entrée de la piscine sur un tabouret de la zone cafétéria, j’ai vu une femme en perdition, sans que je puisse réagir, une vitre nous séparant. Au moment ou j’allais taper sur la vitre pour donner l’alerte, un enfant qui avait des bouées et une planche l’a « sauvée » en lui donnant sa planche.
  • 2500 mètres le dimanche 3 juin (de 11h15 à 12h45) à Piscine Mathis (Paris) - Avec mon fils de seize ans, sa deuxième séance sportive de l’année, alors que nous avons un triathlon dans quinze jours. Ce sera son premier, un format « Découverte » pour lui : 250 m de nage, 7,5 km de vélo et 2 km de course à pied. Il n’est pas nageur et on a testé sa capacité à nager dix longueurs de crawl de suite. Il en ressort trop essoufflé, il lui faudra alterner brasse et crawl le jour de l’épreuve. Moi, j’enchaînerai crawl et crawl, un peu comme aujourd’hui, les éducatifs et le pull-buoy en moins. J’ai fait moins que mes 3 km syndicaux, car je savais mon fils sous la douche depuis un bon bout de temps et je ne voulais pas qu’il vide les nappes phréatiques.

 

Mai 2012 : (19950 m)
  • 1600 mètres le mardi 29 mai (de 15h45 à 16h30) à Piscine municipale de Saint-Valéry-en-Caux - troisième séance de mon week-end sur la Côte d’Albatre, à Veulettes-sur-Mer. Dans la brume, le week-end touchant à sa fin, il n’y avait pas un chat sur la plage. J’ai de nouveau nagé à contre temps avec un retour face au vent et une houle plus marquée qu’à Saint-Valery.
  • 2700 mètres le lundi 28 mai (de 10h00 à 11h45) à Les Bains Dieppe - Dimanche, en balade à vélo, j’ai abordé Dieppe depuis l’esplanade du château qui surplombe la ville et la côte. Je n’y ai vu qu’une chose : une belle piscine découverte. Ça a fait tilt, je me suis souvenu qu’un nageur.comien postait régulièrement des séances à la piscine des Bains. Je l’ai donc mise à mon programme de lundi.
    Beau bassin de 50 m en plein air, au bon goût d’eau de mer. La fréquentation était un peu trop estampillée « beau temps un jour férié ». Un nageur vraiment impressionnant dans ma ligne d'eau, limite déprimant tellement il était constant dans la rapidité, les pipelettes de la pause T n’en revenaient pas. J’ai aussi fait trempette dans les bassins ludiques, le jacuzzi, le toboggan, la totale.
  • 1500 mètres le dimanche 27 mai (de 17h15 à 17h45) à Piscine municipale de Saint-Valéry-en-Caux - N'arrivant pas à indiquer qu'il s'agit d'une séance en mer, j'ai mis la piscine du patelin.
    Parti depuis la digue en bois vers l’est, je me suis éloigné de la ville. C’était marée haute, belle sensation que d’apercevoir les immenses falaises lors des respirations. J’ai bataillé au retour contre le vent et la houle.
    Je ne sais pas trop à combien pouvait être l’eau, mais j’étais bien dans ma combinaison et content de l’avoir. Une fois ma nage terminée, trois baigneurs, un père et ses ados, m’ont étonnés, car ils sont restés un bon quart d’heure à papoter et nageouiller sur place. C’était des durs, car plus tard deux jeunes ont bravé les flots en caleçon en faisant bien comprendre à leurs amis restés sur les galets qu’ils étaient des hommes.
  • 3000 mètres le samedi 26 mai (de 09h30 à 11h15) à Piscine Jean Taris (Paris) - J'avais une course à faire au Vieux Camper, donc direction Taris. Un habitué, la cinquantaine, a croisé des connaissances sous les douches. Il leur a parlé des mouvements de grève matinaux qui devraient s'amplifier : blablabla blablabla, « nous faire ça à deux mois de Londres ! », héhé.
  • 2150 mètres le mardi 22 mai (de 12h15 à 13h30) à Piscine Georges Drigny (Paris) - Aujourd’hui j’ai testé la pause déjeuner dans l’eau. Autant j’habite un quartier riche en piscines (le XIXe arrondissement), autant je travaille dans un quartier pauvre en piscines (le VIIIe arrondissement). J’ai choisi d’aller à Drigny après avoir bien pris soin de téléphoner pour connaître non pas l’heure de fermeture, mais l’heure d’évacuation du bassin : « 13 h 30, monsieur ». Je suis parti du bureau à midi avec en tête le timing de ma séance : 12 h 15 arrivée à la piscine, 12 h 30-13 h 30 bain objectif trois kilomètres, 13 h 45 sandwich, 14 h et quelques retour au boulot.
    À 12 h 30 premier contretemps, pas chronométrique, je suis dans l’eau, mais pour le moral, l’eau bouillonne de mollusques. Tant pis, je participe au bouillonnement du bassin et enchaîne tant bien que mal les longueurs. Parmi les nombreuses contrariétés du crawl dans ces conditions il y a le devoir de regarder en permanence devant soit. Ça tord le cou, creuse le dos et enfonce le bassin, bref c’est inconfortable et techniquement régressant. Vers 13 h 00 il y a du mieux, je sens l’éclaircie, les lignes d'eau deviennent clairsemées, je peux mettre de l’horizontalité dans ma nage. Au bout de deux kilomètres, je regarde l’heure : 13 h 10, parfait je vais pouvoir faire mes trois kilomètres. J’en viens même à me dire qu’avec un peu de patience ce créneau horaire est chouette. Pas étonné je justifie cela par le fait que tout le monde ne choisit pas son heure de pause et qu’il faut bien retourner marner. 13 h 13 un coup de planche sur la tête du MNS en bout de ligne me ramène à la réalité : « C’est fini monsieur. »
  • 3000 mètres le samedi 12 mai (de 08h15 à 10h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Trois couloirs de nage etpas trop de monde même si un couple âgé trouvait que nous étions plus nombreux que ce à quoi ils étaient habitués. Puis deux couloirs ont été réquisitionnés en même temps. Un pour un cours, l'autre apparemment pour un club. Le club en question c'était une toute jeune fille qui barbotait. Un nageur – le seul bon du bassin – s'est plaint, en vain. De mon côté séance lambda, j'ai déroulé. Et décidément, Rouvet me plaît.
  • 3000 mètres le dimanche 6 mai (de 15h45 à 17h45) à Piscine Rouvet (Paris) - J’y suis allé avec mon fils, première fois pour lui dans cette piscine. Avant de partir, je lui avait annoncé que nous allions dans une des plus anciennes piscine de Paris, pas enthousiaste le jeune. Bon pour lui c’est moins fun que Pailleron, mais elle lui a bien plu tout de même, notamment la température des douches et les cabines-casiers.
    Rouvet n’est pas Berlioux, mais j’ai failli m’empaler sur mon fils, qui peu habitué à fréquenter les lignes d'eau suivait la ligne de fond, donc le milieu de la ligne, pendant une longueur en crawl.
    À noter que je crois que jusqu’ici je n’avais mis que du vert pour mes séances à Rouvet.
  • 3000 mètres le mercredi 2 mai (de 18h45 à 20h30) à Piscine Georges Rigal (Paris) - Bassin plutôt chargé, mais lignes d'eau attribuées et respectées. Au-delà de ça, ma ligne (pour crawleurs et dossistes) était bien fréquentée, c'est-à-dire homogène autour de 3 km/h, sans lièvre ni tortue. Ben oui les rapides – les plus rapides que moi – sont gênants aussi. C’était nageable même pendant l’aquagym qui malheureusement n’a pas lieu dans le petit bassin.
    Je n’ai pas été très économe en abusant de la douche qui était délicieuse, je dois dire que si j’avais été chez moi j’aurais pensé à la facture et abrégé ce plaisir. En cette période électorale voici mon programme et ma proposition : tout comme les sèche-cheveux – que je n’utilise pas – payants, je suis pour les douches payantes ou à tout le moins minutées.

 

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