Piscine Les Thermes à Strassen (Luxembourg)

S’il y a une piscine que je veux aller voir au Luxembourg depuis son ouverture en 2012, c’est bien Les Thermes à Strassen. Certes, le nom même m’en avait jusqu’ici dissuadé: le lieu n’a pas été pensé en premier lieu pour la pratique d’une natation sportive; plutôt que d’une piscine, il s’agit bien en fait de bains. Mais on a évité le nom: sans doute n’a-t-on pas voulu rappeler les miséreux bains-douches de nos grand-pères, issus du paternalisme social d’un âge révolu.  Dans cette banlieue à la fois rurale et commerçante de la capitale luxembourgeoise, service public et industrie du life-style ont plutôt produit un lieu hybride, entre installation d’éducation sportive scolaire et centre de bien-être. Le projet est en effet communal. Bertrange et de Strassen se sont syndiquées pour pouvoir offrir à leur population scolaire grandissante une piscine sur leur propre territoire. Mais, l’ambition a porté bien au-delà: Comme le dit le bourgmestre de Strassen dans une interview à la presse donnée à l’occasion de l’inauguration du complexe, on a cherché l’extraordinaire:

Bassin de 25 mètres donc, comme il est de rigueur dans de nombreuses piscines communales, petit bassin d’apprentissage en plus, tour de plongeon, tout y est dans les dimensions réduites mais amplement suffisantes pour initier les jeunes aux plaisirs de l’eau. Et pour rendre ces agréments de l’eau attractifs à des gens à la recherche d’un court moment de vacances entre boulot et dodo, il y a les très étendus espaces bien-être:  Au beau milieu d’une bambouseraie partiellement sous verre, on peut ainsi se faire balancer par les vagues artificielles qui déferlent sur la pente douce d’une plage en aluminium, tandis que hammams, bains turcs et autres saunas font se télescoper le climat tropical de l’intérieur avec celui, bien plus tempéré, de l’extérieur.

Et probablement, même la nudité édénique qui est de rigueur dans tout l’espace sauna, ensemble avec le cadre verdoyant contribuent au dépaysement au beau milieu de cette zone industrielle dans laquelle le complexe est installé.

Nager à Istanbul – Suada club

J’ai profité d’un bref séjour à Istanbul pour aller plonger mes nageoires dans de la véritable eau du Bosphore…  Enfin, pas l’eau libre à laquelle on peut pourtant goûter aussi lors de la traversée du Bosphore à la nage, qui, en 2012 avait eu lieu le 15 juillet (le fameux Bosphorus cross-continental: http://www.bosphorus.cc  – un rêve ).

Mais l’eau du détroit, une fois filtrée et traitée, alimente la piscine du SuAda Club, (littéralement SuAda veut dire « île d’eau ») une petite île située à la hauteur de Kuruçesme, quartier résidentiel sur le Bosphore en amont du vieux centre-ville d’Istanbul.

Le trajet à lui seul vaut la peine: En bateau on longe les plus beaux palais des sultans et des hauts dignitaires de l’ancien empire ottoman. Une fois passé sous les arches impressionnantes du premier pont qui traverse le Bosphore, on  accoste sur un quai à côté des yachts luxueux des résidents de ce quartier plutôt cossu. C’est étonnemment vert, si l’on pense au fait que l’on est dans une ville de plus de 15 millions d’habitants, à une vingtaine de minutes seulement du centre-ville. J’y vais le matin et l’atmosphère en ce jour d’été est décidément vacancière: beau soleil, températures agréables autour de 25°.

 

Un petit ferry fait le trajet entre la rive et l’île, qui est entièrement occupée par la piscine, des bars et plusieurs restaurants. C’est un haut lieu de la vie nocturne stambouliote, mais en matinée il n’y a que quelques nageurs qui s’y retrouvent. Pour des étrangers comme moi, c’est cher – 35 Euros l’entrée – mais je vois que les autres entrent sans passer par la caisse. L’île est en fait une propriété privée et appartient au club sportif Galatasaray, qui n’est pas seulement l’un des plus grands clubs de foot de la ville, mais qui offre également, et entre autres, des activités dans de nombreuses disciplines aquatiques (aviron, voile, waterpolo etc). La piscine sur l’île a toujours été le lieu d’entraînement du club et l’entrée y est gratuite pour les membres.

Ceux à qui je parle font partie de ces turcs cosmopolites, plurilingues et plutôt aisés qui font l’essentiel de la population des quartiers stambouliotes plus périphériques et dont le style de vie occidentalisé contraste si fortement avec celui des habitants de la vielle-ville. Curieusement, et contrastant encore en cela avec la vieille ville, c’est un monde qui reste assez fermé envers les touristes ou les personnes de passage comme moi: Ici on est entre autochtones, c’est sûr.

Cela vaut pour la majorité des piscines de la ville, qui sont aujourd’hui au nombre d’une bonne douzaine. Si la municipalité a beaucoup investi dans le développement de ses infrastructures sportives depuis les années 2000, celles-ci sont cependant presque toujours associatives et n’ouvrent leurs portes qu’exceptionnellement à un public occasionnel. Un coup de téléphone par un intermédiaire qui parle turc peut cependant parfois arranger bien des choses. (Pour ceux qui souhaiteraient nager à Istanbul, je recommande le site de l’administration des sports de la municipalité d’Istanbul: http://www.sporas.com.tr . Bilingue, français-turc, il recense toutes les infrastructures sportives dans une liste que l’on peut filterer par discipline)

Pour revenir au SuAda, c’est un pur lieu de rève, où l’on pourrait aisément passer une journée entière de détente et de sport: Pas besoin d’apporter grand chose en tout cas: Avec le ticket d’entrée on reçoit le drap de bain, dans les vestiaires en sous-sol, communs et non mixtes, des casiers à codes vous attendent pour mettre vos affaires, et du savon est mis à disposition dans les cabines de douche. C’est propre, mais aussi peu fréquenté en cette matinée de jour ouvrable où j’y vais. Tout est en bois de pin, les casiers et les cabines de douche en une espèce de résine blanche, tout comme le mobilier d’ailleurs.

Puis, en remontant, le voilà: Un grand bassin de 50 mètres, dont les 6 couloirs ne sont pas séparés par des lignes coupe-vagues, mais où l’on peut pourtant, en choisissant bien l’horaire, aligner les longueurs sans déranger personne.

Comme c’est de l’eau de mer, donc salée, la flottaison est bien meilleure que dans les piscines habituelles, ce qui augmente pas mal la sensation de glisse et probablement aussi la vitesse, bien que je ne l’aie pas contrôlée (il n’y a pas d’horloge). Le goût de l’eau peut paraître un peu étrange au début, mais on s’y habitue, bien que l’on se sente un peu comme un poisson mariné après une petite heure de natation … Autour du bassin, sont disposés transats, des parasols, des fauteuils, des tables basses, le tout d’un blanc impeccable, avec la carte menu à côté pour qui voudrait siroter un cocktail les pieds dans l’eau. Une sorte de pédiluve, d’une vingtaine de centimètres de profondeur seulement, prolonge d’ailleurs le bassin, où l’on peut se laisser raffraichir par l’eau comme sur une plage. Des douches (froides) permettent de laver le sel de sa peau et de ses cheveux et plus rien n’empêche une petite bronzade…

Depuis la piscine on a une belle vue sur les quartiers de la rive européenne du Bosphore, où l’urbanisation récente a créée un lieu de vie agréable, valonné et plutôt boisé, avec des maisons basses, dépassant rarement trois étages .

Somme toute, je recommanderais à tout nageur qui visiterait Istanbul, malgré le prix élevé, une escale au SuAda Club. C’est un agréable contre-point au programme touristique de la vieille ville, loin du tourisme de masse des croisières maritimes mais néanmoins très caractéristique de cette métropole fascinante sur deux continents. Qui y va pour la traversée du Bosphore, l’année prochaine? 😉

 

PIKO, Rodange

J’ai pensé vous envoyer quelques impressions d’une piscine du sud du Luxembourg: la piscine de la vallée de la Korn (Piko) à Rodange. Rodange est un petit village industriel en plein dans le bassin minier luxembourgeois, à quelques centaines de mêtres de la frontière française seulement. Le jour où j’y vais l’ambiance rappelle les clichés ‘ouvriers’ des quartiers populaires de Paris: c’est un dimanche et dans le café du coin on danse sur un air d’accordéon… Dans la piscine, un public très propulaire également: des tatoués et des durs, (jamais vus en aussi grande concentration – cela me fait sourire, mais sympatiquement) qui déballent le picnic  familial sur le grand pré.

La piscine est une vraie réussite: sous son toit rétractable un grand bassin en inox avec des lignes de 50 m peu fréquentées malgré le beau temps. À gauche une ligne est délimitée pour la pratique sportive. Derrière la rambarde plus à gauche encore et séparé du bassin principal par un petit muret en inox, la partie ‘ludique’ du bassin. Compartimenté dans plusieurs espaces qui communiquent entre eux – ce qui permet de circuler sans sortir de l’eau – il comprend jets d’eau, jacouzi, installations d’aquagym, pataugeoire, etc.

Le meilleur c’est que cette zone récréative se prolonge jusqu’au bar, ou l’on peut siroter son cocktail presque sans sortir de l’eau.

Un grand tobbogan est accessible depuis une tour à côté et aboutit également dans le bassin ludique.

Mais ce qui m’impressionne le plus c’est le toit rétractable: c’est une structure en acier, composée d’une série de coques coulissantes sur des rails encastrés dans le sol et qui s’emboitent les unes dans les autres. Le jour où j’y suis, c’est grand ouvert et on profite pleinement du soleil.

Les jours de beau temps le toit peut ainsi être ouvert en mojns de 7 minutes, et on profite pleinement de la pelouse, du terrain de beach volley, de la buvette à l’extérieur. Seul problème: s’il faut refermer le toit lors d’un orage, il faut évacuer toute la piscine, qui, fermée, ne peut plus accueillir qu’un nombre limité de nageurs. En fait les assurances imposent des consignes de sécurité assez strictes pour des bâtiments fermés quant au nombre maximal de personnes qui peuvent s’y maintenir simultanément. C’est la raison aussi pour laquelle le temps de séjour est limitée si la piscine est couverte: 1h30 pour 3 euros 50. Si le toit est ouvert, on peut y rester aussi longtemps que l’on veut.

Dans le sud du pays c’est sans doute l’une des piscines les plus réussies et elle a suscité une véritable émulation entre les communes avoisinantes, qui ont toutes rénové récemment leurs piscines en plein air datant encore de l’entre-deux-guerres.

Südbad Trier

Pour terminer la saison en beauté, je vous emmène à Trèves, en Allemagne. C’est pas terriblement loin de chez moi (une demi-heure de route), et j’ai des amis qui y habitent (les fainéants! ils ne m’accompagnent jamais pour nager!). En général c’est une ville que j’adore, parce qu’il fait bon y vivre, mais aussi pour ses monuments historiques. C’est la plus ancienne ville d’Allemagne, avec des monuments romains et médiévaux qui, pour leur qualité si ce n’est pour leur nombre, valent ceux de Rome.

La ville possède deux piscines en plein air, le Nordbad (bain du Nord) et le Südbad (vous aurez deviné). La première date des années trente et n’est pas tellement spectaculaire, j’ai fait des photos de la seconde, qui est une installation des années soixante, inscrite sur la liste du patrimoine historique de Trèves (les Allemands sont drôlement scrupuleux pour la conservation du patrimoine du vingtième siècle). Elle est un peu éloignée de la ville et pas forcément facile à trouver. En plus, le jour où j’y étais, il faisait beau, mais avec un froid de canard (l’eau était à peine à 20°). J’ai donc pu faire les photos et nager en toute tranquillité.

Immédiatement après l’entrée se trouve la pateaugeoire pour les petits  (Quand j’arrive, la seule personne dans la piscine est le monsieur que l’on voit sur la photo, en train de nettoyer) avec le bassin d’apprentissage et le grand bassin qui se succèdent. Le cadre est splendide: un paysage vallonné, avec une verdure aménagée dans un certain souci paysagiste et qui vaut amplement le Pré Catalan, à Paris. Les bassins ont été refaits il y a deux, trois ans, et sont entièrement en inox.

À droite du bassin d’apprentissage, un tobbogan trop génial, qui va au ras du sol et traverse un petit jardin de graminées. Dommage qu’il n’aboutit pas dans le bassin d’apprentissage, mais dans un petit bassin à côté (qu’on ne voit pas sur la photo).

Puis, dos à dos avec le bassin d’apprentissage et séparé de celui-ci par la cabine des maîtres nageurs, le grand bassin, 5 lignes à 50 m, ce qui n’est pas franchement beaucoup, mais vu la fréquentation… sublime!

Mais le summum, c’est le bassin de plongée, contigu avec le bassin sportif, avec une tour digne des prochains jeux olympiques. Quelque chose me rappelle Leni Riefenstahl, mais bon, c’est peut-être parce que en Allemagne certains clichés s’imposent….

Sur les plages, tout ce qu’il faut: un terrain de beach-volley, et même des petites cabines, disséminées par-ci, par là, pour ne pas avoir besoin de retourner aux vestiaires à l’entrée (où l’on a des casiers à clef et qui sont impec!)

En sortant je papotte avec le gérant, qui est un peu pris de flemme vu la saison gâchée. Je lui fais part de mon enthousiasme pour le lieu (question de lui remonter un peu le moral), il me dit que la piscine, lors des récentes rénovations a été réduite d’un tiers (environ la surface couverte par les pavements en pierre, autour des bassins). Je la trouve toujours énorme, pour une ville somme toute assez modeste en Allemagne (Trèves n’a pas plus que 100 000 habitants) et d’ailleurs très bien équipée. Il me répond qu’en Allemagne il y a une ‘règle d’or’ qui fixe le nombre de mètres cube d’eau par habitant qu’une ville est sensée mettre à disposition dans ses piscines publiques. Apparemment  Trèves s’y tient très scrupuleusement. À la bonne heure! Je savais que les Allemands étaient exigeants pour leur piscines publiques (c’est un enjeu majeur dans les débats autour de l’équipement urbain), mais de là à donner à chaque habitant quasiment un ‘droit’ à ‘ses’ mètres cubes d’eau! C’est le paradis!

Piscine en plein air, Grevenmacher (Luxembourg)

Toujours en longeant la Moselle, la piscine de Grevenmacher se situe un peu plus au Nord par rapport à celle Remich. On me l’a conseillée pour y nager ‘sportivement’, et c’est encore une révélation. Les bassins présentent la configuration typique des piscines en plein air des années soixante, avec un grand bassin de 50 m (6 lignes, dont deux balisées et réservées à une pratique un tantinet plus intense), un petit bassin d’initiation (avec tobbogan) et le poste de surveillance des maîtres nageurs qui donne sur les deux à la fois. En outre il y a tout ce qu’il faut: un plongeoir, un petit bassin ludique, des douches et des cabines impec, un grand pré garni de quelques arbres épars pour prendre son bain de soleil…

Surtout j’adore le solarium qu’ils ont aménagé sur le toit du resto: on a une vue magnifique sur la Moselle, avec les grosses péniches qui attendent pour passer l’écluse, un peu en amont. (Mais bien sûr, juste au moment où je veux prendre des photos il n’en passe plus une seule….)

L’entrée est un peu chère si on prend le billet à l’unité (quelque-chose autour de 5 euros) mais l’abonnement saisonnier est à 48 euros, comme à Remich. Cela pénalise bien-sûr les touristes qui viennent du camping juste à côté (et je suppose que c’est fait pour), mais pour les résidents, c’est pas mal.

Sinon que faut-il faire quand on vient à Grevenmacher? Vous l’aurez deviné: c’est le siège de l’une des cinq grandes coopératives viticoles du Luxembourg, fondées après la Première Guerre mondiale et regroupées en 1966 au sein de la Vinsmoselle. On y trouve aussi le plus ancien producteur de crémant luxembourgeois: Bernard Massard. Mais je préfère les petits viticulteurs privés d’à côté, à Machtum, par exemple, où en plus, c’est plus joli. (Je vous ai fait une photo, d’ailleurs)

Les maîtres-nageurs sont-ils équipés pour prendre le taux d’alcoolémie quand on nage de travers?

Piscine en plein air, Rémich (Luxembourg)

Voilà ! Aujourd’hui je vous emmène chez moi, à la Moselle luxembourgeoise, pour respirer un peu l’atmosphère de vacances au petit duché. C’est idyllique! répétait à chaque tournant de rue la copine berlinoise qui m’a rendu visite le mois dernier, et pour les Luxos, la Moselle c’est comme la côte pour les Belges ou les plages normandes pour les Parisiens. On y passe ses dimanches en famille, surtout en été.

C’est une région viticole, et c’est une raison amplement suffisante pour y aller, surtout depuis que, ces dix dernièrs années, les vignerons luxembourgeois se sont concentrés de plus en plus sur la production d’un vin de qualité, comparable, pour les types que l’on y cultive, au vins alsaciens (Riesling, Pinot noir et Pinot gris, Gewürtztraminer)!

Mais en été le fleuve, qui fait la frontière entre le Luxembourg et l’Allemagne accueille aussi des activités aquatiques: ski nautique à Ehnen (j’ai tenté de faire une photo), avirons à Schwebsange (c’est l’une des activités que j’ambitionne pour l’année prochaine) Pour les férus de natation, s’il n’est pas vraiment défendu de se baigner dans la Moselle (à l’exception des abords des pontons d’accostement), peu de gens le font cependant du côté luxembourgeois. La grande plupart des gens, s’ils aiment l’eau ‘naturelle’, vont nager aux anciennes gravières du ‘Haff Réimech’ (j’en ferai un autre article, prochainement) où dans une des piscines à l’air libre des environs.

Celle de Rémich date des années soixante et à été entièrement refaite en 2009. Située au pied du côteau et plus ou moins en bordure de la Moselle, elle possède un grand bassin subdivisé en trois espaces communicants, un premier réservé aux nageurs avec 5 lignes de 50 m, un deuxième avec une fosse à plongée, et un troisième qui sert de bassin d’initiation. Un petit bassin ludique (avec des poubelles en forme de grenouilles vertes et d’hippopotames – bleus et roses!) a été rajouté lors des travaux de rénovation. Les horaires sont assez amples (de fin mai jusqu’à début septembre, tous les jours de 10 à 20h), les prix raisonnables (48 Euros l’abonnement saisonnier).

Les photos montrent les environs, vues des hauteurs du ‘Schéierbierg’ (pour ceux qui s’étonneraient de l’orthographie exotique des noms de lieux cités: on parle luxembourgeois au Grand Duché, ce qui est – comme le néerlandais – une langue germanique, avec le français comme première langue étrangère). Le complexe sportif qui abrite la piscine occupe le plein milieu de la photo (il faisait un temps un peu brumeux, mais j’adore le panorama!). Sur le chemin vers la piscine j’ai pris une autre photo d’un gars faisant du ski nautique à Ehnen, puis, à la piscine elle-même, j’ai pris plusieures vues des bassins avec le restaurant qui les surplombe. (Oui, il y a également un restaurant. Au Luxembourg, pas de sortie, même sportive, si elle est en compagnie, sans restaurant.)

N-joy!

Bego