Détail de séance

Détail de la séance de MobyDick du samedi 12 novembre 2011, à la piscine Georges Hermant.

Emportés par l'euphorie de ma séance matinale à Keller, mes pieds mon conduit jusqu'à G Hermant. Sur la porte une affichette qui annonce la fraicheur des douches mais ca encore ca passe, se qui par contre vous reste à travers la gorge, c’est l'accueil toujours aussi glacial.
« Bon, cette fois peut-être qu'avec un sourire j'aurais droit à un retour quand je dirais bonjour » me dis-je et bien figurez-vous que rien du tout, nada, que nenni, nothing.
« Nothing Else Matters » pour moi, la moindre des choses c’est de répondre.
Depuis le temps que je traverse tout Paris et arpente les Buttes-Chaumont pour me rendre à GH, rares sont les fois ou j’ai eu droit à un accueil digne de ce nom, que de l’indifférence.
Bref ! Au premier coup de bras de Crawl, l’histoire est oubliée et pour ca la Natation c’est magique (sauf pour oublier des personnes, ca prend un peu plus de temps). Heureusement aussi que le respect et la courtoisie sont eux omniprésents dans le bassin et rien que pour ca j’y retournerai à GH.
La prochaine fois, je dirai Bonjour dans une autre Langue, « привет » pour rester fidèle à mes Principes, en attendant de voir peut être un jour s’installer des tourniquets comme à Suzie ou à Keller, longue vie aux machines. Je précise juste que l’accueil est excellent à Keller

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Du beau monde à GH, une très bonne nageuse dans ma ligne, Crawl rapide et technique parfaite et efficace, nage avec un PB, maillot et bonnet noir, trop rapide pour lire l’inscription sur le bonnet, enchaine les longueurs et « flip turn » au T ; Respect .
Sinon bonne 2ème séance, pour les 500m 4 nages, le Dos est très minoritaire (comme d’habitude) 50m seulement et sans les bras (ca revient à battre des pieds sur le dos) + Brasse + Ondulations.
Toujours le Crawl avec PB, c’est plus facile certes mais je n’ai pas vraiment le choix dans un bassin de 50m, je ne ferais pas long feu sinon.
Je suis rentré en empruntant la rue d’Hautpoul et pu admirer par la vitre de la Galerie Leonardo un portrait d’une baleine blanche