• 2800m le samedi 13 juin 2020 (de 15h30 à 16h45)
glycine à
Piscine du Palais des sports d'Orléans :
Reprise. Tiens ! « reprise » ne doit pas être un terme que j’ai déjà utilisé pour mes comptes-rendus. Ce n’était pas un mot adapté à ma pratique de la natation jusqu’à mi-mars. Pour reprendre il faut avoir cesser, or depuis 2011 et avant cet arrêt de quelques semaines, je n’avais eu de cesse que de nager.
Reprise donc, qui marque la fin de trois mois de bonheur. En effet, pendant cette période je n’ai pas eu à subir la gêne qui caractérise les après séances et qui me fait me cogner la tête contre les murs au retour de la piscine. Je n’ai pas eu besoin de retirer l’eau qui ne manque pas insidieusement de se coincer dans les oreilles.
• 3150m le samedi 26 décembre 2015 (de 15h00 à 16h45)
glycine à
Piscine du Palais des sports d'Orléans :
Quelques gamins cet après-midi, à faire comme moi des va-et-viens. Moi entre deux murs, eux entre le bassin et les douches.
La discut' du jour sous les douches c'était un sujet d'actualité : et toi t'as eu quoi ?
Alors ils ont eu des choses et d'autres, de la traditionnelle maquette au moderne drone.
De mon côté j'ai eu des livres et ça se présente bien, car les quatrièmes de couverture et ce que m'en ont dit mes pères Noël me donnent envie de vite en commencer les lectures.
À vous j'avoue que j'aurais préféré me plonger dans La moustache et le papillon de Mark Spitz ou bien Les femmes nageantes d'Esther Williams.
• 2800m le mardi 24 février 2015 (de 10h15 à 11h45)
glycine à
Piscine du Palais des sports d'Orléans :
En manque de repères je me demandais s'y aurait du monde.
Je ne suis pas un spécialiste du taux de remplissage des lignes d'eau des piscines orléanaises. Quoique sympatoche, la pistoche que j'ai choisie est momoche. Le créneau d'ouverture 10 h 00-11 h 30 est étroit et incompatible avec des horaires de bureau. Mais c'est les vacances, les vacances de février, fait beau, fait chaud, tout le monde il est beau tout le monde il est gentil, plouf plouf, tout le monde veut se baigner.
Bilan y'avait moi, mais pas que. Y'avait aussi un congé maternité, un retraité, deux nageuses non identifiées c'est-à-dire sans gros bide ni cheveux gris et surtout trois lignes de jeunes. Des jeunes en club, j'imagine en heures sup pendant les vacances.
• 3200m le mercredi 26 février 2014 (de 14h45 à 16h15)
glycine à
Piscine du Palais des sports d'Orléans :
J'étais quelque peu migraineux à l'issue de la séance. Nager ça m'a fait tourner la tête, mon manège à moi c'est une piscine de 25 m dans laquelle les demi-tours reviennent très vite.
Fréquentation de vacanciers cet après-midi. Certains jeunes seuls d'autres avec le centre de loisir. Pourtant ce n'était pas trop le capharnaüm, notamment au niveau décibels, ou alors c'est parce que j'avais correctement enfoncé mes bouchons d'oreilles. Et puis y'a toujours eu au moins deux lignes d'eau installées avec max deux nageurs dans la mienne. Avec la dame qui fut ma première partenaire de ligne, on a expérimenté le split : chacun de son côté, même pas besoin de doubler.
• 2800m le jeudi 27 décembre 2012 (de 15h45 à 17h15)
glycine à
Piscine du Palais des sports d'Orléans :
Maintenant que je connais toutes les piscines de Paris je m'attaque à celles d'Orléans la ville de mes parents, la mienne aussi pendant mes années lycée. Il y en a trois ça va être plus facile. La vérité c'est que je voulais aller à la piscine de La Source et son bassin de 50 m, que je connais déjà, mais elle est fermée pour vidange, c'est de saison. Donc repli sur la piscine de centre ville même si elle ne m'a jamais donné envie, car la troisième piscine orléanaise est une piscine d'été.
Pas si mal finalement cette piscine sans vue mais à lumière naturelle. Un bon point notamment, on n'y a pied nulle part (je en tout cas), pas de salon de thé pour encombrer le mur.
Pour un après-midi de vacances scolaires c'était pas la foule. Il y avait bien quelques jeunes de sept à dix-sept ans, mais surtout des hommes sans âge seuls, comme moi, là pour nager, comme moi.
Quelque peu fébrile depuis Noël j'ai pourtant brassé, crawlé à l'endroit, crawlé à l'envers, mais pas papillonné, puisque je n'étais pas là pour me disperser. Maintenant je me sens complètement rétabli. Nager, une thérapie.