Le bon choix d’un maillot de bain pour homme

Pour les passionnés de natation, la recherche du maillot de bain idéal revêt une importance particulière. Que vous soyez un nageur compétitif ou un amateur qui aime repousser ses propres limites, le choix du bon maillot peut grandement influencer vos performances dans l’eau. Pour vous aider à trouver le meilleur modèle, nous allons vous dévoiler dans les lignes qui suivent les critères à tenir en compte pour bien choisir un maillot de bain pour homme.

La coupe du maillot de bain pour homme

Il est naturellement crucial de choisir un maillot de bain homme bien taillé. En effet, la coupe est essentielle pour votre confort et votre liberté de mouvement dans l’eau. Pour profiter des beaux jours à la plage ou pour vous prélasser au bord de la piscine, un short de bain bien ajusté sera parfait. Si vous êtes un nageur invétéré, optez plutôt pour un slip de bain ou un maillot de bain boxer. Le slip de bain offre une plus grande liberté de mouvement, ce qui en fait un choix populaire pour un grand nageur. Il réduit la résistance dans l’eau et permet des mouvements fluides.

D’autre part, le maillot de bain boxer offre un meilleur soutien pour les séances d’entraînement ou les activités récréatives. Il peut être plus confortable pour les nageurs qui préfèrent une couverture supplémentaire ou qui pratiquent des activités en dehors de la natation comme le beach-volley. Le short de bain quant à lui couvre encore plus et arbore un aspect plus moderne. Quoi qu’il en soit, il est essentiel de choisir un maillot de bain pour homme parfaitement ajusté à votre taille pour une expérience de nage agréable.

La résistance du tissu au chlore

Les piscines sont souvent traitées avec des produits chimiques, notamment du chlore, pour maintenir l’eau propre et saine. En revanche, ces produits chimiques peuvent endommager les tissus au fil du temps. Pour éviter que votre maillot de bain homme ne se décolore ou ne se détériore rapidement, misez sur un modèle de haute qualité, fabriqué à partir d’une matière qui résiste au chlore. En cela, nous recommandons particulièrement le polyester et le polyblend, qui sont conçus pour résister aux effets corrosifs du chlore, assurant ainsi la durabilité de votre maillot de bain.

La compression et l’hydrodynamisme

Certains maillots de bain pour hommes sont fabriqués de sorte à offrir une compression musculaire. Cette compression favorise une meilleure circulation sanguine et réduit la fatigue musculaire, ce qui peut améliorer vos performances en natation. De plus, certains modèles sont conçus pour avoir un profil hydrodynamique. Autrement dit, ils réduisent la résistance dans l’eau et permettent aux nageurs de glisser plus efficacement. Ces deux caractéristiques sont particulièrement bénéfiques pour les nageurs compétitifs qui cherchent à améliorer leur temps et leur efficacité dans l’eau.

La compression musculaire et l’hydrodynamisme sont également intéressants pour tous les passionnés de sports nautiques sans exception. Mais même si vous ne vous adonnez à la natation ou à la nage que rarement, ils vous garantissent toujours un plus haut niveau de confort et améliorent votre expérience dans l’eau.

Quelle combinaison pour nager en eau libre ?

C’est une question que l’on se pose avant chaque course d’eau libre : combi ou pas combi ? Car la combinaison a cet avantage d’améliorer la glisse dans l’eau. Avec le même effort, le nageur avance plus vite lorsqu’il porte une combinaison puisque celle-ci permet un meilleur gainage, réduit les frictions avec l’eau, et augmente la flottabilité. Par son côté gainant et élastique, elle permet également de réduire les effets du manque de technique voire de niveau de certains nageurs.

La combinaison a ce côté rassurant qui permet une mise en confiance lorsque l’eau est un peu fraîche, que les conditions de la course s’annoncent difficiles, et permet également de se lancer des défis sportifs plus ambitieux. Elle permet aussi de nager un peu plus sereinement lorsqu’il y a des méduses.

Lors d’une course, la combinaison peut permettre de gagner de précieuses minutes sur le temps final, et de grimper dans les classements. Selon le niveau que l’on a, on peut gagner entre 1 et 3 minutes par kilomètre comme je l’avais constaté en réalisant deux courses de 10km, l’une en maillot et une en combinaison.

Deux types de combinaison co-existent. La plus répandue est la combinaison neoprene. Celle-ci a le principal avantage de protéger le corps du froid, et se décline en différentes épaisseurs selon la température de l’eau. On parle aussi de combinaison thermique. Dans des eaux tempérées, une combinaison de 1,5 à 2mm peut être suffisante, tandis que pour affronter des eaux plus fraîches ou des sorties plus longues, une combinaison épaisse de 2 à 4mm peut apporter davantage de confort. La combinaison peut être plus épaisse au niveau du torse et plus fine au niveau des épaules afin de permettre une bonne mobilité des bras.

Le second type de combinaison est la combinaison tissus. Celle-ci procure elle aussi un avantage sur le gainage, et permet – grâce à l’absence de manches – d’avoir des sensations de nage plus proches de la nage classique en maillot de bain.

Le règlement des courses d’eau libre établi par la FFN autorise ou non les combinaisons selon la température de l’eau :

combinaison néoprènecombinaison tissus
en dessous de 14°Ccourse annulée
entre 14°C et 17,9°Cobligatoireinterdite
entre 18°C et 19,9°Cautoriséeautorisée
au delà de 20°Cinterditeautorisée

A noter qu’il peut y avoir des règles plus spécifiques selon les courses.

Qu’elle soit en tissus ou en néoprène, la combinaison doit-être bien ajustée pour être efficace, et il est important de choisir la taille adaptée en suivant les recommandations taille/poids des fabricants : trop petite vous n’arriverez pas à fermer la fermeture, trop large elle laissera s’infiltrer l’eau, il faut donc prendre le temps de bien choisir celle qui s’adaptera le mieux à votre morphologie.

crédit photo : Gregorio Dorta Martin / Pexels

Messieurs êtes vous plutôt slip de bain ou boxer pour la piscine ?

Saviez vous que les premiers maillots de bain pour homme étaient fabriqués en laine ? En effet la fibre de laine présente des propriétés d’extensibilité permettant d’être moins absorbante que le coton. Ensuite, les matières des maillots de bain n’ont cessé d’être améliorées avec l’apparition notamment des matières synthétiques comme le tissage de fil de caoutchouc, les fibres de polyester ou encore nylon. Ces nouvelles matières synthétiques permettent des maillots de bains plus durables, résistants, séchant plus vite, etc. La quête de la performance des sportifs fait émerger des innovations en termes de matériaux, par exemple les combinaisons en polyuréthane ayant permis de faire tomber de nombreux records, et désormais l’intégration de carbone pour renforcer davantage l’hydrodynamisme du nageur.

Et la matière du tissus n’est pas la seule à évoluer, les couleurs et motifs également. C’est à celui qui aura la couleur de maillot la plus vive ou aux motifs les plus colorés qui attirera tous les regards. Et en écrivant ces lignes je ne peux que penser à un excellent nageur de mon club qui arbore depuis quelques semaines un maillot aux motifs léopard, c’est osé et ça lui va très bien.

La forme et les couleurs permettent ainsi de se démarquer, tout comme porter un boxer de bain chic. Vous connaissez forcément la société Le Slip Français, ils ont mis leur savoir-faire pour concevoir et fabriquer dans leur usine bretonne une collection de boxer de bain homme pour la piscine. Une manière de nager avec style, et de privilégier le Made in France.

Le slip ultra moulant et le boxer si différents ont néanmoins comme point commun un tissus technique résistant au chlore pour éviter que celui-ci ne se détende avec le temps !

Le choix du maillot est ainsi propre à chacun et permet aisément de se fondre dans la masse ou au contraire d’affirmer haut et fort son style.

Quelle épaisseur de combinaison pour nager en mer ?

Il y a d’un côté les puristes, qui ne jurent que par la nage en maillot et pratiquent le ice-swimming, discipline consistant à nager dans des eaux à températures très froides, et de l’autre la démocratisation de la pratique de la nage en eau libre et le recours aux combinaisons en néoprène.

Alors que la combinaison, qu’il faut transporter, enfiler, et sécher va à l’encontre du sentiment de liberté que procure la nage en mer, celle-ci apporte malgré tout un certain confort rassurant dans l’eau, et permet de profiter de la mer y compris lorsque les températures sont fraîches. Les combinaisons néoprènes intégrales s’adaptent tout aussi bien à d’autres sports nautiques en mer, comme le surf, le kitesurf ou le wakeboard. On peut trouver des combinaisons spécifiques pour chaque sport. Pour la natation l’idéal est d’avoir une combinaison avec une épaisseur plus fine sur l’articulation de l’épaule afin de pouvoir garder le maximum de mobilité lors de la nage.

L’épaisseur de la combinaison est un élément important lors du choix de la combinaison, et celle-ci va dépendre de la température de l’eau dans laquelle vous envisagez de nager. Dans des eaux tempérées et peu froides, une combinaison relativement fine de 1,5 à 2mm peut être suffisante. Pour des eaux plus fraîches ou des séances plus longues, une combinaison plus épaisse entre 2 et 4mm sont à privilégier pour limiter les déperditions de chaleur.

Les combinaisons en néoprène aident par ailleurs à la flottabilité ce qui facilite la nage, et son côté couvrant permet aussi de se protéger des piqûres des méduses.

Il faut choisir une combinaison bien ajustée, proche du corps, afin que l’eau ne s’infiltre pas, sinon cela n’a aucun intérêt. C’est pourquoi le choix de la taille de la combinaison est vraiment important. Chaque taille de combinaison est ainsi adaptée pour un intervalle de taille et de poids donné afin de s’adapter au mieux à la morphologie du nageur. Il peut arriver que l’on hésite entre plusieurs tailles. La combinaison doit légèrement comprimer le corps mais pas l’empêcher de bouger ! L’idéal est de pouvoir essayer les modèles pour trouver celui le plus adéquat, s’assurer ainsi que l’on arrive à refermer la combinaison et que celle-ci est bien ajustée.

Le critère écologique pourrait également à l’avenir faire son apparition avec le développement de nouveaux matériaux pour s’affranchir du néoprène dérivé du pétrole. On peut ainsi lire sur FranceTVInfo que des entreprises travaillent sur des matériaux biosourcés comme le caoutchouc naturel ou du néoprène à base d’huître.

La combinaison néoprène lors des courses de natation eau libre

La combinaison qui gaine le corps, gomme les aspérités et aide à la flottaison permet une meilleure glisse dans l’eau. On peut grâce à celle-ci réaliser des performances chronométriques lors de compétition, et j’avais publié cet article sur le gain de temps que l’on peut espérer réaliser avec une combinaison en néoprène.

Les courses d’eau libre sont régies par la réglementation de la Fédération Française de Natation (FFN). Celle-ci encadre le recours aux combinaisons lors des compétitions selon la température de l’eau. Ainsi, la combinaison est obligatoire entre 14°C et 18°C, optionnelle entre 18°C et 20°C et interdite au delà.

Comment s’équiper pour son premier triathlon ?

L’équipement nécessaire pour le triathlon est assez conséquent car il combine celui des trois disciplines. En plus du côté performance et de coût de chaque élément du matériel de triathlon, il convient aussi de garder à l’esprit les étapes de transition, et donc de penser à l’aspect pratique en évaluant le meilleur compromis entre gain de performance, et temps de transition.

La combinaison de natation en néoprène est un bon exemple qui illustre ce point. Indéniablement celle-ci permet de nager plus vite car elle améliore la flottabilité, gaine le corps, et réduit les frictions avec l’eau. Si celle-ci reste obligatoire dans le règlement de la fédération française de triathlon FFTri lorsque la température est inférieure à 16°C, il est possible au delà de cette température de faire le choix de nager sans.

Première partie : la natation. Ici dans le Bassin de la Villette lors du triathlon de Paris 2018. Crédit photo : nageurs.com

Même si l’étape d’enfilage qui est plus délicate que celle pour la retirer, nombreux triathlètes font le choix de ne pas en porter, et se contentent d’une tri-fonction. Les distances en natation étant relativement courtes sur les triathlon, le gain de temps d’une combinaison n’est en effet pas significatif. Ce temps va bien sûr dépendre de votre niveau. J’ai publié il y a quelques temps un article sur ce blog sur le gain de temps que la combinaison apporte et que j’estime à une minute par kilomètre. Bien peu donc sur le chrono final d’un triathlon ! Celle-ci est donc plutôt à réserver pour les épreuves dans lesquelles la température de l’eau nécessite une combinaison, ou alors éventuellement s’il y a des méduses pour les épreuves en mer. La trifonction présente le grand avantage de permettre d’enchaîner les trois épreuves sans changer de tenue.

Concernant les autres matériels pour la natation, généralement le bonnet de bain est fourni par l’organisation, il est possible de porter un premier bonnet en dessous si l’eau est froide. Les lunettes sont à choisir selon la luminosité, de préférence avec verres teintés pour convenir par tout temps, ou avec verres miroir par grand soleil. Et surtout avec un joint souple, et avec l’élastique de préférence sous le bonnet pour éviter de les perdre notamment lors des départs en masse, où un coup pourrait gâcher votre course.

Après la natation, c’est la transition pour le vélo ! Sans doute la partie la plus onéreuse en matériel, mais aussi la portion qui va demander l’effort le plus long de la course. Il peut d’ailleurs être judicieux de se tourner vers un vélo d’occasion pour ses premières courses, en choisissant un modèle bien entretenu et de bonne qualité, plutôt qu’un vélo neuf de qualité inférieure.

L’étape en vélo du triathlon. Photo prise lors du triathlon de Paris.

La gamme de vélo est large, des vélos de courses basiques, jusqu’aux modèles performants tout carbone par exemple. On peut installer des pédales automatiques et également un prolongateur de triathlon sur le guidon.

Il est important d’entretenir correctement son vélo, vérifier les différents éléments de transmission, nettoyer les poussières, lubrifier, et gonfler à la bonne pression des pneus, afin de profiter du meilleur de son vélo.

Section course à pied, triathlon du Château de Chantilly faisant partie du circuit Caste Race Series.

Dernière étape et non des moindres, la course à pied. Une bonne paire de chaussures de running est indispensable, le site https://chaussurerunning.fr/ permet de comparer facilement les différents modèles. De nombreuses marques proposent des modèles de chaussures de running. Les modèles vont s’adapter au type de foulée, supinateur neutre ou pronateur. On peut connaître son type de foulée en observant l’usure d’une semelle de chaussure.

Accompagnement de la foulée, amortissement du choc, poids plume, dynamisme, etc, les caractéristiques des modèles sont très variées.

On entent également de plus en plus la notion de drop d’une chaussure. Celui-ci correspond à la mesure de la différence de hauteur entre l’arrière de la chaussure – au niveau du talon, et l’avant – au niveau de l’avant-pied. Certains coureurs, pour se rapprocher d’une foulée plus naturelle, se tournent vers des chaussures à drop de zéro.

Pour éviter les ampoules, une paire de chaussettes anti-frottement est également conseillée.

Afin d’avoir un suivi de ses performances de la course, en complément du chrono des organisateurs, on peut utiliser une montre multi-sport qui va enregistrer le tracé GPS de votre course, votre vitesse, le rythme cardiaque, etc. Certaines ont même un mode triathlon facilitant la transition d’une discipline à l’autre sans devoir arrêter le chrono. Ces enregistrements sont très utile à la fois lors de l’entraînement, mais aussi pour l’analyse détaillée de vos exploits en compétition !

Des magasins généralistes comme Décathlon ou des boutiques en ligne comme https://www.deporvillage.fr/ vont proposer toute une gamme d’équipement, que l’on va pouvoir également compléter auprès de commerçants spécialisés ayant un choix plus pointu ou des marques exclusives.

La réalité virtuelle débarque en natation

Le monde du divertissement est depuis toujours, un formidable témoin de l’avancée technologique ou de la mise en avant de certaines expériences utilisateurs. Du casino en ligne sur des plateformes comme Betway à Pokémon Go sur mobile, les jeux s’adaptaient à nos usages et continuent à ce jour, de charmer les amateurs par des expériences uniques proposées.

Depuis l’avènement de la réalité virtuelle (VR), les industries de tous les domaines ont pu découvrir les potentialités de cette technologie. Au départ, on la pensait limitée aux jeux vidéo mais elle ne l’est absolument pas puisqu’elle s’adapte à tous les domaines de la culture. Cependant, une innovation est venue bouleverser le monde du jeu vidéo en particulier : la réalité virtuelle ! Ayant eu l’effet d’une véritable révolution grâce à l’immersion qu’elle proposait, cette technologie a depuis investi de nombreux domaines comme la médecine, l’éducation et bien évidemment, le sport.

Depuis quelques années, les industries du monde entier ont décidé de miser sur la réalité virtuelle pour améliorer leurs processus de production, leur recrutement ou encore de proposer une expérience client toujours plus poussée.

Le milieu sportif mise désormais sur cette nouvelle technologie. Photo par Inconnu, CC0

Désormais, c’est donc le monde du sport qui s’est emparé de cette technologie, à des fins diverses : de l’entraînement à des services proposés aux fans, la réalité virtuelle semble chaque jour gagner du terrain dans ce milieu ultra-compétitif. Bien que la natation soit à la traîne en termes d’usage des nouvelles technologies, on a vu de nouvelles initiatives fleurir partout dans le monde pour améliorer le chrono des nageurs. Alors, quelles sont les utilisations de la réalité virtuelle dans le monde de la natation en particulier ?

De nouveaux équipements

La réalité virtuelle est un outil particulièrement intéressant pour créer des combinaisons et des équipements sportifs de haut niveau. En effet, parce que l’innovation est au cœur des préoccupations des clubs sportifs, qui cherchent à se démarquer et à améliorer les performances de leurs sportifs, ils sont sans cesse à l’affût de nouvelles solutions. On connaît déjà les montres connectées, place désormais à de nouveaux équipements !

Une innovation a déjà fait son apparition : en 2020 on a vu ainsi arriver sur le marché un nouvel équipement révolutionnaire, les lunettes de piscine en réalité virtuelle. Les Form Swim Goggles et les Vuzix Labs Smart Swim ont donc vu le jour, apportant avec elles des possibilités multiples pour rassembler différentes données pendant les courses des nageurs. Leur avantage principal réside dans leur capacité à donner des statistiques en temps réel, permettant de détecter automatiquement les vitesses, le type de nage. Il ne fait donc aucun doute que les nageurs, qui repoussent sans cesse leurs limites, verront prochainement des nouveautés en termes de lunettes ou de combinaisons créées avec l’aide de la réalité virtuelle pour optimiser leurs performances.

Un entraînement plus efficace

Les nageurs peuvent utiliser la VR pour analyser leurs mouvements. Photo par Inconnu, CC0

La VR est une technologie extrêmement plébiscitée dans les milieux sportifs comme outil d’entraînement. En effet, elle permet de gagner en performance et d’améliorer les techniques, notamment des nageurs. C’est ce qui s’est passé pour le club CPB Rennes natation, qui a décidé cette année de miser sur la réalité virtuelle pour pouvoir analyser bien plus précisément les mouvements de ses nageurs. Équipés de capteurs sur tout le corps, les nageurs font ainsi des longueurs de bassin pendant que des caméras à infrarouge enregistrent leurs mouvements de manière extrêmement précise. Cela permet de décortiquer les techniques de nage et de repérer certaines erreurs beaucoup plus facilement. Tout porte donc à croire que la pratique va se démocratiser au fur et à mesure des années, afin d’améliorer sans cesse les performances des nageurs.

Une solution contre l’aquaphobie

La peur irrationnelle de l’eau, appelée également « aquaphobie » peut être particulièrement handicapante dans la vie de tous les jours. On estime d’ailleurs que 2 % de la population souffre de cette peur, ce qui est assez conséquent. De nombreux cours sont proposés dans les piscines de l’hexagone pour vaincre cette aquaphobie. Cependant, l’agence de publicité suédoise M&C Saatchi Stockholm a décidé d’aller plus loin : elle a organisé une expérience grâce à la réalité virtuelle. Des enfants qui souffraient d’une peur de l’eau ont ainsi été exposés à des situations virtuelles sous l’eau, grâce à un casque VR, pour surmonter petit à petit leurs angoisses. L’expérience a été très concluante et de nombreux spécialistes misent désormais sur cette technologie pour traiter d’autres phobies dans le futur.

Test du lecteur mp3 aquatique XTrainerz à conduction osseuse

Il y a quelques années ont émergés les lecteurs mp3 aquatiques, dont la promesse était d’emporter sa musique à la piscine pour rompre la monotonie de l’entraînement. L’effet de mode s’emble s’être estompé, on croise en effet beaucoup moins de nageurs fanas de musique qu’il y a quelques années.

Cela n’a pas empêché les marques d’améliorer les produits, jusqu’à faire appel à des innovations technologiques. En effet jusqu’alors, les écouteurs mp3 dits étanches ne l’étaient pas complètement. Il s’agissait pour la plupart d’écouteurs classiques qui étaient chacun isolés dans un petit boitier hermétique percé pour que le son puisse sortir, auquel on adjoignait un bouchon en silicone pour le contact avec l’oreille. Le bouchon servant de joint d’étanchéité. Or, il n’était pas rare que de l’eau s’y infiltrait noyant ainsi le système qu’il fallait alors bien sécher pour retrouver ensuite un son audible.

Ces tracas sont heureusement terminés avec l’émergence d’une nouvelle technologie qui est la conduction osseuse ! Contrairement aux écouteurs classiques, ce n’est plus une membrane qui vibre pour délivrer des sons ensuite captés par le tympan, mais des vibrations qui sont directement émise puis se propagent par les os du crâne jusqu’à l’oreille interne. Ainsi il n’est pas nécessaire que l’appareil soit intra-auriculaire, le dispositif de vibration se place sur la tempe.

Alors concrètement, à quoi s’attendre ? J’ai eu l’occasion d’essayer sur plusieurs séances le casque sportif Xtrainerz.  En plus d’avoir un design épuré et agréable à porter, les écouteurs sont légers, facile à mettre en place.

Les premières impressions sont agréables, le son passe aussi bien dans l’eau que hors de l’eau. Même en allant plus d’un mètre sous l’eau la musique reste tout à fait audible.

Lors de la nage s’ajoute en revanche le bruit de l’eau qui est d’autant plus fort que la nage intense. S’ajoutent également les bruits ambiants de la piscine, ce qui pénalise l’écoute même en poussant le volume assez fort. Malgré cela je trouve tout de même le dispositif satisfaisant, et permet d’égayer des séances en solo sans programme. Le rythme et les mélodies est un réel stimulant à la motivation, et casse la monotonie de la séance.

Trois petits boutons permettent de contrôler le volume, mettre en pause, et passer au morceau suivant, c’est assez intuitif.

Pour conclure, le XTrainerz d’Aftershokz est donc un produit plutôt bien réussi, tant sur le design que sur la qualité générale. Il ne faut pas s’attendre à un son parfait, mais celui-ci est néanmoins satisfaisant pour une pratique sportive.

Quels sont les critères importants pour choisir une montre sportive connectée ?

Cela ne vous aura sans doute pas échappé, l’usage des montres sportives s’est démocratisé et de nombreux modèles ont été mis sur le marché. Même dans les piscines où l’équipement du nageur se limitait jusqu’à il y a encore peu au maillot de bain – lunettes – bonnet, on voit de plus en plus de nageurs arborant une montre haut de gamme au poignet. Mais toutes les montres ne se valent pas, certaines sont spécialisées dans un sport en particulier, la tendance est la montre multisport. Il est important d’utiliser des comparatifs en ligne pour choisir sa montre connectée car le choix est vaste.

Certaines montres sportives permettent de mesurer de manière assez précise l’activité réalisée dans la piscine. Il suffit d’indiquer la longueur du bassin, et la montre compte pour vous votre distance, en détectant chacun des virages en bout de ligne. Plus fort, certaines montres sont capables de détecter votre type de nage, de vous chronométrer sur chacune de vos longueurs et série, et de compter le nombre de cycles de bras.

Le nageur loisir aura ainsi des statistiques qu’il pourra ensuite utiliser pour suivre sa progression, le nageur en club pourra lui retrouver le détail d’une séance et le kilométrage réalisé.

Alors quels sont les critères à regarder pour choisir sa montre sportive ?

Chaque montre ayant ses spécificités propres, il est important de bien comparer ses caractéristiques comme son autonomie, son prix, etc, mais aussi les capacités et sa précision à mesurer les séances d’entraînement.

Les critères sportifs

Le critère principal devrait être la capacité de la montre à faire un suivi de l’ensemble des sports que vous pratiquez, y compris occasionnellement.

Ainsi un nageur pratiquant occasionnellement la course à pied aura tout intérêt à choisir une montre lui permettant de suivre ces deux sports.

La présence d’un capteur GPS dans la montre est de plus en plus répandu. Celui-ci apporte un réel plus pour toutes les activités sportives en extérieur, tel le vélo, le kayak, ou la nage en mer.

Test de la Polar Vantage qui permet une mesure GPS dans l’eau.

L’application permettant de consulter ses séances est également importante afin d’avoir accès de manière simple et lisible au détail de ses entraînements.

Plus plus en plus de modèles sont capables de mesurer le cardio directement au poignet, sans avoir besoin de compléter par une sangle. Cette mesure peut être particulièrement utile dans certains sports, mais aussi pour mesurer une fréquence cardiaque au repos.

D’autres capteurs comme la température permettent de mesurer très précisément par exemple en piscine ou en milieu naturel la température de l’eau.

Certaines montres disposent aussi d’un capteur barométrique permettent de mesurer l’altitude. Idéal pour le ski, la marche en montagne, ou le parapente !

Les autres fonctions possibles

On peut utiliser sa montre pour mesurer son activité physique au quotidien, comme le nombre de pas, les calories consommées, sa fréquence cardiaque, et même la durée et la qualité de son sommeil.

Certaines marques comme Garmin proposent des montres avec un module NFC permettant de payer ses achats sans contact, ou de stocker de la musique pour l’écouter avec un casque bluetooth. Il y a aussi des modèles comme l’Apple Watch ou les montres Android qui permettent de faire tourner tout un écosystème d’applications sur la montre. Il commence à y avoir également des montres disposant de leur propre carte sim !

Enfin les fonctions de base comme donner l’heure, ou proposer des répétitions d’une ou plusieurs durées (très utile pour du fractionné ou de la gym).

Des montres que l’on utilise aussi au quotidien

Le design et le choix des matériaux rend les montres sportives adaptées à être portées au quotidien, à la place des montres traditionnelles. Des marques horlogère proposent aussi des modèles de montre connectée femme de luxe.

Combien de temps fait gagner une combinaison néoprène en natation eau libre ?

Une question que je me suis longtemps posé pour la nage en eau libre, c’est combien de temps la combi en néoprène fait-elle gagner par kilomètre ?

Selon les courses il y a plus ou moins de participants qui utilisent une combinaison. Une quasi-unanimité en porte par exemple pour le 10km Open Swim Stars de Paris où les nageurs en maillot sont plus rares d’année en année. D’autres courses au contraire ont davantage de nageurs en maillot comme le tour du roc. Alors faut-il nager en combinaison ou se contenter du maillot de bain ?

Les bénéfices que peut présenter le port de la combinaison

Tout d’abord la première raison de porter une combinaison c’est si la température de l’eau est trop froide pour vous. En effet beaucoup de nageurs ne supportent pas le froid, y compris de bons nageurs. Sur les longueurs distances la combinaison permet d’éviter ou de repousser l’hypothermie.

Viennent ensuite des considérations orientées performance. Le néoprène est plus léger que l’eau et aide ainsi à la flottabilité, le nageur aura ainsi moins d’effort à fournir pour maintenir l’alignement des jambes qui seront maintenues sans effort à la surface. Par ailleurs la combinaison étant très ajustée sur le corps, le ventre et autre bourrelets sont contenus et le corps du nageur est plus droit et lisse dans l’eau. La matière lisse offre également moins de friction lors du déplacement dans l’eau.

Les inconvénients de nager en combinaison

Lorsque l’on n’est pas frileux, on peut avoir chaud en portant une combinaison, même dans une eau à moins de 20°C. En effet il y a très peu de circulation d’eau entre la combinaison et la peau. Le corps peut donc avoir du mal à réguler correctement la température corporelle lors d’un effort intense. Préférer dans ce cas des combinaisons sans manches, car ce sont les épaules qui chauffent le plus.

Les sensations de l’eau sont inhibées, le corps n’étant quasiment plus en contact avec l’eau. On ne sent donc pas les petits courants, il y a donc un risque plus grand de dévier de sa trajectoire : il faut donc s’assurer régulièrement du cap suivi.

De la même manière les sensations de la nage ne sont pas les mêmes, le corps est légèrement plus haut, les jambes sont maintenues en surface, la surface de contact des bras avec l’eau est augmenté de l’épaisseur du néoprène, il y a une résistance supplémentaire lorsque l’on nage. Il est donc préférable d’essayer au préalable sa combinaison dans l’eau pour apprivoiser ces nouvelles sensations.

Précautions à prendre lorsque l’on nage avec une combinaison

Les combinaisons peuvent occasionner des frottements pouvant aller jusqu’à provoquer des lésions cutanées. Il faut donc graisser le cou et les zones où il peut y avoir de la friction comme les aisselles et les têtons.

Le néoprène est une matière fragile, et les combinaisons peuvent être difficiles à enfiler. Il est donc fortement recommandé d’utiliser des gants pour éviter de la déchirer avec les ongles.

Les sensations de nage sont différentes de la nage sans combinaison, il faut se préparer à découvrir des sensations différentes d’une compétition en maillot de bain.

Conclusion : Quel gain pour une course d’eau libre ?

J’ai donc utilisé pour la première fois une combinaison sur une distance de 10 kilomètres le WE dernier lors de l’Open Swim Stars. C’est une course dans un canal pour laquelle il n’y a pas de problème d’orientation, ni de courant : une belle ligne droite. J’avais réalisé la course l’an dernier en maillot de bain, et mis 3h01’33. Cette année sur la même distance j’ai nagé en 2h32’23, soit 29’10s de moins ce qui correspond à une amélioration de 2 minutes 55 par kilomètre.

Je pense qu’il faut néanmoins nuancer ce chiffre qui va dépendre du niveau d’entraînement, de la qualité de la combinaison, des conditions uniques de la course, de la forme du moment, et de la technique du nageur : le bénéfice chez un nageur moyen sera plus grand que pour un bon nageur.

Avant la course je m’attendais à un écart de 1 minute par kilomètre. J’avais pour objectif de boucler la course en 2h40 voire 2h45. Le chrono a donc été une excellente surprise au dela de mes attentes !

Crédit photo : Cédric S. / Nageurs.com

Et vous quel temps ça vous fait gagner la combi ?

Bilan d’un mois d’utilisation de la montre Polar Vantage

Test de la montre Polar Vantage, pendant un mois pour des séances de natation. Précision du cardio, de la détection du style de nage, et des autres indicateurs de cette montre sportive haut de gamme.

Ce modèle dernier cri de la marque finlandaise Polar intègre une nouvelle génération de capteur de rythme cardiaque, et promet des améliorations dans les mesures sportives des différentes disciplines, notamment pour la natation.

Utilisant la montre depuis un peu plus d’un mois, je vais vous partager à travers cet article mes impressions sur la montre et ses possibilités au quotidien.

test polar vantage

Une nouvelle technologie de capteur au poignet fonctionnant également dans l’eau

Avec cette montre, Polar introduit un nouveau type de capteur appelé Polar Precision Prime, qui combine des mesures optiques par clignotement de LED, ainsi que des mesures du contact avec la peau. Cette double mesure permet de suivre précisément le rythme cardiaque dans toutes les conditions, y compris dans l’eau en natation, et de permettre aussi de calculer le nombre de calories dépensées.

polar vantage cardio

Autonomie

Un des points forts est l’autonomie de la batterie, celle-ci peut tenir une semaine, les caractéristiques techniques de la montre mentionnent 40 heures de mesure d’activité. La montre se charge avec un connecteur USB spécifique.

Intégration avec l’application Polar Flow

La synchronisation permet d’envoyer les mesures de la montre vers Polar Flow. Il suffit de presser le bon bouton sur la montre pour que les données soient envoyées en bluetooth sur le téléphone qui se charge de les enregistrer en ligne.

polar vantage natation

L’application Polar Flow permet sur le téléphone d’avoir des mesures globales sur l’activité. Le service en ligne donne davantage d’information par exemple en natation le détail des longueurs par nages.

Lors de la synchronisation, la montre récupère également la prévision des positions des satellites de géolocalisation afin d’être capable de récupérer les signaux GPS rapidement pour les activités en extérieur.

La montre est capable de mesurer les séances d’un grand nombre de sports, ceux-ci pouvant être paramétrés depuis l’application et chargés sur la montre lors d’une synchronisation.

polar vantage vélo

Vous l’avez deviné, c’est principalement les aptitudes de mesure de séance de natation qui m’intéressent dans cette montre !

Utilisation de la Polar Vantage à la piscine

A la fin de chaque séance, j’inscris le détail de l’activité sur nageurs.com. Mais souvent j’ai du mal à me rappeler en détail des instructions que le coach nous a fait suivre lors de l’entraînement… Combien de fois avions-nous fait telle ou telle série ? Avions nous d’abord fait cette série ou plutôt celle-là ? Quel temps avais-je mis pour nager telle distance ?

La montre permet de garder cet historique, et fournit en plus des indicateurs sur les zones cardio, et aussi les temps pour chacune des longueurs, ainsi que les pauses.

Les mesures sont relativement précises, la montre détecte bien chacune des 4 nages, et la distance mesurée en fin de séance est très proche de celle du programme à quelques longueur près.

Mais j’ai tenu tout de même à faire des tests plus approfondis pour vérifier l’exactitude des mesures de la montre, et vous livre ici en détail mes remarques.

polar vantage piscine

La détection du style de nage

La montre utilise un accéléromètre pour mesurer la trajectoire du poignet et a été programmée pour reconnaître chacune des 4 nages à partir de ce mouvement.

Il arrive néanmoins que la montre ne détecte pas la bonne nage, comme des longueurs en papillon qui sont parfois interprétées comme du crawl, ou même parfois comme du temps de pause.

Parfois des longueurs ne soient pas détectées, comme par exemple lors d’un 10 x 25m départ 35’ : la montre n’en a mesuré que 9… le 7e a été intégré dans du temps de pause. Je les ai tous nagés entre 15 et 16s mais la montre indique une variation entre 13s et 20s. A contratio, parfois les mouvements réalisés à l’arrêt lors d’une pause sont interprétés comme une nage, par exemple sur un 8×50 crawl, une longueur de 25m brasse a été rajoutée à la place d’un des temps de repos.

Lorsque l’on enchaîne le papillon, dos, brasse et crawl à la suite, la montre devine que la succession des différentes nages correspond à du 4 nages et l’indique comme tel dans l’interface web Polar Flow. Il y a néanmoins un bug à l’affichage de l’interface qui regroupe les 3 premières nages et indique le crawl séparément. Un autre bug plus gênant c’est que le tableau a tendance à ne pas afficher les dernières longueurs à la fin de la séance. Par exemple sur une séance de 3200m qui se termine par un 400m 4 nages, le tableau n’affiche pas ce 400m 4 nages (juste le premier 25m papillon) alors que le compteur global intègre bien cette dernière série. En regardant de plus près comment était fait le site, j’ai pu voir que les données étaient bien là et que c’est donc à l’affichage qu’une partie n’est pas affichée.

Détection des virages

Pour pouvoir calculer les temps entre chaque longueur et le nombre de coups de bras, la montre est capable de détecter les virages. Le temps par longueur est bien entendu moins précis que celui que l’on pourrait prendre au chronomètre car l’instant précis du virage ou la culbute est parfois déterminée trop tôt ou trop tard. De même que le temps de démarrage d’une longueur, ou de l’arrêt au mur. Des variations de quelques secondes sont donc possibles. Cela est suffisant pour connaître l’allure de la nage, mais pas pour mesurer ses progrès dans une nage (ou alors il faudrait faire une moyenne entre plusieurs séries). La mesure des temps intermédiaire permet tout de même de se rendre compte de l’évolution de sa vitesse au fur et à mesure des longueurs ou des séries.

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Le calcul du nombre de mouvements par longueur

Le nombre de coups de bras par longueur mesuré est plutôt satisfaisant, et plutôt proche de la réalité, bien que j’ai pu constater quelques écarts, par exemple en dos 20 mouvements mesurés au lieu de 16 réalisés, 7 ou 9 mesurés en brasse alors que j’en ai fait deux fois 8, ou alors en crawl 18 puis 22 mesurés alors que j’en ait fait deux fois 19.

Chronomètre et compte à rebours

La montre permet pour la natation et d’autres activités de déclencher un compte à rebours après avoir activé cette option dans Polar Flow. Il n’est cependant pas évident de retrouver cette option et de la configurer pendant la séance.

Natation en eau libre

Un mode eau-libre a également été ajouté récemment par Polar, pour permettre d’avoir le tracé GPS de ses sorties, et suivre l’évolution des indicateurs comme le rythme cardiaque ou la vitesse. Le signal GPS étant capté lorsque la montre est émergée, ou très proche de la surface de l’eau.

Ayant réalisé le test en hiver, je n’ai pas eu encore l’occasion de tester ce mode.

Conclusion

La Polar Vantage est une montre multisport plutôt haut de gamme, qui mesure à la fois du temps de sommeil et des activités. L’application donne une indication du degré de fatigue induit par les entraînements et le repos nécessaire pour récupérer, en intégrant les données du sommeil.

Les nombreuses options de la montre la rendent très complète mais la maitrise de toutes les possibilités nécessite un peu de pratique.

La montre présente de nombreux intérêts pour le nageur, mais aussi pour les autres sports, tant à l’entraînement pour le suivi de l’activité, qu’en compétition avec des mesures dans l’ensemble précises.

La montre est vendue 499€, actuellement en promotion à 445€ sur Amazon.

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